Citation C est pour ca
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Une Sélection de 100 citations et proverbes sur le thème C est pour ca.
100 citations
Voilà. C'est à peu près tout ce que j'avais à dire. Ah ! un dernier mot, tout de même : quand on choisit de vivre avec un chien, c'est pour la vie. On ne l'abandonne pas. Jamais. Mettez-vous bien ça dans le coeur avant d'en adopter un.
Toute dépression est une rupture brutale, une confrontation avec soi dans la solitude. Si ça ne prévient pas, comment faire pour l'éviter?
Pérec était dans un hôtel du groupe Concorde; c'est pour ça qu'elle s'est sentie menacée.
Avec le temps j'ai appris à maîtriser certaines techniques que je n'avais pas au départ, mais la jeunesse a un bon côté : on dessine toujours avec engouement et entrain, chose qu'on a tendance à perdre sur la longueur. C'est pour ça que j'y fais toujours attention.
Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
J'aime leur façon de travailler en France. Cela me donne l'impression que c'est plus simple. On prend une idée, on travaille ensemble. On ne se sent pas obligé de faire quelque chose de très très grand pour gagner des millions. Ça me plairait de faire un film avec un bon metteur en scène et de rester pendant huit, dix semaines en France pour le tournage.
Un de mes traits de caractère est d’avoir un peu d’humour, mais j’ai mis quatre ans à me décider. Je me disais que j’allais gâcher ma carrière. C’était il y a douze ans et je n’ai rien gâché du tout. Mes amis, c’était Olivier de Kersauson, Jean Yanne, Jacques Martin, Carlos… On passait des nuits chez Castel, un endroit mythique qui n’était pas du tout mondain comme on l’a dit mais un bistrot où ça se passait. Oui, il y avait des vedettes de cinéma, Bardot, etc., mais ce n’était pas du tout un truc pour les bourgeois arrivés, il y en avait, mais c’était nous les patrons.
Me faire passer pour quelqu'un par exemple qui serait raciste, alors que j'ai des amis qui sont justement arabes, et dont ma meilleure amie qui est tchadienne, donc plus noire qu'une arabe, je trouve ça choquant.
C'est bien du bruit pour un seul mort, dit-il. On ne fait pas tant de foin que ça pour la vie humaine au Maroc.
Diabètes: Pour écrire une pièce, le truc est de commencer par la fin. Trouver une bonne fin, puis écrire à l'envers. - Hépatitis: J'ai essayé ça une fois. Maintenant j'ai une pièce sans commencement!
Parce que c'est un mec, renchérit Chloé. Et les mecs ne s'attachent pas, les mecs ne se donnent jamais complètement et les mecs mentent. C'est pour ça qu'il faut être très méfiante, ne jamais les croire et les tenir à distance autant que possible.
- Je viens vous demander le vagin de votre fille. - - Vous voulez dire la main? - - Non, si c'est pour faire ça avec la main, j'ai la mienne!
Laurent Delahousse n'est pas un mec bien. Il a demandé ma place pendant près de dix ans. Chaque saison, il menaçait la direction de partir s'il n'avait pas le 19 heures alors que j'étais une locomotive pour son journal. Au départ, je ne le croyais pas. Jusqu'au jour où il l'a dit ouvertement. Ça m'a peiné. J'ai trouvé ça surréaliste. Il a été d'une inélégance incroyable. C'est même le ballon d'or de la discipline. Et en interne, je ne suis pas le seul à le penser. A l'époque, je lui ai écrit. Il a essayé de me faire croire qu'il était la courtoisie incarnée. Je n'ai aucune rancune, mais j'ai de la mémoire.
Jusqu'à l'époque où elle prononça cet anathème sur les mères qui étouffent leurs enfants, sur les frères qui marquent les frères comme des mulets d'habitation. Qu'est – ce qu'elle raconte, mais vraiment qu'est – ce qu'elle raconte ? [...] L'unanimité se fit contre elle, pour conclure qu'avec de telles idées la folie n'est pas loin.
Au-delà de toute polémique pour moi c'est la guerre, contre la misère, c'est la seule guerre... La politique ça consiste à choisir à qui on va prendre le fric et a qui on va le donner... l'état n'a rien... la justice c'est de savoir dans quelles proportions on prend et on donne. Si vous votez à gauche vous consentez à ce que les élus vous prélèvent de l'argent pour que l'état aide les autres ; si vous votez à droite vous vous engagez... à donner à des organismes privés pour aider les autres.
On fait ce qu'on peut pour soulager la souffrance des autres, en imaginant que ça soulagera la nôtre. Mais ce n'est pas le cas. D'une certaine façon, au contraire, ça ajoute à notre propre souffrance. Nous n'effaçons pas la souffrance des autres, nous la prenons avec nous.
Comment peut-on se donner la mort pour une promotion ajournée ? Comment peut-on se croire indigne de survivre à l'échec lorsque l'échec n'est qu'un incident de parcours censé nous aguerrir ? Comment peut-on oser se situer en deçà de ses ambitions et penser, une seule seconde, qu'il existe un objectif plus fort que l'amour, plus important que sa propre vie ? Que de questions biaisées qui s'évertuent à nous dévier de la seule réponse qui nous importe : nous-mêmes. Depuis les temps reculés, l'Homme court après son ombre et cherche ailleurs ce qui est à portée de sa main, persuadé qu'aucune rédemption n'est possible sans martyre, que le revers est un déni de soi, alors que sa vocation première réside dans sa faculté de rebondir... Ah ! l'Homme, ce prodige réfractaire à ses chances et fasciné par l'échafaud de ses vanités, sans cesse écartelé entre ce qu'il croit être et ce qu'il voudrait être, oubliant que la plus saine façon d'exister est de demeurer soi-même, tout simplement.
Pour aimer quelqu'un, il faut être dans de bonnes dispositions. Ce n'est pas toujours facile. Alors qu'avec l'héroïne, il suffit d'appuyer sur le piston de la seringue et hop ! Ca à l'air tellement réel.
La vie de chaque homme est un roman — pas nécessairement un roman pour telle série, blême ou noire. Un grand critique a écrit : chacun porte un roman en lui. Seulement, il n'en porte pas forcément d'autre. Il n'y a qu'un romancier qui en porte d'autres. Mais chacun est capable en effet de décrire sa jeunesse, sa rencontre avec sa femme, leur premier mois de cohabitation et d'en faire un vrai roman. Après, quand il ne s'agit plus de lui-même, mais d'autres personnages, ça devient différent.
Je donnerais des millions pour qu'une relation ne s'abîme pas, dure. Je ne supporte plus les ruptures. Rompre me met dans un état d'indescriptible souffrance. Je perds toute dignité. Je deviens d'une fragilité infinie. Je pleure. Je marche à l'aveugle. J'ai davantage peur de me faire quitter que de mourir parce que pour moi, la mort, c'est ça : le grand silence qui m'entoure quand l'être aimé est parti, qu'il s'amuse ailleurs, loin, avec un autre, et m'oublie
Le bronzage, encore un truc qu'est pas pour moi, ça. Si vous voulez mon avis, rien n'est plus triste qu'un postérieur pâle dans un ensemble bronzé. C'est comme un coin de Flandres corporel perdu dans une Côte d'Azur anatomique.
Je m'étais rendu compte que les gens connaissaient le mot « inceste », mais qu'ils n'avaient aucune idée de la chose. Ils utilisaient le mot comme un mot étranger, vide, sans le connaître. Donc, il fallait le définir en images, et en perceptions. C'est ça faire apparaître le réel, et faire disparaître le discours. Les mots jusque-là mal agencés ou trop bien agencés qui recouvrent les choses. Je pense à Beckett dans L'innommable : « Je vais le leur arranger moi leur charabia. » Leur charabia c'est le discours social, la soi-disant écoute, l'injonction à dire. Alors que c'est l'impossible. L'injonction qui infériorise. Le réel n'est pas fait pour être dit. Il est là, il se contente de ça. Il est le vrai, c'est tout.
Au cinéma, le premier interprète d'un film, c'est le metteur en scène. Si je sais que le metteur en scène sera Jean Becker ou Cédric Klapisch, ça passera par leur filtre. Mais si demain j'écris pour Jacques Gamblin que je ne connais pas dans la vie, j'utiliserai son archet, ses vibrations à lui. Les acteurs sont pour moi les souffleurs des auteurs.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Ils font ça tout le temps, les vieux. Ils mâchonnent. Ils digèrent leur vie. Ils la ruminent, se la repasse en plusieurs fois, au ralenti, pour en tirer le meilleur. Leur cerveau est un estomac de vache. Si le verbe a pris un sens négatif, c'est parce qu'on croit à tort que ruiner, c'est stagner.
Cabot-Caboche (1982) de Daniel Pennac
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L'auberge des pauvres (1997) de Tahar Ben Jelloun
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Vu à la radio (2001) de Laurent Ruquier
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Interview d'Hiro Mashima - Journal du Japon (2016) de Hiro Mashima
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Jacques Chirac, 19 juin 1991, Orléans, dans Le Monde, paru 21 juin 1991 : discours tenu par Jacques Chirac alors président du Rassemblement pour la République (RPR, droite) et maire de Paris au cours d'un dîner-débat du RPR, de Jacques Chirac
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Interview accordée en 1978 de Kirk Douglas
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Entretien, Le Soir le 19/09/2015 par Maxime Biermé
de Pierre Bénichou
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France 5, 21 juin 2012. de Nadine Morano
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Les Beaux Quartiers (1936) de Louis Aragon
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Opus 1 et 2, Dieu, Shakespeare... et moi (1975) de Woody Allen
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Cette chanson-là... (2006) de Sarah Dessen
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Coluche les inoubliables : Tous ses sketches, toutes ses chansons de Coluche
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Entretien Le Parisien - Propos recueillis par Michaël Zoltobroda le 04 juillet 2018 de Michel Drucker
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La Case du Commandeur (1981) de Edouard Glissant
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MIDI 2, 13 janvier 1987, l'Abbé PIERRE et Alain JUPPE dialoguent sur les mesures d'aide à la pauvreté. de Abbé Pierre
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Le tueur se meurt (2013) de James Sallis
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L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Junk (1996) de Melvin Burgess
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Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
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Interview Paris Match, 10 janvier 2019 , propos recueillis par Caroline Mangez de Yann Moix
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J'me marre (2003) de Jean Gouyé, dit Jean Yanne
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Un amour impossible (2015) de Christine Angot
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Interview Le Figaro le 10 février 2009 de Jean-Loup Dabadie
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Bonheur Fantôme (2009) de Anne Percin
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