Citation Dans ses yeux
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Une Sélection de 150 citations et proverbes sur le thème Dans ses yeux.
150 citations
Dans cette ferme, on faisait encore vraiment attention aux bêtes, pas seulement pour l'argent, pour l'honneur aussi, et parce que les bêtes ne sont pas des machines, on sent le chaud de leur corps et leurs yeux posés sur vous ; l'hiver elles dépendent , pour les soins et la nourriture, ça fait devoir, on les connait et elles vous connaissent.
il scruta son visage : elle avait vieilli. Ses yeux disparaissaient, enfoncés dans les rides qui les mangeaient, rivière jamais rassasiée. Le vert si dur, si beau de ce regard avalé par le temps se transformait en gris, un gris de terre, un gris de jument, un gris qui ternissait tout, amplifiait les petites peurs, les angoisses sans importance.
Il resta ébahi devant Notre-Dame, ce merveilleux tas de pierres. Il lui importait peu que des milliers d'hommes aient collaboré à ce chef-d'œuvre. Ce qu'il retint, ce fut qu'un inconnu ait un jour décidé de s'attaquer à cette tâche. La tour Eiffel, en revanche, l'étonna sans l'émerveiller. Elle était à ses yeux trop simple, ou trop compliquée. Ce n'était que ferraille boulonnée et peinte. Ici, nulle trace de cette nature que l'on sentait dans tous les monuments de pierre et qui leur conférait tant de beauté
Combien de gens vous étouffent de caresses dans le particulier, vous aiment et vous estiment, qui sont embarrassés de vous dans le public, et qui, au lever ou à la messe, évitent vos yeux et votre rencontre!
Jeanne alors, dans son coin noir
M'a dit tout bas, levant ses yeux si beaux à voir,
Pleins de l'autorité des douces créatures:
- Eh bien, moi, je t'irai porter des confitures.Dans les yeux de ma mère, je vois des choses qui me terrassent. Je vois d'immenses conquêtes, des maisons vides et des armures. Elle porte en elle une colère qui me condamne et m'oblige à être meilleur.
Les limites de son rôle dérivent de la nature de ses vertus. Et ces vertus, c’est encore aux lectures d’enfance que je vais aller demander en quoi elles consistent. Ce livre que vous m’avez vu tout à l’heure lire au coin du feu dans la salle à manger, dans ma chambre au fond du fauteuil revêtu d’un appuie-tête au crochet, et pendant les belles heures de l’après-midi, sous les noisetiers et les aubépines du parc, où tous les souffles des champs infinis venaient de si loin jouer silencieusement auprès de moi, tendant sans mot dire à mes narines distraites l’odeur des trèfles et des sainfoins sur lesquels mes yeux fatigués se levaient parfois, ce livre, comme vos yeux en se penchant vers lui ne pourraient déchiffrer son titre à vingt ans de distance, ma mémoire, dont la vue est plus appropriée à ce genre de perceptions, va vous dire quel il était « le Capitaine Fracasse », de Théophile Gautier. J’en aimais par-dessus tout deux ou trois phrases qui m’apparaissaient comme les plus originales et les plus belles de l’ouvrage.
Nous vivons trop dans les livres et pas assez dans la nature, et nous ressemblons à ce niais de Pline le Jeune qui étudiait un orateur grec pendant que sous ses yeux le Vésuve engloutissait cinq villes sous la cendre.
J'avais envie d'aller me perdre dans Marseille. Dans ses odeurs. Dans les yeux de ses femmes. Ma ville. Je savais que j'y avais toujours rendez-vous avec le bonheur fugace des exilés.
L'amour il s'en méfiait : ceux qui se tiennent par la main, ceux qui se regardent dans les yeux et ceux qui terminent les phrases de l'autre. L'amour ça déborde comme un coloriage d'enfant.
Le coeur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps. Que subsistera-t-il, dans cet éclatement, de l'unité de son fils ? Comment raccorder sa mémoire singulière à ce corps diffracté ? Qu'en sera-t-il de sa présence, de son reflet sur Terre, de son fantôme ? Ces questions tournoient autour d'elle comme des cerceaux bouillants puis le visage de Simon se forme devant ses yeux, intact et unique. Il est irréductible. C'est lui. Elle ressent un calme profond. La nuit brûle au-dehors comme un désert de gypse.
Comment sait-on que l'on devient fou ? Est-on différent, physiquement ? Peut-on le voir dans ses propres yeux ?
De nos jours, des fesses de femmes nues, on en voit partout, à la télévision, au cinéma, dans les VCD ou les DVD, dans les publicités ou dans les magazines, sur les stylos à bille ou les briquets ... Des postérieurs de toutes sortes, des postérieurs d'importation ou des postérieurs de fabrication chinoise ; des blancs, des jaunes, des noirs et des bruns ; des larges, des étroits, des gros et des maigres ; des lisses et des rugueux ; des jeunes et des vieux ; des faux et des vrais. On n'a que l'embarras du choix, et une paire d'yeux ne suffit pas pour tout regarder
Je voyais quand même de brefs reflets de tristesse dans ses yeux malicieux. Elle maintenait l'équilibre avec des «on a ri comme des bossus ... je m'en fiche comme de colin-tampon».
L'homme civilisé au contraire, placé dans le mouvement d'une civilisation qui s'enrichit continuellement de pensées, de savoirs et de problèmes, peut se sentir las de la vie et non pas comblé par elle. En effet il ne peut jamais saisir qu'une infime partie de tout ce que la vie de l'esprit produit sans cesse de nouveau, il ne peut saisir que du provisoire et jamais du définitif. C'est pourquoi la mort est à ses yeux un événement qui n'a pas de sens.
C'est trop facile d'entrer aux églises - De déverser toutes ses saletés - Face au curé qui dans la lumière grise - Ferme les yeux pour mieux nous pardonner.
Je cherche en vain dans chaque visage une étincelle de poésie, de l'enthousiasme dans les discours, des idéaux si ce n'est des idées, mais les gens passent outre, ils marchent pressés, mal habillés, les yeux vidés par les soucis.
J’étais aux côtés de Collins lorsque nous pénétrâmes dans le camp. Me voyant hésiter et ne plus rien faire de mon appareil, il me demanda des yeux pourquoi tandis que ses hommes s’avançaient entre les cadavres gris et parfois se signaient et se regardaient entre eux et cherchaient du regard Collins sans penser encore à enfiler un foulard contre l’odeur mais s’accroupissaient silencieux devant les mourants gris et nus et ils demeuraient là accroupis immobiles dans la lumière du soir et leurs lèvres ne bougeaient pas non plus et ils continuaient à chercher du regard Collins, leur colonel, qui ne trouvait pas un mot à leur dire n’en trouvant pas pour lui-même et soudain quelqu’un lança au-dessus du camp une fusée éclairante qui retomba en éclairant d’une même lumière rouge les morts et les vivants et personne à ce moment-là ne pensait que celui qui l’avait tirée avait perdu la tête, mais bien lancé volontairement une clameur rouge vers le ciel ou une prière et lorsqu’elle s’éteignit il y eut un silence encore plus profond .
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Quand on n'a jamais vécu dans la troupe, quand on n'a pas senti la douleur et la crispation des hommes qui vont déboucher pour l'assaut et probablement mourir, quand on n'a pas vu de ses yeux les rangs fauchés autour de soi par la mitrailleuse, il est très facile de téléphoner de loin, du fond d'un P.C. sûr et confortable : "Attaquez, attaquez coûte que coûte !" et ensuite d'aller dîner. Être un bourreau d'hommes, c'est la meilleure manière de décrocher les étoiles. Quant aux soldats, ils se demandent si mourir pour le communiqué, c'est mourir pour la France.
Les bougies sont allumées sur la cheminée ; voici le lit blanc, moelleux, les tapis ; je m'appuie sur la croisée ouverte; dehors, derrière moi, je sens la nuit; la nuit noire, froide, triste, lugubre ; l'ombre où les apparences bougent ; le silence où bruissent des sables ; les longs arbres tassés en noir ; les murs vides, et les fenêtres obscures d'inconnu et les fenêtres éclairées, inconnues ; dans la pâleur du ciel, ce trépidement des yeux pleurards des étoiles ; le secret des ombres opaques,ténébreuses, mêlés en quelque chose de formidable ; ah! là, quelque chose d'ignoré, de formidable...
La chatte siamoise, tout à l'heure morte d'aise sur le mur tiède, ouvre soudain ses yeux de saphir dans son masque de velours sombre...
Il avait fixé bien des yeux de femmes dans sa vie et beaucoup de ces yeux ardents, pudiques,troublants, délicats, rusés ou fiers, l'avaient aussi fixé, mais jamais de tels yeux. Ils étaient à la fois distants et proches, compréhensibles et énigmatiques, insensibles et compatissants. Ce regard, en même temps qu'il éveillait le désir, avait quelque chose qui vous éteignait, vous transportait au loin, au-delà de la vie, au-delà de la tombe, d'où l'on pouvait se regarder avec sérénité.
Pour ma part, je trouvais plus honnête qu'une femme suivît librement et passionnément son instinct, au lieu, comme c'est généralement le cas, de tromper son mari dans ses propres bras, les yeux fermés.
J'ai vu de la lumière dans ses yeux alors je suis monté.
Joseph de Marie-Hélène Lafon
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Une bête au paradis (2019) de Cécile Coulon
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La grande muraille (1979) de Claude Michelet
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Les Caractères (1696), 30, I, De la cour de Jean de La Bruyère
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L'Art d'être grand-père (1877) de Victor Hugo
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La révolte de Clara Dupont-Monod
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Sur la lecture de Marcel Proust
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Le jardin d'Epicure (1894) de Anatole France
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Vivre fatigue (1998) de Jean-Claude Izzo
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Code 93 (2014) de Olivier Norek
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Réparer les vivants (2013) de Maylis de Kerangal
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Reviens-moi (2013) de Rachel Claire Ward
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Brothers (2008) de Yu Hua
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La Bâtarde (1964) de Violette Leduc
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Le Savant et le politique (1919) de Max Weber
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Grand Jacques, c'est trop facile (1955) de Jacques Brel
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Hell (2002) de Lolita Pille
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La Terre invisible (2019) de Hubert Mingarelli
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le polygone étoilé (1966) de Yacine Kateb
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Les Lauriers sont coupés (1888) de Edouard Dujardin
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Histoires pour Bel-Gazou de Sidonie Gabrielle Colette
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Avril brisé (1978) de Ismaïl Kadaré
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Vingt-quatre Heures de la vie d'une femme (1929) de Stefan Zweig
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Des histoires ordinaires (1982) de Michèle Enouf
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