Citation Il n y a pas d age
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80 citations
Amis, qu'est-ce qu'une grande vie, sinon une pensée de la jeunesse exécutée par l'âge mûr ? La jeunesse regarde fixement l'avenir avec son oeil d'aigle, y trace un large plan, y jette une pierre fondamentale ; et tout ce que peut faire notre existence entière, c'est d'approcher de ce premier dessein. Ah ! quand pourraient naître les grands projets, sinon lorsque le coeur bat fortement dans la poitrine ? L'esprit n'y suffirait pas, il n'est rien qu'un instrument.
Nul ne sait nager avant d'avoir traversé, seul, un fleuve large et impétueux ou un détroit, un bras de mer agités. Il n'y a que du sol dans une piscine, territoire pour piétons en foule. Partez, plongez. Après avoir laissé le rivage, vous demeurez quelque temps beaucoup plus près de lui que de l'autre, en face, au moins assez pour que le corps s'adonne au calcul et se dise silencieusement qu'il peut toujours revenir. Jusqu'à un certain seuil, vous gardez cette sécurité : autant dire que vous n'avez rien quitté. De l'autre côté de l'aventure, le pied espère en l'approche, dès qu'il a franchi un second seuil : vous vous trouvez assez voisin de la berge pour vous dire arrivé. Rive droite ou côté gauche, qu'importe dans les deux cas : terre ou sol. Vous ne nagez pas, vous attendez de marcher, comme quelqu'un qui saute décolle et se reçoit, mais ne demeure pas dans le vol.
Le HLM c'est l'enfer conditionné. On y joue du pick-up, du transistor, de la télé. Quand on fait sonner le réveil, y'a le voisin du dessous qui crie « Entrez ! » On frappe au plafond, au mur… On est deux mille fous, plus qu'à Saint-Anne. Et pourtant, on a tout pour être heureux : le chauffage pulsé, des frigidaires, un parking réservé, mais pas de murs, des cloisons !… La nuit on entend grincer les cosy-corners. On entend la France qui se repeuple… On pense à la Chine… On voit des dragons au plafond.
Désormais, Paol est un ennemi du Reich, un indésirable. On lui a retiré ses papiers, ses lacets, sa ceinture. Sur la paillasse, il ne cesse de recomposer les derniers instants, son cerveau ayant tout enregistré, il voit enfin la scène, y traquant en vain quelque chose, un indice : les pas dans la cour, la sonnerie, son nom prononcé derrière la porte, les sbires qui se ruent, cette narcose vénéneuse filtrant de partout, avec lui au milieu, en accéléré entre les plans ralentis, c'était son coeur qui battait fort, il est ceinturé dans la Citroën, la portière claque, il traverse le bourg, croise une section de soldats allemands en colonne, et puis deux gars au seuil d'une ferme, un copain sur son vélo au croisement, un autre plus âgé qui guette par la fenêtre en angle du café d'Ys, tout le village sera au courant, la voiture descend jusqu'à l'Aulne pour franchir le pont, le bruit du moteur coupe en deux les champs et les futaies en attaquant une nouvelle côte, il a un mal de tête atroce, sa main est insensible comme du marbre, et le ruban d'asphalte par la lunette arrière est devenu sa vie débobinée tant les virages se répètent et s'évanouissent, il n'y a pas de héros, il doit oublier le réseau, ils vont si vite, un accident serait préférable à ce qui l'attend, et après le dernier croisement le panneau fléché « BREST » lui oppresse soudain la poitrine et l'affole…
Le temps passe et je « passe » dans le temps, c'est un phénomène que je vis, que je sens, qui me transporte irrésistiblement. Tout ce dont je suis sûr, c'est qu'il est plus âgé que moi, mais quand a-t-il commencé ? C'est l'idée de « création », présente dans un grand nombre de traditions religieuses, en particulier dans la Genèse, qui nous interpelle. Elle implique qu'il fut un temps pendant lequel il n'y avait « rien », que le monde n'a pas toujours existé, qu'il est apparu soudain comme sortant d'un néant primordial ou du chapeau d'un magicien. Cette idée est purement spéculative. Une invention de l'esprit humain.
Dans ce contexte, l'usage de la force ne se justifie pas aujourd'hui. Il y a une alternative à la guerre : désarmer l'Irak par les inspections. De plus, un recours prématuré à l'option militaire serait lourd de conséquences.
La vie en communauté, l'amour collectif, c'est bien joli, mais j'aimerais un peu d'exclusivité. Or à Liberty House, l'amour est diffus et indifférencié : chacun en a sa part et tous l'ont tout entier — ce qui me convient mieux en théorie qu'en pratique. Depuis mon arrivée ici, je partage tout avec tous : les douches, les repas, les corvées ménagères, les soirées au coin du feu, ou les salutations au soleil. Même mes parents ont cessé de m'appartenir, et je les surprends parfois à poser sur moi un regard perplexe, comme s'ils avaient complètement oublié mon existence, absorbés qu'ils sont par la leur.
J’ai vu beaucoup de gens célèbres, mais peu de têtes impressionnantes. Chacun fait ce qu’il peut. J’admire le plus ceux qui travaillent le plus. Et davantage ceux qui travaillent dans la joie. Je ne suis intimidée par personne. Chacun est fait avec deux bras, deux jambes, un ventre et une tête. Il suffit d’y songer, de regarder, d’apercevoir la grande qualité ou le petit défaut. D’ailleurs, je ne juge pas. Je ne veux pas juger. Nous avons tous assez de peine, au fond.
J'aime l'automne parce que tout devient bonus. Les jours raccourcissent, mais il y a une urgence à profiter du moindre rayon, de la première éclaircie. et puis, j'adore les couleurs, le feuillage arc-en-ciel des arbres. On dirait un tableau de maître. L'été, ils sont tous verts, c'est sans surprise, mais, dès septembre, c'est une explosion de couleurs, des nuances plus merveilleuses les unes que les autres: entre deux feuillages verts, un jaune; un arbre rouge qui irradie, incendie, embrase à lui seul une forêt entière, les milles teintes d'orange qui redonnent à chaque regard un nouvel intérêt. En automne, la nature récompense les patients, les observateurs, les optimistes, ceux qui décèlent le beau là où d'autres ne prennent pas le temps de le voir.
Il n'y a pas de milieu: quand on n'est plus jeune, on est vieux, et à partir de cinquante ans, on est tous du même âge.
Jusqu'à douze ans — oui, douze ans sonnés ! — il venait dans le lit de sa mère, une demi-heure, avant d'aller se coucher. Elle le tenait contre elle, en chemise de nuit, chaud comme un oison ; ils causaient, quelquefois ils lisaient le même livre ; c'est ainsi qu'ils lurent ensemble le début de Quo Vadis : l'amour des Romains prit naissance sous le drap, ce qui était parfaitement adapté. Tant qu'il y eut la gouvernante anglaise, à neuf heures précises elle frappait : Alby, it's time. Mme de Bricoule maudissait la gouvernante, dans son langage peu châtié, dès qu'elle avait tourné le dos. Un jour, à douze ans, sans savoir même ce qu'il faisait, il toucha sa mère où il ne faut pas. Elle lui dit le lendemain : « Maintenant tu ne viendras plus dans mon lit. Tu es trop grand. » Il l'accueillit sans y prendre garde, comme il avait fait son geste sans y prendre garde. Mais, elle, ce petit homme chaud lui manquait durement.
Le public m'identifie beaucoup à mes rôles de râleurs, je ne peux rien y faire. Mais ça ne veut pas dire que je dois être d’accord ou me conformer à cette image. Les gens trouvent que je joue toujours la même chose? Tant mieux pour eux! Je pourrais leur prouver le contraire. Mais j’ai franchement autre chose à foutre. Je connais la névrose des gens, à vouloir tout ranger dans un tiroir. Donc rien d’extraordinaire, il y a des clichés sur moi comme il y en a sur tous les sujets.
On n'est pas très heureux quand il y en a beaucoup. Mais ce n'est pas nous qui choisissons. C'est un enrichissement sauvage, on adopte parfois des anglicismes qui ne sont pas nécessaires et qui ont un équivalent en français. Mais, il y a des anglicismes depuis le Moyen Age. Et le français a plus enrichi la langue anglaise que l'inverse.
[Les Musulmanes] ne veulent pas de liberté ! Je vais vous dire : récemment, j'ai discuté avec quelqu'un, une personne dont je tairai le nom parce que c'est vraiment gênant… Et cette personne me disait : « Nous voulons libérer les femmes du vous-savez-quoi. » D'abord, j'ai répondu : « Oui, ça paraît logique. C'est sympa. » Et puis, j'ai vu des entretiens de femmes. Elles disaient : « Mais nous ne voulons pas la retirer, on la porte depuis des millénaires. Pourquoi quelqu'un nous y forcerait-il ? » Elles le veulent ! Mince alors ! Pourquoi va-t-on s'embourber dans ce débat ? En fait, c'est même pratique : elles n'ont même plus à mettre de maquillage. Regardez comme elles sont belles… Est-ce que ce ne serait pas plus simple ? Je vous le dis : si j'étais une femme, hop ! « Et voilà chéri, je suis prête ! » Sérieusement… La raison pour laquelle je ne peux pas dire le nom de la personne, c'est parce que c'est un républicain. Mais les démocrates n'en pensent pas moins ! Ils veulent de la démocratie. Mais on ne peut plus avoir de démocratie...
« On ne va quand même pas croire à ces conneries », ai-je entendu. Il faut bien y croire puisque c’est là, puisque nous voilà cloîtrés, calfeutrés. Puisque jamais l’avenir n’a paru aussi incertain. Nous sommes confinés. J’écris cette phrase mais elle ne veut rien dire. Il est 6 heures du matin, le jour pointe à peine, le printemps est déjà là. Sur le mur qui me fait face, le camélia a fleuri. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Ça ne peut pas être. Cela ressemble aux histoires qu’on invente à Hollywood, à ces films que l’on regarde en se serrant contre son amoureux, en cachant son visage dans son cou quand on a trop peur. C’est le réel qui est de la fiction.
René est toujours avec moi. On était comme cul et chemise, on ne pouvait pas se passer l'un de l'autre. Avec lui, c'était facile : il se mettait à l'ouvrage, il pondait un scénario comme ça. Il n'y avait rien à jeter et je me mettais au travail. Je dessinais la première planche, c'était magique ! Parfois, quand le succès survient dans un couple, il le vit mal, il ne résiste pas. Mais entre nous, cela a duré. Chacun respectait le rôle de l'autre.
Voilà à peu près ce qu'elle disait : l'héritage, comme le milieu où nous avons grandi et le statut social, sont des cartes que l'on distribue à l'aveuglette au début du jeu. Il n'y a aucune liberté là-dedans : on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement. Mais, poursuivait ta mère, la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu'il a reçues. Il y en a qui jouent formidablement avec des cartes médiocres, et d'autres qui font exactement le contraire : ils gaspillent et perdent tout, même avec des cartes exceptionnelles ! Voilà où réside notre liberté : nous sommes libres de jouer avec les cartes que l'on nous a distribuées. Et nous sommes également libres d'y jouer comme nous l'entendons, en fonction - là est l'ironie - de la chance de chacun, de sa patience, de son intelligence, son intuition et son audace : vertus qui sont également des cartes distribuées au hasard au début du jeu. Que reste-t-il donc de la liberté de choix dans ce cas ? Pas grand-chose, selon ta mère, sauf peut-être la liberté de rire de notre situation ou de la déplorer, de jouer ou de ne plus jouer, d'essayer plus ou moins de comprendre les tenants et les aboutissants ou d'y renoncer, bref - nous avons le choix entre passer notre vie sur le qui-vive ou dans l'inertie. C'est en gros ce que disait ta mère, mais avec des mots à moi. Pas les siens. Avec les siens, je n'en suis pas capable
Non, Jem, moi je pense qu'il y a qu'une sorte de gens, les gens. […]
– C'était ce que je pensais moi aussi, […] quand j'avais ton âge. S'il y a qu'une sorte de gens, pourquoi n'arrivent-ils pas à s'entendre ? S'ils se ressemblent, pourquoi passent-ils leur temps à se mépriser les uns les autres ?Mais ce voyage a été très utile : maintenant, Camille sait qu'il n'y a pas de famille idéale. Non, quand on s'aime, toutes les familles sont idéales !
Dans les discussions, il n'y a pas seulement en présence l'erreur et la vérité, il y a des amours-propres. Très peu d'hommes quand ils discutent ont le courage d'être entièrement de bonne foi, s'il existe de ces esprits-là.
Ce serait bien de rappeler de temps en temps qu'il y a quand même beaucoup d'acteurs au chômage qui ne gagnent pas un rond.
J'avais toujours cru que le mariage, tout comme l'opéra et les épinards, n'était pas ma tasse de thé. J'ai changé d'avis à propos de l'opéra quand j'avais neuf ans. Mon père m'a emmenée à la première de Madame Butterfly à Brescia en 1904. Après le spectacle, pendant que papa faisait la cuisine, Puccini m'a régalée avec des histoires drôles et a signé mon carnet d'autographes ; c'est comme ça que je suis devenue une fervente adepte de l'art lyrique. De la même façon, il a fallu que je tombe amoureuse de Landen pour reconsidérer ma vision du mariage. J'ai trouvé ça passionnant et exaltant : deux êtres, ensemble, n'en formant qu'un. J'étais à ma juste place... heureuse, satisfaite, épanouie. Et les épinards ? Ma foi, j'attends toujours.
La première pensée qui se présente d’abord à mon esprit, au sujet d’un tel être, que l’on dit être si bon, si beau, si sage, si grand, si excellent, si admirable, si parfait et si aimable, etc., est que s’il y avait véritablement un tel être, il paraîtrait si clairement et si visiblement à nos yeux et à notre sentiment que personne ne pourrait nullement douter de la vérité de son existence. Il y a au contraire tout sujet de croire et de dire qu’il n’est pas.
C’est une chose d’une grande conséquence que d’habiller les pingouins. À présent, quand un pingouin désire une pingouine, il sait précisément ce qu’il désire, et ses convoitises sont bornées par une connaissance exacte de l’objet convoité. En ce moment, sur la plage, deux ou trois couples de pingouins font l’amour au soleil. Voyez avec quelle simplicité ! Personne n’y prend garde et ceux qui le font n’en semblent pas eux-mêmes excessivement occupés. Mais quand les pingouines seront voilées, le pingouin ne se rendra pas un compte aussi juste de ce qui l’attire vers elles. Ses désirs indéterminés se répandront en toutes sortes de rêves et d’illusions ; enfin, mon père, il connaîtra l’amour et ses folles douleurs. Et, pendant ce temps, les pingouines, baissant les yeux et pinçant les lèvres, vous prendront des airs de garder sous leurs voiles un trésor !… Quelle pitié !
Johnny m'avait dit : tu sais, on a tous voulu s'appeler Dick Rivers. Pour ce personnage du film Loving you… Il faut se rendre compte que c'était notre livre de chevet à l'époque, avec cette musique révolutionnaire. Mais le nom, bon, c'était un peu un hasard, je n'ai pas cherché pendant des heures. Ce qui nous plaisait, nous, c'était d'avoir un nom anglophone. Les « Chats Sauvages », comme les « Chaussettes noires » pour Eddy Mitchell, ça nous a été imposé. Mais on nous aurait demandé de prendre un coup de pied au cul on l'aurait fait, tellement on aimait cette musique.
Cinq-Mars (1826) de Alfred de Vigny
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Le Tiers-instruit (1991) de Michel Serres
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Un idiot à Paris de Michel Audiard
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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Interview Tant de temps , Propos recueillis par Anne-Sophie Novel pour Le Monde de Hubert Reeves
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Discours au Conseil de Sécurité des Nations unies, New-York, 14 février 2003 de Dominique de Villepin
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Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
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« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
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Le tourbillon de la vie (2021) de Aurélie Valognes
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Sans référence de Georges Courteline
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Interview Trois Couleurs, Propos recueillis par Renan Cros, Octobre 2017 de Jean-Pierre Bacri
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Interview Le Parisien, Le 12 mai 2016 de Alain Rey
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The Huffington Post, 17 octobre 2015, de Donald Trump
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Le « Journal du confinement » de Leïla Slimani (2020) de Leïla Slimani
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Entretien, Le Parisien par Adeline Fleury, Le 30 novembre 2018 de Albert Uderzo
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur (2005) de Harper Lee
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Camille veut une nouvelle famille (2013) de Yann Walcker
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De la Nature humaine (1868) de Charles Dollfus
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interview de Sophie Marceau par Gaël Golhen à Première lors de sa sortieen février 2013 de Sophie Marceau
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Délivrez-moi ! (2005) de Jasper Fforde
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Mémoire des pensées et sentiments (1762) de Jean Meslier
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L'Ile des Pingouins (1908) de Anatole France
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Interview au Télégramme parue le 14 novembre 2018, de Dick Rivers
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