Citation Ont une fin
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème Ont une fin.
140 citations
Les chiens sont pour l'ordinaire de deux teintes opposées, l'une claire et l'autre rembrunie, afin que quelque part qu'ils soient dans la maison, ils puissent être aperçus sur les meubles, avec la couleur desquels on les confondrait.
Enfin, je dis que pour être heureux il faut être susceptible d'illusion, et cela n'a guère besoin d'être prouvé ; mais, me direz-vous, vous avez dit que l'erreur est toujours nuisible : l'illusion n'est-elle pas une erreur ? Non : l'illusion ne nous fait pas voir, à la vérité, les objets entièrement tels qu'ils doivent être pour nous donner des sentiments agréables, elle les accommode à notre nature. Telles sont les illusions de l'optique : or, l'optique ne nous trompe pas, quoiqu'elle ne nous fasse pas voir les objets tels qu'ils sont, parce qu'elle nous les fait voir de la manière qu'il faut que nous les voyions pour notre utilité. Quelle est la raison pour laquelle je ris plus que personne aux marionnettes, si ce n'est parce que je me prête plus qu'aucun autre à l'illusion, et qu'au bout d'un quart d'heure je crois que c'est Polichinelle qui parle ? Aurait-on un moment de plaisir à la comédie, si on ne se prêtait à l'illusion qui vous fait voir des personnages que vous savez morts depuis longtemps, et qui les fait parler en vers alexandrins ? Mais quel plaisir aurait-on à un autre spectacle où tout est illusion, si on ne savait pas s'y prêter ? Assurément, il y aurait bien à perdre, et ceux qui n'ont à l'opéra que le plaisir de la musique et des danses y ont un plaisir bien décharné et bien au-dessous de celui que donne l'ensemble de ce spectacle enchanteur. J'ai cité les spectacles, parce que l'illusion y est plus aisée à sentir. Elle se mêle à tous les plaisirs de notre vie, et elle en est le vernis.
Pour Aristote, il existe assurément une déontologie; il y a des choses qu'il «faut» faire, il ne faut les faire que parce qu'elles sont requises pour atteindre une certaine fin.
Oui, retourner à la littérature, le seul lieu où l'ici et l'ailleurs sont enfin une même et unique existence.
Tout homme, dis-je, dont l'esprit est agité et comme obscurci par une multitude confuse de pensées qu'il a peine à débrouiller sentirait sa raison se fortifier et ses idées s'éclaircir quand il ne ferait que les communiquer à son ami, et discourir avec lui sur ce qui l'occupe ; car alors il discute ses opinions avec plus de facilité, il range ses idées avec plus d'ordre, enfin il juge mieux de la vérité et de l'utilité de ses pensées quand elles sont exprimées par des paroles.
Le dribble n'est pas né par hasard au Brésil. Les premiers joueurs noirs ont commencé à dribbler pour éviter les contacts avec les défenseurs blancs et éviter de se faire rosser sur la pelouse et à la fin des matchs. Il s'est développé sur les plages et les terrains vagues, avec une pelote de chaussettes ou une petite balle en caoutchouc. C'est un mouvement de hanche, similaire à celui des danseurs de Samba et des lutteurs de Capoeira, ludique, acrobatique, marque des plus grands solistes.
J'ai voulu tout à la fois écrire, diriger et jouer mon trentième film afin d'extraire cette fois non pas une, mais quatre frustrations qui, accumulées, ont failli me conduire au suicide : celle de l'acteur rentré que je suis, celle d'avoir vu me filer entre les doigts, pour les succès faciles de la télé cairote, le jeune Mohsen Mohieddine que j'avais patiemment formé pour être mon acteur-fétiche et qui, comme Omar Charif jadis, m'a finalement échappé ; celle de tout créateur égyptien contemporain dont le travail est en butte à une administration qui trompe et dépouille ceux-là mêmes qu'elle devrait défendre... La frustration enfin du Festival de Cannes 1985 où tout indiquait que mon film Adieu Bonaparte ou, en tout cas, Mohsen Mohieddine remporterait un prix et où nous nous sommes finalement retrouvés assommés, abandonnés sans même une fleur.
Aimer n'est pas le salut que l'on croit mais, bien plutôt, une manière de loup dont nous ornons notre visage afin de cacher sa détresse à ce miroir que notre esprit ne cesse d'être jusqu'au plus vertigineux de la passion.
Je ne me sens pas coupable vis-à-vis des livres que je n'ai pas lus et ne lirai peut-être jamais je sais que mes livres ont une patience illimitée. Ils m'attendront jusqu'à la fin de mes jours.
Toutes les forêts de Bretagne, même moins célèbres que celles de Paimpont - appelée à tort Brocéliande - recelaient des mystères, des étangs secrets, et peut-être des enchanteurs. Il suffisait de tomber sur une minuscule clairière, éclairée d'un rayon de soleil fin comme une épée et dardé à travers le feuillage, pour croire à la magie.
Je voudrais qu'il aimât les clairs de lune, les roses pompon, les nostalgies exotiques, les langueurs printanières, les névroses fin de siècle, toutes choses que personnellement j'abomine mais qui, de nos jours, font bien dans un roman.
On croit que les histoires se déroulent avec une sorte de logique, un début et une fin, on fait semblant de ne pas savoir qu'elles sont là tout entières depuis le début, avec leur commencement et leur chute. Mais il faut se mentir un peu.
Entrés chômeurs dans ces bureaux, tous ressortiront vigiles. Ceux qui ont déjà une expérience du métier savent ce qui les attend les prochains jours : rester debout toute la journée dans un magasin, répéter cet ennuyeux exploit de l'ennui, tous les jours, jusqu'à être payé à la fin du mois. Debout-payé.
Je me décidai en fin de compte à rechercher s'il n'existait pas un bien véritable et qui pût se communiquer, quelque chose enfin dont la découverte et l'acquisition me procureraient pour l'éternité la jouissance d'une joie suprême et incessante.
Une pluie mêlée de flocons de neige tombait sur la terre étrangère. La piste de béton, les bâtiments et les gardes de l'aérodrome étaient trempés. La neige fondue baignait la plaine et les collines à l'entour, faisant luire l'asphalte noir de la chaussée. En toute autre saison cette pluie monotone eût semblé à quiconque une triste coïncidence. Mais le général n'était guère surpris. Il venait en Albanie afin d'assurer le rapatriement des restes de ses compatriotes tombés à tous les coins du pays pendant la dernière guerre mondiale. Les négociations avaient été entamées dès le printemps et les contrats définitifs signés seulement à la fin du mois d'août, quand, justement, les premières journées grises font leur apparition. On était maintenant en automne. C'était la saison des pluies, le général le savait. Avant son départ, il s'était renseigné sur le climat du pays. Cette période de l'année y était humide et pluvieuse. Mais le livre qu'il avait lu sur l'Albanie lui aurait-il appris que l'automne y était sec et ensoleillé, cette pluie ne lui aurait pas, pour autant, paru insolite. Au contraire. Il avait en effet toujours pensé que sa mission ne pouvait être menée à bien que par mauvais temps.
Tu penses ? La réflexion est l'acide qui ronge insidieusement la foi. Ton devoir est de croire, pas de penser, car l'esprit d'un être humain est inférieur à celui du Créateur. Tes idées et toutes celles qui tournent dans le cerveau des gens n'ont aucune valeur. L'humanité est méprisable, quand le comprendras-tu enfin ? Une seule chose compte: l'amour et la bonté que le Créateur a quand même instillés dans l'âme des pêcheurs.
Si tu veux être une esclave jusqu'à la fin de tes jours, continue à demander aux autres de s'impliquer à ta place. Certains accèderont à ta demande, c'est sûr, mais tu découvriras vite que cela te coûte ta liberté, ton libre arbitre et ta vie, en fin de compte. Ils agiront pour toi, mais tu leur seras liée à jamais, cédant ton identité et ton autonomie pour moins qu'une bouchée de pain. Alors, et seulement alors, tu ne seras rien en ce monde, et ce parce que tu l'auras voulu !
On trouve dans le monde beaucoup d'injustices, mais il en est une dont on parle jamais, qui est celle du climat. De cette injustice-là, j'ai été longtemps, sans le savoir, un des profiteurs. J'entends d'ici les accusations de nos féroces philanthropes, s'ils me lisaient. Je veux faire passer les ouvriers pour riches et les bourgeois pour pauvres, afin de conserver plus longtemps l'heureuse servitude des uns et la puissance des autres. Non, ce n'est pas cela. Au contraire, lorsque la pauvreté se conjugue avec cette vie sans ciel ni espoir qu'en arrivant à l'âge d'homme j'ai découverte dans les horribles faubourgs de nos villes, alors l'injustice dernière, et la plus révoltante, est consommée: il faut tout faire, en effet, pour que ces hommes échappent à la double humiliation de la misère et de la laideur. Né pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu'était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l'extrême misère arabe ne peut s'y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu'on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur existence.
Quand j'étais enfant, j'appartenais à l'espèce des poids lourds, difficiles à vaincre, difficiles à remuer, lents à s'émouvoir. Aussi il arrivait souvent que quelque poids léger, maigre de tristesse et d'ennui, s'amusait à me tirer les cheveux, à me pincer, et avec cela se moquant, jusqu'à un coup de poing sans mesure qu'il recevait et qui terminait tout. Maintenant, quand je reconnais quelque gnome qui annonce les guerres et les prépare, je n'examine jamais ses raisons, étant assez instruit sur ces malfaisants génies qui ne peuvent supporter que l'on soit tranquille. Ainsi la tranquille France, comme la tranquille Allemagne, sont à mes yeux des enfants robustes, tourmentés et mis enfin hors d'eux-mêmes par une poignée de méchants gamins.
Personne ne peut se renier. Peut-être ne peut-on tout simplement pas faire tomber en se secouant toutes les influences qui ont marqué une enfance. Alain ne le pouvait pas, je ne le pouvais pas non plus. C'est pourquoi, dès le début de nos rapports, la fin était inévitable. Seulement, à ce moment-là, nous ne le savions pas encore. Ou bien nous ne voulions pas en convenir - en tous cas, pas moi.
Peu importe mes pensées ; j'ai commencé ce livre avec l'intention de ne rien céler, afin que ceux qui le voudraient pussent lire dans le coeur d'une de leurs semblables; mais il est certaines pensées que seules les anges ont le droit de contempler du haut du ciel, et qu'il convient de cacher à notre prochain, fût-il le meilleur et le plus bienveillant
Elle ne ramassait plus les coquilles porte-soie dont le byssus fin, brillant et moelleux, pouvait devenir une fibre textile qu'elle peignait et filait les nuits où elle ne dormait pas, afin d'en fabriquer des sacs pour ranger sa nourriture.
Pour caractériser mon personnage, disons tout d’abord que ses origines sociales modestes et sa très grande culture le singularisent à la cour. Il lui arrive d’être naïf, maladroit, de susciter la colère ou l’hilarité du roi ; il est ambitieux aussi, il écrit de la littérature, et caresse même l’idée, très brièvement, de se laisser porter à de hautes responsabilités par les révolutionnaires qui entrent en contact avec lui. Il a le même âge que le roi, il a été choisi, quand il était enfant, pour accompagner ce prince dans sa scolarité, et il y a entre eux un rapport complexe de familiarité et de distance, presque de rivalité gémellaire. Sa « confession », comme vous l’appelez, s’arrête en 1972, et on le retrouve à la fin, en 1999, après la mort du roi et peu avant la sienne. Il y a une grande ellipse narrative concernant ce qui lui arrive alors, mais il est cependant assez clair que sa vie va prendre un autre tour, et qu’il ne sera sans doute plus ce lettré aux mains à peu près pures dont on a suivi le récit.
Quand les fourmis sont petites. elles ont toutes des ailes; le temps des amours arrive, elles s'élèvent dans les airs en couples bourdonnants et s'unissent pendant leur vol; puis l'œuvre de la fécondation terminée, elles redescendent sur la terre, et là, elles-mêmes, avec leurs pattes de devant, elles tirent et font tomber leurs petites ailes, légers instruments de leurs amours aériens. Plus de courses à travers le ciel. plus de volages tendresses, la vie sérieuse a commencé pour elles, elles sont mères. Voilà notre modèle. Que la jeune fille n'arrive au mariage que l'esprit déjà libre de ses frivoles désirs satisfaits; qu'elle apporte dans sa condition nouvelle un caractère formé par une vie de travail et de charité; que son organisation. pleinement développée, puisse suffire aux fatigues qui l'attendent : qu'elle soit enfin une épouse. une mère. et non un enfant, c'est-à-dire qu'elle ait vingt-deux ans et non pas dix-huit.
Seulement, il arrive qu’on meurt ; et les causes qui font mourir sont plus ou moins visibles, mais leur effet est toujours le même. La vie n’a plus la saveur de la vie. Plaisir aussi bien que douleur, tout est frelaté ; l’action est comme une source tarie. Alors il est inévitable que le monde s’écroule faute d’action. Pour ceux qui ne veulent plus vivre, c’est bientôt la fin du monde. C’est ainsi qu’on meurt. Mourir, c’est renoncer.
Les Etudes de la nature (1784) de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre
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Discours sur le bonheur (1779) de Émilie Du Châtelet
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L'Esprit de la philosophie médiévale (1932) de Etienne Gilson
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Patagonie intérieure (2013) de Lorette Nobécourt
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Essais , XXVII. De l'amitié de Francis Bacon
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Éloge de l'esquive de Olivier Guez
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Film Alexandrie encore et toujours (1990) de Youssef Chahine
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Le Dieu des mouches (1959) de Jean-Paul Baron, dit Frédérick Tristan
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La Bibliothèque, la nuit (2006) de Alberto Manguel
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La Promesse de l'océan (2015) de Françoise Bourdin
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Le Vol d'Icare (1968) de Raymond Queneau
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Sur le sable (2009) de Michèle Lesbre
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Debout-payé de Armand Patrick Gbaka-Brédé , dit Gauz
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Traité de la réforme de l'entendement (1661) de Baruch Spinoza
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Le Général de l'armée morte (1963) de Ismaïl Kadaré
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La Foi des réprouvés de Terry Goodkind
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Les Piliers de la création de Terry Goodkind
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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Propos sur le bonheur (1928) de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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Moi, Romy (1990) de Romy Schneider
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Agnes Grey (1847) de Anne Brontë
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Histoire de la mer (1973) de Jean Cayrol
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Entretien Destimed, propos recueillis par Jean-Rémi BARLAND, 2 septembre 2020 de Maël Renouard
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Histoire morale des femmes (1848) de Ernest Legouvé
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Propos d'un Normand (1906) de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
Références de Emile-Auguste Chartier, dit Alain - Biographie de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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