Citation Si tant est que
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Une Sélection de 470 citations et proverbes sur le thème Si tant est que.
470 citations
C'est si bon de donner aux bons que, cet acte n'étant guère accompagné de mérite, Dieu nous oblige aussi à donner aux méchants.
Ce sont toujours ceux qui posent des questions qui sont les plus dangereux. Répondre, ce n'est pas si compromettant. Une seule question peut être plus explosive que mille réponses.
Le bonheur, mon cher, est un fantastique palais où il faut se hâter d'entrer dès qu'on le peut. Si on hésite un instant, le palais s'effondre comme les nuages qu'on voit quelquefois, château maintenant, désert tout à l'heure.
L'oubli est parfois aussi important que la mémoire.
Aussi ne suis-je pas ici pour vous parler en tant qu'Américain, en tant que patriote, en tant qu'adorateur ou porteur de drapeau – non, ce n'est pas mon genre. Je m'adresse à vous en tant que victime de ce système américain. Et je vois l'Amérique par les yeux de la victime. Ce n'est pas un rêve américain que je vois, mais un cauchemar américain
J’ai décidé d’employer ce vide à écrire. Pour tenir à distance les présages et trouver une meilleure façon de réfléchir à tout cela. L’écriture a parfois le pouvoir de se muer en un lest qui ancre au sol. Ce n’est pas tout : je ne veux pas passer à côté de ce que l’épidémie nous dévoile de nous-mêmes. Une fois la peur surmontée, les idées volatiles s’évanouiront en un instant – il en va toujours ainsi avec les maladies.
Ta doctrine politique n'est que vent et fumée si elle ne renouvelle les doctrines sociales. Autant vaudrait planter un arbre les racines en l'air.
Ah! nos nuits d'amour, Lucienne! L'union des corps et des coeurs. L'instant, l'instant unique où on ne sait plus si c'est la chair ou si c'est l'âme qui palpite...
Je ne crois pas en un Dieu personnel et je ne l'ai jamais nié, mais exprimé clairement. Si quelque chose en moi peut être appelé religieux, c'est l'admiration sans bornes pour la structure du monde pour autant que la science peut nous en révéler.
J'ai trouvé ainsi, dans la langue française, des choses qui y étaient déjà, intégrées en profondeur, attachées à la mélodie de cette langue. Le caractère mélodique, c'est ce qui manque le plus souvent. Moi, je suis très hanté par la mélodie de la langue française et, en tant que lecteur, je vais vers les auteurs chez qui je la trouve. La mélodie, c'est le gage de l'immortalité pour un auteur.
Il est d'ailleurs évident et incontestable que l'inconstance en amour n'existe qu'à cause de la diversité des figures. Si on ne les voyait pas, l'homme se conserverait toujours amoureux constant de la première qui lui aurait plu.
Celui qui s’en va quelque part avec une valise risque d’en revenir avec deux. Étrange faculté d’accumulation de l’être humain, étrange aussi sa façon de distinguer entre ce qui est ou non important.
Il est utopique d'espérer un monde meilleur car il y aura toujours des exploitants et des exploités. Et si ce n'est pas bien d'être exploitant, c'est pire d'être exploité.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Pourtant, dès mon premier ouf, c'est inouï comme j'avais soif d'aimer les autres. Enfant de la lune et du soleil, j'avais une envie folle de coller mon oreille contre le fût des arbres. D'écouter battre sous l'écorce le suc de la terre. De me mêler à la gaudriole générale. A tout ce raffut de la création. D'orchestrer le cui cui des oiseaux, d'apprivoiser le savoir des personnes. Pas une minute, je n'imaginais que les gens puissent être aussi arrogants, aussi méchants.
Le calcul que vous trouvez si mauvais est pourtant celui de toutes les passions. Des années entières de poursuite, pour la jouissance d'un moment.
A chaque instant correspond aussi quelque chose qui est hors du temps. A l'ici-bas ne peu succéder aucun au-delà, car l'au-delà est éternel, il ne peut donc pas avoir de contact temporel avec l'ici-bas.
Chez nous, il est défendu de persécuter. Nous avons, il est vrai, des fanatiques qui, faute de persécution, se brûlent eux-mêmes, mais si ceux des autres pays en faisaient autant, il n'y aurait pas grand mal, le monde n'en serait que plus tranquille.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve."Mal de mer : Effet désagréable que provoque la mer sur certains passagers d'un bateau. Les grandes douleurs étant muettes, dès qu'ils quittent terre, l'effet de la mer les fait taire. Heureusement, le mal de mer ne fait que passer, comme les passagers eux-mêmes ; ce qui fait que l'effet mer est aussi passager que le passager est éphémère."
Il n'est rien en somme dont l'homme ne se cache aussi totalement que de la masturbation. Notre jeunesse pourtant se développe autour et le nombre d'hommes et de femmes qui s'y adonnent, jusqu'au déclin de leurs désirs, est prodigieux.
Quant au commun des hommes, on voit bien aussi par leurs mœurs et par leur conduite que la plupart d’entre eux ne sont guère mieux persuadés de la vérité de leur religion ni de ce qu’elle leur enseigne que ceux dont je viens de parler, quoiqu’ils en fassent plus régulièrement les exercices. Et ceux qui parmi le peuple ont tant soit peu d’esprit et de bon sens, tout ignorants qu’ils soient d’ailleurs dans les sciences humaines, ne laissent pas que d’entrevoir, et de sentir même en quelque façon, la vanité et la fausseté de ce qu’on leur veut faire accroire sur ce sujet, de sorte que ce n’est que comme de force, comme malgré eux, comme contre leurs propres lumières, comme contre leur propre raison, et comme contre leurs propres sentiments qu’ils croient ou plutôt qu’ils s’efforcent de croire ce qu’on leur en dit.
"Pour moi, la galanterie, c'est très important ; seulement, je n'arrive jamais à me souvenir si la politesse veut que je tienne la porte à la dame ou si c'est le contraire"
C'est un été sur la péninsule armoricaine, qu'importe qu'il pleuve, qu'il vente, les éclaircies sont généreuses, ils se baigneront dans la darse ou ils iront explorer pour la centième fois la grotte Absinthe qu'il faut forcer avec le flux pour rejoindre ses entrailles, un théâtre de reflets qui s'ouvre sur trente mètres de large, là aussi voilà un secret, le secret des falaises, il règne dans cette cavité une semi-obscurité, l'eau y est fraîche, les voix résonnent, les respirations font de la buée entre les parois, et alors que leurs jambes ne sont plus que des pointillés mobiles, ils ont la sensation d'être immergés dans l'instant même, pris dans le miel des photons et des reflets, autant dire l'éternité, l'éternité de Kergat...
Si le fils d'un meunier, avec tant de vitesse, - Gagne le coeur d'une princesse, - Et s'en fait regarder avec des yeux mourants, - C'est que l'habit, la mine et la jeunesse, - Pour inspirer de la tendresse, - N'en sont pas des moyens toujours indifférents.

Augusta Amiel-Lapeyre
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Giacomo Giovanni Girolamo Casanova
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Alfred de Vigny
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Jean Vautrin
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Denis Diderot
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Franz Kafka
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Marc Escayrol
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Charles Perrault
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