Citation Sur l homme
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400 citations
Le bateau est un admirable outil, à la fois poisson et oiseau; par le bateau, l'homme sent l'eau et le vent sur ses paumes; mais enfin le bateau n'est pas lui. Il le répare, il l'arme, il le nomme; mais il l'use et le laisse.
L'intelligence, dans la nature, ce n'était qu'une pauvre petite lueur qui devait nous guider dans l'accomplissement des actes quotidiens. Et nous sommes comme serait un homme qui porte une lampe dans un souterrain à la recherche d'un trésor. Soudain, la lampe fume, ou flamboie, ou ronfle, ou crépite. Alors, il s'arrête, il s'assied par terre, il fait monter ou descendre la mèche, il règle des éclairages. Et ce travail l'intéresse tant qu'il a oublié le trésor, qu'il finit par croire que le bonheur c'est de perfectionner une lampe et de faire danser des ombres sur le mur. Et il se contente de ces pauvres joies de lampiste, jusqu'au jour où il voit soudain que sa vie s'est passée à ce jeu puéril… Alors, il veut se lever, il tend les mains vers le trésor… Trop tard ! La mort déjà le tient à la gorge. L'intelligence, c'est la lampe. Le trésor, ce sont les joies de la vie.
L'homme ne deviendra point vraiment grand aussi longtemps qu'il se juchera sur des échasses.
Faut-il se tourmenter sans trêve ? L'homme est l'esclave du hasard ; il ne peut rien prévoir à coup sûr. Le mieux est de s'en remettre à la fortune le plus qu'on peut.
Tous les lieux communs et les idéaux modernes sont autant de ruses pour éluder le problème du bien. Nous aimons parler de « liberté » et tout en causant nous évitons de discuter ce qui est le bien. Nous aimons discourir sur le « progrès », autre ruse pour éviter de discuter du bien. Nous aimons parler d'« éducation », échappatoire pour nous soustraire à la discussion du bien. L'homme moderne dit : « Laissons de côté toutes ces conventions arbitraires et embrassons la liberté », ce qui peut se traduire logiquement : « Ne décidons pas ce qu'est le bien, mais considérons comme le bien de ne pas en décider. » Il dit : « Assez de vos vieilles formules de morale. Je suis pour le progrès. » Logiquement rendu, cela équivaut à : « N'essayons pas de savoir ce qu'est le bien, mais essayons de savoir comment en avoir davantage. » Il dit : « l'avenir de la race, mon ami, ne dépend ni de la religion ni de la morale, mais de l'éducation. » Clairement exprimé, cela signifie : « Nous ne pouvons pas décider ce qu'est le bien, mais donnons-le à nos enfants. »
Faire parler un homme politique sur ses projets et son programme, c'est comme demander à un garçon de restaurant si le menu est bon. Tout ce qui l'intéresse c'est que vous payiez l'addition: ce n'est pas lui qui aura mal au ventre!
Feuillages et fleurs promettent l'apparition du fruit. Quand celui-ci pèse sur l'arbre, nul ne regrette les fleurs. Et aucun homme ne déplore que son fils soit sorti de l'enfance quand il est parvenu à maturité.
Jouir ! Ce sort est-il fait pour l'homme ? Ah ! Si jamais une seule fois j'avais goûté dans leur plénitude toutes les délices de l'amour, je n'imagine pas que ma frêle existence y eût pu suffire, je serais mort sur le fait.
L'homme a jeté l'immortalité sur la mort comme pour se la cacher c'est qu'il doit absolument mourir et qu'il ne le veut absolument pas.
Pourquoi mettre au monde un enfant si c'est pour ensuite le laisser seul ? Si on n'est pas foutu d'être là pour le guider sur la grand-route de la vie ? Le voir grandir, mettre ses pas dans les siens, devenir à son tour un homme ?
Ce n'est pas parce que l'homme a soif d'amour qu'il doit se jeter sur la première gourde!
O intarissable pêle-mêle, les déplacements de plans, le soleil sanglant, la profonde mer semée de voiles inclinées. Matière sur matière, au point qu'on pourrait s'y dissoudre. Etre homme, être antique, naïf et rien, pourtant heureux.
Ainsi, l’homme jadis laborieux se relâche en toutes choses jusqu’à devenir un simple instrument aux mains de gens qui ne poursuivent que d’ignobles profits. Son chômage lui était si peu imputable à tort que, d’un seul coup, il lui est tout à fait égal de combattre pour des revendications économiques ou d’anéantir les valeurs de l’État, de la société ou de la civilisation. Il devient gréviste sinon avec joie, du moins avec indifférence. J’ai pu suivre ce processus sur des milliers d’exemples. Et plus j’en observais, plus vive était ma réprobation contre ces villes de plusieurs millions d’habitants, qui attirent si avidement les hommes pour les broyer ensuite de façon si effroyable.
Contre ces colères irrépressibles et ces caprices d’enfant gâté, ma mère a épuisé toutes ses cartouches. II n’y a aucun remède à la folie de cet homme qu’on dit caractériel. Leur mariage est une guerre sans fin, un carnage dont tout le monde a oublié l’origine. Le conflit sera bientôt réglé de façon unilatérale. Ce n’est plus qu’une question de semaines. Pourtant, ils ont bien dû s’aimer un jour, ces deux-là. Au bout d’un interminable couloir, occultée par la porte d’une chambre à coucher, leur sexualité a sur moi l’effet d’un angle mort où serait tapi un monstre : omniprésente (les crises de jalousie de mon père en sont le témoignage quotidien), mais parfaitement ésotérique (je n’ai aucun souvenir de la moindre étreinte, du moindre baiser, du plus infime geste de tendresse entre mes parents).
A tous les commentaires désagréables sur la supposée indifférence des Parisiens, je n'oublie jamais d'opposer ce soutien indéfectible des habitués qui avaient accepté en connaissance de cause d'être plus ou moins bien traités selon l'humeur du marchand. Ce qui était une preuve de générosité mais aussi d'intérêt pour le curieux petit homme à la barbe roussie par le fourneau de sa pipe. Il ne ressemblait évidemment pas à l'idée qu'on se fait d'une vie rangée, surtout pour des gens dont on connaissait les allers et retours réglés comme du papier à musique encadrant une journée de bureau.
Qui se règle sur l'idée qu'il a du devoir, est un homme libre jusque dans ses erreurs.
Je n'insisterai pas sur ce qu'il y a d'impossibilité historique à ce que Wagner soit le premier compositeur de l'Allemagne. Alors, Bach ? C'est un homme qui a eu beaucoup d'enfants? Beethoven ? en est un autre qui avait si mauvais caractère qu'il prit le parti de devenir sourd afin de mieux ennuyer ses contemporains avec ses derniers quatuors. Quant à Mozart, il vaut mieux n'en pas parler, c'est un petit voluptueux qui a écrit Don Juan pour embêter l'Allemagne.
L'homme qui sombre, l'homme qui réussit, tous deux sans doute pensent au foyer, se souvenant des jours de leur enfance - l'un seul sur son espar abandonné se noyant sans témoin, l'autre seul au milieu de la foule qui l'applaudit.
Un homme bon ne rend nullement le monde bon, il n'a aucun effet sur le monde: simplement, il s'en isole!
Ne les engagez pas sur des terrains glissants comme la philosophie ou la sociologie pour relier les choses entre elles. C'est la porte ouverte à la mélancolie. Tout homme capable de démonter un télécran mural et de le remonter, et la plupart des hommes en sont aujourd'hui capables, est plus heureux que celui qui essaie de jouer de la règle à calcul, de mesurer, de mettre l'univers en équations, ce qui ne peut se faire sans que l'homme se sente solitaire et ravalé au rang de bête.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Le temps n'est pas seulement le seul véritable ennemi de l'homme, c'est également et surtout son ennemi le plus sournois, le plus lâche. Et, bien sûr, le seul que l'on n'ait pas la moindre chance de vaincre.
« Timshel ». Ce mot de la Bible se traduit par « Tu peux ». C’est un mot à la fois grisant et terrifiant parce qu’il dit une chose fondamentale sur l’homme: contrairement aux animaux qui fonctionnent à l’instinct, l’homme est libre de choisir ses actions. Il est libre de faire le bien ou le mal. Or faire le bien demande un effort. Et c’est lorsque l’homme fait cet effort qu’il devient pleinement humain.
Parce qu’il faut faire le pari, lecteur, mon frère, qu’avec la lecture viendra l’intelligence, et la distance, et que la liberté de lire et de connaître produiront, in fine, plus de bien que l’ignorance. C’est un pari, sur la liberté et sur l’homme.
Oh ! qu'il est donc difficile de devenir un homme ! Même quand on a été au front, qu'on a subi des bombardements, qu'on a sauté sur des mines : ce n'est encore que le début du courage. Ce n'est encore pas tout...
Propos, Chapeaux bretons, 1er octobre 1930 de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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Jazz (1954) de Marcel Pagnol
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Journal de André Gide
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Oedipe Roi (430 av. J.-C.) de Sophocle
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Hérétiques (1912) de Gilbert Keith Chesterton
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Pensées de Jean Dutourd
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Les Colloques, L'ichthyophagie de Erasme
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Les Confessions (édition posthume 1782-1789) de Jean-Jacques Rousseau
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La Proie du Néant, Notes d' un Pessimiste (1886) de Edmond Thiaudière
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Noires blessures (2011) de Louis-Philippe Dalembert
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Textes de scènes (1988) de Pierre Desproges
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Journal (1957) de Paul Klee
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Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande » de Adolf Hitler
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Kiosque (2019) de Jean Rouaud
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De la Nature humaine (1868) de Charles Dollfus
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Monsieur Croche, et autres écrits (1987) de Claude Debussy
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L'Histoire de Pendennis (1848-1850), LX de William Makepeace Thackeray
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L'Homme sans qualités (1933) de Robert Musil
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Fahrenheit 451 (1955) de Ray Bradbury
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Vivre en survivant de Jacques Sternberg
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L'île du diable (2020) de Nicolas Beuglet
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Des hommes qui lisent (2017) de Edouard Philippe
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L'archipel du Goulag (1973) de Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne
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