Citation beaucoup quelque
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Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème beaucoup quelque.
60 citations
Je suis toujours très prudent avec le sujet de “l'identité” parce que beaucoup de candidats à droite et à l'extrême-droite utilisent ce terme pour replier la France sur, en quelque sorte, la haine de l'autre, le fantasme d'un passé qui parfois n'a jamais été. Je crois beaucoup plus au concept d'appartenance à une nation, ce qui n'est pas la même chose qu'une identité. L'Histoire nous l'apprend d'ailleurs.
Ne soyez pas trop moral. Vous pourriez vous priver de beaucoup de vie. Visez plus loin que la moralité. Ne soyez pas simplement bon, soyez bon pour quelque chose.
Pense surtout pas que la poésie, c'est rien qu'un truc de filles. Il y a des poèmes d'amour à l'eau de rose, c'est sûr, mais il y en a aussi des drôles, beaucoup qui parlent de la nature, et même de la guerre. L'idée au fond c'est qu'ils te font toujours ressentir quelque chose.
Le chagrin, à certaine dose, prouve beaucoup d'affection; mais à trop forte dose, il prouve toujours quelque faiblesse d'esprit.
L'eau c'est quelque chose de concret mais pas concret. Parce que l'eau... peut me nourrir, mais aussi l'eau... peut me porter. Parce que l'eau... a des lois magiques. L'eau peut tenir des cargos dans la mer, des milliers de tonnes d'acier... C'est quelque chose qui a beaucoup de dimensions l'eau.
Un savant c'est quelqu'un qui a appris beaucoup de choses ; un génie c'est quelqu'un dont l'humanité a à apprendre quelque chose, qu'elle ne connaissait pas encore.
Il ne suffit donc pas de lire beaucoup, ni même de lire avec méthode, il faut encore lire avec fruit; de manière à retenir et à s'approprier en quelque sorte ce qu'on a lu.
Tu changes de ville, de chambre, de visage, de ville, d'amour, mais même quand tu te dépouilles de tout, il reste toujours quelque chose de permanent, qui réside en toi depuis que tu es doué de mémoire et depuis bien avant que tu aies atteint l'âge de raison, le noyau ou la moelle de ce que tu es, de ce qui jamais ne s'est éteint, non pas une conviction ni un désir, mais un sentiment, parfois amorti comme la braise du feu de la veille cachée sous les cendres, mais presque toujours très vif, qui palpite dans tes actions et qui colore les choses d'un éloignement durable dans le temps; tu as le sentiment d'être déraciné, étranger, de ne jamais être tout à fait nulle part, de ne pas partager les certitudes d'appartenance qui pour d'autres semblent si naturelles ou faciles, ni l'assurance avec laquelle beaucoup d'entre eux s'accommodent ou possèdent, ou bien tiennent pour acquises la solidité du sol où ils marchent, la fermeté de leurs idées, la durée future de leur vie.
On apprend sans doute quelque chose dans les livres, mais on apprend beaucoup plus en voyant du pays.
En quittant la cabine d'Emily (et une telle intimité ne se renouvellerait pas), je savais que je serais toujours lié à elle par quelque rivière souterraine, ou filon de charbon ou d'argent — disons d'argent, car elle a toujours beaucoup compté pour moi. En mer Rouge, je suis sans doute tombé amoureux d'elle. Même si, quand je me suis arraché à elle, le magnétisme, quel qu'il soit, avait perdu sa force. Combien de temps suis-je resté avec Emily dans ce qui m'avait paru un lit haut comme le ciel ? Quand nous nous étions revus, nous n'en avons pas reparlé. Elle ne se souvient peut-être même pas quel poids de chagrin elle m'a ôté ou a tenu, ni pendant combien de temps. Je n'avais jamais connu pareille étreinte, pareille odeur d'un bras émergeant du sommeil. Je n'avais jamais pleuré à côté de quelqu'un qui, aussi, m'excitait d'une manière mystérieuse. Pendant qu'elle baissait les yeux sur moi, il devait y avoir chez elle une certaine compréhension, ainsi que dans ses petits gestes pleins d'attention.
Les gens ne me retiennent point, car je n'ai plus rien à leur proposer que moi, moi nue, et il faudrait beaucoup de temps et de tendresse pour faire jaillir de moi quelque ressource, quelque source.
Le bouleversement de notre mode de vie apporte son lot de stress. La meilleure façon de lutter contre ça, c’est d’accepter la situation. J’en parle dans mes livres depuis plus de vingt ans : il faut lâcher prise lorsque l’on ne peut pas changer une situation. Les stoïciens nous rappellent qu’il faut distinguer ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Essayons d’agir sur ce qui dépend de nous, mais quand on est face à quelque chose qu’on ne peut changer, il vaut mieux l’accepter joyeusement que d’être en colère et résister. Si l’on résiste, on va souffrir deux fois plus. On va stresser, on va s’angoisser. Au contraire, si l’on regarde une difficulté comme une opportunité, cela développe une souplesse, un lâcher-prise, la possibilité d’accompagner le mouvement imprévisible de la vie. Pour beaucoup de gens, le fait de vivre dans l’incertitude du lendemain est angoissant, alors que s’ils acceptent de vivre cette réalité, leur angoisse et leur stress diminueront.
Une fois rien... c'est rien. - Deux fois rien... ce n'est pas beaucoup... - Mais trois fois rien!... - Pour trois fois rien, on peut déjà s'acheter quelque chose!
Quand à moi, je prétends que s'il y a quelque chose de plus méprisable que l'homme, et de plus abject, c'est beaucoup d'hommes.
Ensorcelés par le désir d'être célèbres, même au plus fort de la maladie, au risque de perdre la santé et d'être à peine capables de tenir une plume, ils doivent dire quelque chose, le sortir d'eux-mêmes, et se faire un nom, quitte à écraser et à ruiner beaucoup d'autres personnes. Ils veulent être comptés parmi les écrivains, être salués comme écrivains, être acceptés et tenus pour polymathes et polyhistors, se voir attribuer par la foule ignorante l'appellation vaine d'artiste, obtenir un royaume en papier
On a toujours l’impression, quand on demande aux gens de se servir de leur raison, qu’on va faire du tort à quelque chose de beaucoup plus essentiel à quoi il ne faudrait pas toucher : l’imagination, la spontanéité, l’émotivité, la passion, le sentiment, etc. Les droits de l’affectivité semblent devenus imprescriptibles et les défenseurs de la raison passent presque toujours pour naïfs ou pour autoritaires et répressifs. Je n’ai, pour ma part jamais réussi à percevoir la logique ou la raison comme répressives.
Il avait fixé bien des yeux de femmes dans sa vie et beaucoup de ces yeux ardents, pudiques,troublants, délicats, rusés ou fiers, l'avaient aussi fixé, mais jamais de tels yeux. Ils étaient à la fois distants et proches, compréhensibles et énigmatiques, insensibles et compatissants. Ce regard, en même temps qu'il éveillait le désir, avait quelque chose qui vous éteignait, vous transportait au loin, au-delà de la vie, au-delà de la tombe, d'où l'on pouvait se regarder avec sérénité.
Il y a des gens qui ne sont jamais contents. Ils vous trouvent trop tristes, ou trop gais. Avec eux, toujours quelque chose de trop. Moi, j'aime beaucoup le «trop», c'est le signe d'une riche nature.
La seule chose raisonnable, c'est un gouvernement de mandarins, pourvu que les mandarins sachent quelque chose et même qu'ils sachent beaucoup de choses.
Le chagrin à certaine dose prouve beaucoup d'affection ; mais à trop forte dose, il prouve toujours quelque faiblesse d'esprit.
Nul ne sait nager avant d'avoir traversé, seul, un fleuve large et impétueux ou un détroit, un bras de mer agités. Il n'y a que du sol dans une piscine, territoire pour piétons en foule. Partez, plongez. Après avoir laissé le rivage, vous demeurez quelque temps beaucoup plus près de lui que de l'autre, en face, au moins assez pour que le corps s'adonne au calcul et se dise silencieusement qu'il peut toujours revenir. Jusqu'à un certain seuil, vous gardez cette sécurité : autant dire que vous n'avez rien quitté. De l'autre côté de l'aventure, le pied espère en l'approche, dès qu'il a franchi un second seuil : vous vous trouvez assez voisin de la berge pour vous dire arrivé. Rive droite ou côté gauche, qu'importe dans les deux cas : terre ou sol. Vous ne nagez pas, vous attendez de marcher, comme quelqu'un qui saute décolle et se reçoit, mais ne demeure pas dans le vol.
Une civilisation qui pour quelque raison que ce soit porte préjudice à une vie humaine, ou une civilisation qui ne peut exister qu'en portant préjudice à la vie humaine, ne mérite ni ce nom ni de perdurer. Et un être dont la vie se nourrit du préjudice imposé aux autres, et qui préfère que cela continue ainsi, n'est humain que par définition, ayant beaucoup plus en commun avec la punaise de lit, le ver solitaire, le cancer et les charognards des mers.
Je n'ai toujours pas grandi. Ca doit être quelque chose de rare d'être avec un homme comme Serge, qui vous laisse grandir, sans beaucoup d'intérêt mais sans jamais vous écraser non plus, et je pense qu'il m'aime et je l'aime. Je ne peux rien faire sans son regard, pour ou contre. J'ai besoin de son regard, j'ai besoin de sa force, même si ça m'inspire d'aller contre sa volonté. Il doit être là, toujours là, il garde mes grands pieds sur terre et parfois il m'aide à m'envoler.
J'observe que depuis quelque temps les premiers moments qui suivent le réveil sont beaucoup moins angoissés qu'autrefois ...
Pour beaucoup de gens, humaniser Hitler revient à l'expliquer, en quelque sorte. Mais la société prétend que le mal extrême ne peut pas être expliqué, ni compris. Essayer de le faire, cela reviendrait à chercher une justification.
Interview d'Emmanuel Macron dans La Fabrique de l'Histoire - France Culture, 9 mars 2017 de Emmanuel Macron
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La Moëlle de la vie : 500 Aphorismes (2006) de Henry David Thoreau
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Là où chantent les écrevisses (2021) de Delia Owens
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Roméo et Juliette (1594) de William Shakespeare
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Citations cultes de JCVD de Jean-Claude Van Damme
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Parerga et Paralipomena (1851) de Arthur Schopenhauer
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Des femmes et de leur éducation de Pierre Choderlos de Laclos
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Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
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Le Crime de Sylvestre Bonnard (1881) de Anatole France
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La Table des autres (2012) de Michael Ondaatje
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L'Astragale (1965) de Albertine Sarrazin
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Interview Ouest France, par Sébastien Grosmaitre, le 29/03/2020 de Frédéric Lenoir
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Parler pour ne rien dire, Matière à rire de Raymond Devos
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Les Faux-Monnayeurs (1925) de André Gide
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The Anatomy of Melancholy de Robert Burton
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Le Philosophe et le Réel (entretiens avec Jean-Jacques Rosat, Hachette Littératures, 1998) de Jacques Bouveresse
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Avril brisé (1978) de Ismaïl Kadaré
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L'Oeil du purgatoire (1945) de Jacques Spitz
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Correspondance de Gustave Flaubert
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Roméo et Juliette (1594), III, 5, Madonna Capulet de William Shakespeare
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Le Tiers-instruit (1991) de Michel Serres
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Une saison de coton: Trois familles de métayers (1936) de James Agee
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Munkey Diaries : Le journal intime de Jane Birkin de Jane Birkin
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Premier memorandum de Jules Barbey d'Aurevilly
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Le Chuchoteur (2010) de Donato Carrisi
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