Citation c est dans le
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Une Sélection de 950 citations et proverbes sur le thème c est dans le.
950 citations
J’ai vu beaucoup de gens célèbres, mais peu de têtes impressionnantes. Chacun fait ce qu’il peut. J’admire le plus ceux qui travaillent le plus. Et davantage ceux qui travaillent dans la joie. Je ne suis intimidée par personne. Chacun est fait avec deux bras, deux jambes, un ventre et une tête. Il suffit d’y songer, de regarder, d’apercevoir la grande qualité ou le petit défaut. D’ailleurs, je ne juge pas. Je ne veux pas juger. Nous avons tous assez de peine, au fond.
Changer de lieu, c'est changer en même temps les perspectives de notre âme. Certains souvenirs tristes qui étaient au premier plan reculent dans le lointain de la mémoire, et, lorsque plus tard ils reprennent leur place accoutumée, c'est avec des contours moins arrêtés et des teintes adoucies.
Une fille au corps luxuriant dans la plénitude de sa beauté physique. Dans une robe bain de soleil en crêpe Georgette ivoire, les seins moulés dans les plis soyeux onduleux de l'étoffe. Elle est débout, jambes nues écartées sur une grille de ventilation du métro new-yorkais. Sa tête blonde est extatiquement rejetée en arrière tandis qu'un courant d'air soulève sa large jupe évasée, révélant une culotte de coton blanc. Du coton blanc ! La robe de crêpe ivoire flotte, magiquement aérienne. La robe est magique. (...) Elle rit et pousse des cris aigus comme une enfant de quatre ans quand un nouveau courant d'air soulève sa jupe. Genoux dodus, jambes musclées de danseuse. Une fille solide et saine. Épaules, bras et seins sont ceux d'une femme en pleine maturité mais le visage est celui d'une petite fille. Frissonnant dans l'été new-yorkais quand le passage d'une rame de métro soulève sa jupe comme le souffle précipité d'un amant.
Mon ambition, c'est de durer dans ce métier, je ne veux pas être une étoile filante. J'ambitionne de bien faire mon métier, je veux prendre le temps d'installer une image, un ton parfois avec un peu d'impertinence.
Essayez d'imaginer ce que vous éprouveriez si vous étiez soudainement frappé de cécité. Imaginez-vous trébuchant et tâtonnant à midi comme si c'était la nuit, votre travail et votre indépendance perdus ! Dans ces ténèbres, ne seriez-vous pas heureux qu'un ami vous prenne par la main en vous disant : « Viens avec moi et je t'apprendrai à faire certaines choses que tu avais l'habitude de faire quand tu pouvais voir » ? C'est précisément le genre d'ami que la Fondation américaine deviendra pour tous les aveugles de ce pays, si les personnes voyantes lui apportent le soutien dont elle a besoin.
Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c'est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n'est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu'il l'a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l'oubli.
Comme les enfants habitent ou sont censés habiter dans la maison de leur père, et par conséquent le beau-fils avec la belle-mère, le beau-père avec la belle-fille, ou avec la fille de sa femme, le mariage entre eux est défendu par la loi de la nature.
Il n'est rien de tel que l'admiration. Celui qui n'est pas capable d'admiration est un misérable. Aucune amitié n'est possible avec lui, car il n'y a d'amitié que dans le partage d'admirations communes.
L'affection du commerçant pour Hamid ne parvient pas à briser l'un des interdits tacites de la société coloniale : la séparation du domaine public et du domaine privé. C'est toujours dans l'épicerie que l'on accueille le petit garçon et son père, jamais dans l'appartement au-dessus.
Supposer que parmi les innombrables milliards d'étoiles et donc les encore plus innombrables milliards de planètes, supposer que la nôtre est la seule à produire les conditions adéquates pour la vie, relève d'une arrogance monumentale. Mathématiquement, il y a forcément quelque chose dans tout ce vaste espace ténébreux.
Pour deux personnes. Faites bouillir un mètre cinquante de gouttière en zinc dans une casserole en cuivre, n’oubliez pas que la gouttière réduit beaucoup à la cuisson. Pendant ce temps, découpez en fines rondelles une belle barre de fer, que vous aurez préalablement désoxydée, laminée, tréfilée. Lorsque votre gouttière est cuite, jetez vos rondelles dans la casserole en cuivre et portez à ébullition. Égouttez, saupoudrez de cinquante grammes de magnésium. Servez chaud. Vous aurez ainsi une santé de fer.
Dans notre temps, les hommes véritablement fats et d'une certaine valeur de vanité sociale ne font plus la moindre avance aux femmes, mais se renferment avec elles dans un bégueulisme dégoûté et convenable tout ensemble, qui est du plus majestueux effet.
Le dialogue avec la nature reste pour l'artiste une condition sine qua non. L'artiste est homme; il est lui-même nature, morceau de la nature dans l'aire de la nature.
Le clown est un gentleman. Roger Nimier affirmait un jour à Antoine Blondin que, dans certaines circonstances, l'homme élégant se devait de porter un nez rouge. Rien n'est plus vrai. Nous en avons toujours un dans notre poche. Chacun de nous a sa douleur secrète. Le port du nez rouge est fortement conseillé. Avec une larme d'élégance
J'ai un âge où, apparemment, mon avis compte. On me sonde, on me consulte avant de me traîner de force dans des lieux hostiles. Quand vos enfants cessent de vous demander d'où ils viennent et ne vous disent plus où ils vont, disait un proverbe affiché à l'entrée du Super-U l'été dernier, c'est qu'ils sont devenus des ados. Je me souviens que mon père l'avait lu à haute voix, avec l'air d'un disciple de Confucius qui médite les paroles du Maître. Alors qu'en réalité, c'était juste une grosse connerie écrite au marqueur bleu effaçable sur un panneau d'hypermarché, entre la météo du jour et « Le Conseil de votre poissonnier »...
L'aube se lève. Telle une prière inutile sur un désert sourd, misérable et nu. Épaves oubliées par une mer volatilisée depuis des millénaires, quelques rochers s'effritent dans la poussière ; çà et là, enguirlandés de coloquintes vénéneuses, de maigres bras de broussailles soulignent les berges de jadis sur lesquelles des acacias solitaires se sont crucifiés puis, plus rien – rien de ce que l'on espère entrevoir –, ni caravane providentielle, ni cahute salutaire, pas même la trace d'un bivouac. Le désert est d'une perversité !... C'est un code piégé, le désert, un dédale souverain et fourbe où les témérités courent à leur perte, où les distraits s'évanouissent parmi les mirages plus vite qu'une feinte, où pas un saint patron ne répondrait aux appels du naufragé afin de ne pas se couvrir de ridicule ; un territoire d'échec et d'adjuration, un chemin de croix qui n'a de cesse de se ramifier, un envers du décor où l'entêtement se mue en obsession et la foi en folie. Ci-gît la vanité de toute chose en ce monde, semble clamer la nudité des pierres et des perspectives. Car, ici, tout retourne à la poussière, les montagnes taciturnes et les forêts luxuriantes, les paradis perdus comme les empires bâclés, jusqu'au règne claironnant des hommes… Ici, en ces immensités reniées des dieux, viennent abdiquer les tornades et mourir les vents bredouilles à la manière des vagues sur les plages sauvages puisque seule la course inexorable des âges est invincibilité et certitude. Au loin, très loin, là où la terre commence à s'arrondir, l'horizon se tient immobile, piètre et livide, comme si la nuit l'avait tenu en haleine jusqu'au matin…
Tel est le charme : toujours fuyant, jamais fixe, esquivant avec un air narquois toutes nos tentatives de l'enfermer dans le carcan d'une définition claire et distincte. Il est le malin génie de Descartes, soufflant le doute et s'évanouissant dans la brume à peine croit-on le saisir.
J'ai conclu avec une irrévocabilité pénible que le temps du tout est possible était terminé, faire ce qu'on veut quand on veut, c'était de l'histoire ancienne. Le futur n'existait plus. Tout était dans le passé et allait le rester.
Mon éducation et celle de mes condisciples noirs étaient très différentes de l'éducation de nos camarades d'école blancs. En classe, nous apprenions le participe passé mais, dans la rue et chez nous, nous apprenions à laisser tomber le "s" des pluriels et les désinences des verbes. Nous avions conscience de l'abîme qui sépare le mot écrit du langage parlé. Nous apprenions à passer de l'un à l'autre sans nous en apercevoir. A l'école, dans une situation donnée, nous pouvions répondre avec un : " Ce n'est pas inhabituel." Mais dans la rue, confronté à la même situation, nous disions facilement : "C'est comme ça des fois."
Pour savoir où on en est avec quelqu'un, il suffit d'écouter de la musique ensemble. Le moindre désaccord nerveux vient faire tâche dans les intervalles, mais si le son passe sans rencontrer personne, c'est le signe que tout va bien.
Je reconnais que la violence, sous quelque forme qu'elle se manifeste, est un échec. Mais c'est un échec inévitable parce que nous sommes dans un univers de violence.
L'été éclatera bientôt. Et avec lui déjà le raccourcissement des jours, déjà la fin de la saison qui s'annonce, avant même d'avoir débuté. Ou si peu. J'ai toujours ce sentiment d'inachevé, d'inaccompli avec l'été. J'ai toujours ce sentiment que quelque chose n'est pas à la hauteur, quelque chose de latent et de grand, sur le point d'advenir sans doute, mais qui reste dans le fossé, sur le côté, et ne se révèle finalement pas. Je n'ai malheureusement jamais su quoi. L'hiver et l'automne me sont indifférents, car ils ne me déçoivent pas. Je les préfère.
Quand on aime, on a le diable au corps et Dieu dans le coeur. Quand on écrit avec passion, c'est avec la griffe du diable et le doigt de Dieu.
L'histoire ne s'intéresse qu'aux faits, les émotions, elles, restent toujours en marge. Ce n'est pas l'usage de les laisser entrer dans l'histoire. Moi, je regarde le monde avec les yeux d'une littéraire et non d'une historienne. Je suis étonnée par l'être humain...
Le Temps qui, sans repos, va d'un pas si léger - Emporte avec lui que toutes les belles choses; - C'est pour nous avertir de le bien ménager, - Et faire des bouquets dans la saison des roses.
« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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Blonde (2000) de Joyce Carol Oates
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Interview donnée à Hélène Reitzaum et Enguérand Renault pour Le Figaro, « Mabrouk : « Mon ambition, c’est de durer dans ce métier », publiée le 03 avril 2013. de Sonia Mabrouk
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Discours de 1925 à la convention internationale du Lions Clubs International de Helen Keller
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Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens de Chef Seattle
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De l'esprit des lois (1748) de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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Célébrations (1999) de Michel Tournier
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L'Art de perdre (2017) de Alice Zeniter
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Eureka Street (1997) de Robert McLiam Wilson
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Bonne santé, mode d’emploi (1994) de Piem
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L'Amour impossible (1841) de Jules Amédée Barbey d'Aurevilly
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Sans référence de Paul Klee
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Biographies non autorisées de Jacques-André Bertrand
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Comment (bien) rater ses vacances (2010) de Anne Percin
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L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Petit éloge du charme de Harold Cobert
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Lunar Park (2005) de Bret Easton Ellis
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Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage (2008) de Maya Angelou
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Passion fixe (2000) de Philippe Sollers
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Qu'est-ce que la littérature ? (1948) de Jean-Paul Sartre
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Pour la peau (2016) de Emmanuelle Richard
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Les Femmes comme elles sont (1892) de Arsène Housset, dit Arsène Houssaye
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La Fin de l'homme rouge (2013) de Svetlana Alexievitch
Références de Svetlana Alexievitch - Biographie de Svetlana Alexievitch
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Les Amours de François L'Hermite, sieur du Soliers, dit Tristan l'Hermite
Références de François L'Hermite, sieur du Soliers, dit Tristan l'Hermite - Biographie de François L'Hermite, sieur du Soliers, dit Tristan l'Hermite
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