Citation c est lorsque
Découvrez une citation c est lorsque - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase c est lorsque issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 70 citations et proverbes sur le thème c est lorsque.
70 citations
Les humains ne sont pas des calebasses vides. Les ancêtres sont là. Ils planent au-dessus des corps qui s'enlacent. Ils chantent lorsque les amants crient à l'unissons. Ils attendent sur le seuil de la case où une femme est en travail. Ils sont dans le vagissement, dans le babil des nouveaux-nés. Les enfants grandissent, apprennent les mots de la terre, mais le lien avec les contrées de l'esprit demeure. Les ancêtres sont là, et ils ne sont pas un enferment. Ils ont conçu un monde. Tel est leur legs le plus précieux: l'obligation d'inventer pour survivre.
Ce ce qui fait vraiment peur aux scientifiques, la première chose qu'ils m'ont dite, lorsque j'ai commencé à travailler avec eux, c'est la panique que le virus va nécessairement créer parmi la population. Or la grippe fait vraiment paniquer. Elle déclenche instantanément tous les plans qui sont préétablis par les spécialistes.
Le bonheur c'est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles.
Lorsque nous pleurnichons, l'univers n'en sait rien.
Il sied de supporter gaiment l'inévitable ;
Cette sagesse-là, seule, est la véritable...
C'est mon maître à danser, mon cher, qui me l'apprit ;
C'est ce qu'il appelait danser avec esprit.Venir avec toi ? Et pour quoi faire ? Lorsque nous sommes nées, nous étions seules. Lorsque nous mourrons , on ne mettra pas dans un cercueil à deux places. On n'est jamais avec personne.
Enfin, lorsque la nuit a déployé ses voiles,
La lune, au visage changeant,
Paraît sur un trône d'argent,
Et tient cercle avec les étoiles,
Le ciel est toujours clair tant que dure son cours,
Et nous avons des nuits plus belles que vos jours.Je n'ai jamais aimé à revenir sur mes pas, encore moins renouer avec ceux de qui je me suis une fois séparé. Lorsque le charme est tombé, on ne peut trouver que déconvenue dans ces retours incertains.
La femme, bien plus que nous, aime la vie pour vivre ; les femmes de génie sont rares. Aussi lorsque poussés par quelque amour mystique, nous voulons entrer dans quelque voie antinaturelle, lorsque nous donnons toutes nos pensées à quelque œuvre qui nous éloigne de l'humanité qui nous touche, nous avons à lutter avec les femmes ; — et la lutte presque toujours est inégale, car c'est au nom de la vie et de la nature qu'elles essaient de nous ramener.
Les Parisiens mènent leur existence trépidante faite de privations, de refoulement. Ils se demandent où cette civilisation les mène, au rythme de ses machines, lorsque malgré l'abondance, il y a des gens mal nourris, mal vêtus. Les machines, lancées, tournent et tout le pays avec elles, comme pris de vertige. Le mal du siècle est de tourner, de produire le plus possible, de créer des richesses. L'homme est devenu un rouage ; et on lui donne tout juste ce qu'il faut pour jouer son rôle, tourner aussi.
La force publique est en contradiction avec la volonté générale dans deux cas ou lorsque la loi n'est pas la volonté générale; ou lorsque le magistrat l'emploie pour violer la loi.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.À l’époque, les femmes étaient beaucoup plus ardentes qu’aujourd’hui, dit-il, ou plutôt disait-il parce qu’aujourd’hui il raconte peu de chose, pas comme avant, lorsque je le mettais sur le sujet et qu’il s’emballait, qu’il n’y avait pas moyen de l’arrêter et qu’il était pénible de se promener avec lui dans la rue, parce qu’il parlait très fort et regardait toutes les femmes avec un sans-gêne qui n’est plus de mise, et qui n’est pas non plus le propre d’un homme de son âge. Regarde, ne loupe pas ça, regarde le cul et les nichons de celle-là, regarde sa démarche.
La liberté suppose le choix : le choix s'établit entre les vérités de la raison d'une part, et les passions de l'autre. Lorsque la liberté se décide pour les passions et non pour les vérités absolues, elle est en dehors de la morale. Dans le sein de la morale , le rôle de la liberté est donc de se mettre au service de la raison.
Les paroles qu'il a prononcé et qui m'ont impressionnée furent: lorsque quelqu'un veut trouver une gestuelle, lorsque vous voulez trouver comment vous comporter sur la scène, tout ce que vous avez à faire est d'« écouter » la musique. Le compositeur y a déjà pourvu. Si vous prenez la peine d'écouter avec votre Ame et avec vos Oreilles - et je dis « Ame » et « Oreilles » parce que « le cerveau » aussi doit fonctionner, mais « pas trop » - vous y trouverez chacun de vos gestes. Et c'est entièrement vrai, vous savez.
Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.Ne pense pas que le Parisien qui regarde poétiquement couler la seine en suivant sa ligne, soit quelqu'un de simple. Il est un tissu de contradictions. Euh, n'y a-t-il pas en lui du Wisigoth, du Goth, de l'Alaman, du Franc, et du Parisien? Lorsque vous l'abordez de face, de dos, de gauche ou de droite, c'est l'un ou l'autre de ces aspects que vous rencontrez. Et c'est pourquoi les jugements qu'on émet sur lui sont si contradictoires.
Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu'il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu'il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d'acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.
Je suis prêt à troquer mes armes, toutes mes armes, contre ton bistouri, docteur. La guerre n'est pas une sinécure. Je la subis au même titre qu'un berger qui saute sur une mine ou une gamine foudroyée par une balle perdue. Personne, je dis bien personne n'est à l'abri lorsqu'on institue la tragédie en dogme, lorsque le tort se découvre une logique. Si tu demandais au plus grand des baroudeurs ou à celui qui dispose du plus pharaonique butin de guerre ce qui lui ferait plaisir, il te répondrait du tac au tac : « Un instant de répit ! » Aucun peuple n'est conçu pour la guerre. Le nôtre pas plus que le vôtre. Mais on ne nous a pas laissé le choix. La brute que je suis aimerait avoir un job peinard, et un bout de femme qui l'attend le soir, et, pourquoi pas, un ou deux marmots qui se jetteraient à son cou au retour du boulot. Manque de bol, à la place d'un cahier d'écolier, on m'a foutu une pétoire dans les pattes et on m'a dit « sauve ta peau comme tu peux ». Alors, je fais ce que je peux.
C'est incroyable de pouvoir dire qu'après avoir travaillé 22 ans dans le même domaine, avec comme idée de base la même que lorsque la société a été fondée, ce business est toujours aussi fascinant qu'au début.
Lorsque le fisc l'a dépouillé même de sa chemise, le contribuable optimiste s'abonne à une revue nudiste et déclare qu'il se promène ainsi par hygiène, qu'il ne s'est jamais mieux porté.
Quand on leur pose cette question, la plupart des écrivains répondent qu'ils savaient dès la naissance qu'ils deviendraient écrivains. Rassurez-vous, ce n'est pas mon cas! Je ne l'ai découvert qu'assez tardivement, contrairement à mes amis de fac, Dan Brown et David Foster Wallace, qui, eux, écrivaient déjà lorsque nous étions étudiants au Amherst College.
Lorsque j'écris, c'est tout mon corps qui participe à l'action, et mon corps doit être en accord parfait avec mon esprit. Ainsi je peux me rappeler chaque mot, chaque bruit, chaque voix.
Lorsque le nénuphar, à force de grossir, a occupé la surface de l'étang, il finit par étouffer et crever. C'est donc la transformation du monde en vaste zone de misère qui est l'avenir de l'humanité.
Qui donc ignore que la plupart des médecins de notre temps ont failli à leur mission de la manière la plus honteuse, en faisant courir les plus grands risques à leurs malades ? Ils se sont attachés, avec un pédantisme extrême, aux sentences d’Hippocrate, de Galien et d’Avicenne, comme si celles-ci étaient sorties du trépied d'Apollon comme autant d'oracles, et comme si on n'avait pas le droit de s'en écarter d'un iota. C'est en s'appuyant sur ces autorités que l'on crée, lorsque cela plaît aux dieux, des docteurs en médecine imbus de leur titre, mais non pas des médecins !
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
La saison de l'ombre (2013) de Léonora Miano
Références de Léonora Miano - Biographie de Léonora Miano
Plus sur cette citation >> Citation de Léonora Miano (n° 164390) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview Le Point, par Julie Malaure, le 19/03/2020 de Franck Thilliez
Références de Franck Thilliez - Biographie de Franck Thilliez
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Thilliez (n° 168449) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Tous les hommes sont frères, vie et pensées de Gandhi d'après ses oeuvres (1990) de Mahatma Gandhi
Références de Mahatma Gandhi - Biographie de Mahatma Gandhi
Plus sur cette citation >> Citation de Mahatma Gandhi (n° 32649) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Manteau du Roi (1907) de Jean Aicard
Références de Jean Aicard - Biographie de Jean Aicard
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Aicard (n° 147572) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Contours du jour qui vient (2006) de Léonora Miano
Références de Léonora Miano - Biographie de Léonora Miano
Plus sur cette citation >> Citation de Léonora Miano (n° 164376) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
A M. Vitart de Jean Racine
Références de Jean Racine - Biographie de Jean Racine
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Racine (n° 129248) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Cycle des Contrées - 1. Les Jardins statuaires (1982) de Jacques Abeille
Références de Jacques Abeille - Biographie de Jacques Abeille
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Abeille (n° 97861) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pierre Curie par Marie Curie de Pierre Curie
Références de Pierre Curie - Biographie de Pierre Curie
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Curie (n° 153048) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un Nègre à Paris (1959) de Bernard Dadié
Références de Bernard Dadié - Biographie de Bernard Dadié
Plus sur cette citation >> Citation de Bernard Dadié (n° 160468) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sur le gouvernement représentatif, 10 mai 1793. de Maximilien de Robespierre
Références de Maximilien de Robespierre - Biographie de Maximilien de Robespierre
Plus sur cette citation >> Citation de Maximilien de Robespierre (n° 102187) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
Références de Antonio Muñoz Molina - Biographie de Antonio Muñoz Molina
Plus sur cette citation >> Citation de Antonio Muñoz Molina (n° 164607) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cours de philosophie de Victor Cousin
Références de Victor Cousin - Biographie de Victor Cousin
Plus sur cette citation >> Citation de Victor Cousin (n° 32388) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Maria Callas, Maria Callas, les conseils de Tulio Serafin extraits des « Conversations avec Harewood - 1968 » (DVD) et, Maria Callas : Les Conversations avec Callas, EMI Classics 3CDs (2004) (NB- La citation est sur le DVD), avril 1968 de Maria Callas
Références de Maria Callas - Biographie de Maria Callas
Plus sur cette citation >> Citation de Maria Callas (n° 164004) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Phèdre (1677), II, 5 de Jean Racine
Références de Jean Racine - Biographie de Jean Racine
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Racine (n° 165944) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un Nègre à Paris (1959) de Bernard Dadié
Références de Bernard Dadié - Biographie de Bernard Dadié
Plus sur cette citation >> Citation de Bernard Dadié (n° 160464) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens de Chef Seattle
Références de Chef Seattle - Biographie de Chef Seattle
Plus sur cette citation >> Citation de Chef Seattle (n° 156503) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
Références de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra - Biographie de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
Plus sur cette citation >> Citation de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra (n° 159618) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de William Henry, dit Bill Gates
Références de William Henry, dit Bill Gates - Biographie de William Henry, dit Bill Gates
Plus sur cette citation >> Citation de William Henry, dit Bill Gates (n° 58384) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La liberté, pour quoi faire ? (1953) de Georges Bernanos
Références de Georges Bernanos - Biographie de Georges Bernanos
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Bernanos (n° 131466) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview Harlan Coben Par François Busnel (Lire), le 01/06/2005 de Harlan Coben
Références de Harlan Coben - Biographie de Harlan Coben
Plus sur cette citation >> Citation de Harlan Coben (n° 156134) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Trésor du temple (2001) de Eliette Abécassis
Références de Eliette Abécassis - Biographie de Eliette Abécassis
Plus sur cette citation >> Citation de Eliette Abécassis (n° 80747) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Houellebecq économiste (2014) de Bernard Maris
Références de Bernard Maris - Biographie de Bernard Maris
Plus sur cette citation >> Citation de Bernard Maris (n° 152670) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Intimatio de Paracelse
Références de Paracelse - Biographie de Paracelse
Plus sur cette citation >> Citation de Paracelse (n° 172689) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165198) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur c est lorsque
Toutes les citations sur c est lorsque Citations c est lorsque Citation sur c Citations courtes c
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
