Citation ce que la nuit
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Une Sélection de 190 citations et proverbes sur le thème ce que la nuit.
190 citations
Un commerce d'hommes !… Grand Dieu ! et la Nature ne frémit pas ! S'ils sont des animaux, ne le sommes-nous pas comme eux ? et en quoi les Blancs diffèrent-ils de cette espèce ? C'est dans la couleur… Pourquoi la Blonde fade ne veut-elle pas avoir la préférence sur la Brune qui tient du mulâtre ? Cette tentation est aussi frappante que du Nègre au Mulâtre. La couleur de l'homme est nuancée, comme dans tous les animaux que la Nature a produits, ainsi que les plantes et les minéraux. Pourquoi le jour ne le dispute-t-il pas à la nuit, le soleil à la lune, et les étoiles au firmament ? Tout est varié, et c'est là la beauté de la Nature. Pourquoi donc détruire son Ouvrage ?
J'ai toujours eu un faible pour tout ce qui assure un service continu, tout ce qui préserve au cœur de la nuit une forme quelconque de vie, qu'il s'agisse d'un bar ou d'une chapelle consacrée à l'adoration perpétuelle du Saint-Sacrement, même si j'ai fréquenté les premiers, il faut en convenir, plus assidûment que les secondes.
Les carrosseries, les ailes, les portières, les capots, sont lisses, brillants, multicolores. Nous, les ouvriers,nous sommes gris, sales, fripés. La couleur, c'est l'objet qui l'a sucée : il n'en reste plus pour nous. Elle resplendit de tous ses feux, la voiture en cours de fabrication. Elle avance doucement, à travers les étapes de son habillage, elle s'enrichit d'accessoires et de chromes, son intérieur se garnit de tissus douillets, toutes les attentions sont pour elle. Elle se moque de nous. Elle nous nargue. Pour elle, pour elle seule, les lumières de la grande chaîne. Nous, une nuit invisible nous enveloppe.
A mesure qu'on lève les voiles de l'inconnu, on dépeuple l'imagination des hommes. Vous ne trouvez pas, Monsieur, que la nuit est bien vide et d'un noir bien vulgaire depuis qu'elle n'a plus d'apparitions. On se dit : : « Plus de fantastique, plus de croyances étranges, tout l'inexpliqué est explicable. Le surnaturel baisse comme un lac qu'un canal épuise ; la science, de jour en jour, recule les limites du merveilleux. »
Elle aurait pu rester plantée toute la nuit dans la neige à les sermonner sur le caractère fugitif de la jeunesse, les dangers de ce monde, l'importance croissante de chaque acte posé dans cette vie, le fil ténu, si facilement tranché, entre la vie et la mort, ou simplement sur l'importance d'être respectueux de ses aînés, ils n'en auraient rien entendu.
Heureux celui qui s'endort dans l'accomplissement de son vice
Je ferai de ma mort mon chef-d’œuvre un chef-d’oeuvre d'avarice
J'entrerai dans la nuit comme un homme en plein émerveillement
Et qu'on ne vienne pas dire après que je n'ai pas su commentS'enfoncer dans la forêt, la nuit, constitue toujours une expérience quelque peu étrange. Jamais le regard ne sera assuré d'un repère tangible.
J'ai beau déserter la nuit, je sais bien que les heures auront des yeux de chat. Le silence voit toujours plus loin que moi. Dormir encore un peu. Pour une caresse, un mot, ton rire.
De ce soupir que faut-il que j'augure?
Du sang qui se révolte est-ce quelque murmure?
Croirai-je qu'une nuit a pu vous ébranler?
Est-ce donc votre coeur qui vient de nous parler?
Songez-y. Vous devez votre fille à la Grèce.Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard - Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson - Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson - Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson - Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare.
Que la tempête se lève, que la nuit tombe ; qu'est-ce qui est le plus redoutable, le danger ou la peur du danger ? Je préfère la réalité, le danger même.
Nous étions voisins de Hambourg, que la RAF bombardait presque chaque nuit ; en outre, les avions anglais traversaient le ciel pour s'enfoncer plus loin dans le pays. Chaque fois qu'une escadrille était signalée à quatre-vingts kilomètres, la Voralarm retentissait. Toutes les lumières s'éteignaient. Il fallait alors s'habiller dans l'obscurité totale, sans quitter sa paillasse, et attendre, avec l'angoisse de ce qui allait suivre et que nous ne connaissions que trop bien. […] Généralement, après ce bref lever de rideau qui nous semblait interminable, la sirène de la Gross Alarm déchirait le silence. On se levait en grande hâte, on se ruait dans les caves. Il arrivait souvent que la gross Alarm sifflât sans avertissement. C'était le pire : car nous devions alors nous vêtir précipitamment. Les Stubendienste, dans l'obscurité profonde, frappaient en hurlant, au hasard, sur les paillasses où s'attardaient les malhabiles. Il semblait que la nuit accrût leur férocité.
La nuit de printemps était douce. Le fleuve du jour avait disparu. Changeait-il d’aspect au crépuscule, devenant ce monstre aquatique dont Mo n’osait s’approcher ? Des vagues luisantes enflaient sous la surface. Le mouvement convulsif se propageait loin, si loin, vers les étoiles floues derrière un voile de brume. On eût dit qu’une gigantesque anguille s’était emparée du fleuve, commandant chacun de ses mouvements, et jusqu’aux battements du cœur qui frappaient à grands coups désordonnés, fébriles, depuis que le clapotis diurne s’était tu.
J'employai la meilleure partie de la nuit à me chagriner, et à me reprocher l'imprudence que j'avais eue de n'être pas demeurée chez moi, plutôt que d'avoir entrepris ce dernier voyage.
Ce qui est bien la nuit quand tu t'endors dans le noir, c'est que tu peux penser à la femme que t'aimes, même si c'est pas celle qui dort à côté de toi.
A partir du moment où on peut me joindre partout, en vacances, de jour comme de nuit, et désormais à l'autre bout de la planète grâce à Internet, je considère que les metteurs en scène ou les chanteurs pour qui je travaille ont tout loisir de me dire si je dois reprendre un texte, changer une phrase ou modifier un mot dans une chanson. C'est mon devoir, ma passion, ma vie.
De nouveau nous conduisions la nuit des automobiles auxquelles il manquait toujours quelque chose pour être en règle. De nouveau nous transportions des substances illicites que nous devions désigner par des noms de code et, même si nous ne travaillions plus à la destruction de la société, nous pouvions persister dans l'illusion réconfortante qu'elle-même n'avait pas renoncé à nous détruire, puisque de nouveau il nous fallait craindre les barrages, éviter les contrôles, et mentir avec aplomb lorsque nous étions obligés de nous y soumettre. De nouveau nous étions unis par des liens de circonstance, à la fois artificiels et forts comme tous ceux qu'engendre l'illégalité. Et par surcroît, ce qui cimentait le groupe et le vouait à l'opprobre de la société procurait du plaisir, un plaisir qui remplissait le corps et l'esprit au point de ne laisser de place pour rien d'autre, un plaisir qui dispensait de tout commerce, y compris de l'usage de la parole : jusque-là, rien n'avait eu la force de me faire taire ainsi, même du dedans.
J'écoute avec plaisir marcher mon horloge dans le silence de la nuit. Le bruit régulier de son balancier me fait l'effet des battements d'un coeur. Il me semble que j'entends respirer le temps.
Et pourtant, rien n'était plus éloigné de son esprit que le miracle. Il pensait que tout n'est qu'un vaste miracle : et lorsqu'un homme sait cela, il en sait assez pour se conduire. Il savait, de science certaine, qu'il n'y a rien de grand, rien de petit en ce monde ; et nuit et jour il s'efforçait de démêler la voie qui, pénétrant au coeur mystérieux des choses, le ramènerait au point d'où son âme était partie.
Dans ce Paris de mauvais rêve, où l’on risquait d’être victime d’une dénonciation et d’une rafle à la sortie d’une station de métro, des rencontres hasardeuses se faisaient entre des personnes qui ne se seraient jamais croisées en temps de paix, des amours précaires naissaient à l’ombre du couvre-feu sans que l’on soit sûr de se retrouver les jours suivants. Et c’est à la suite de ces rencontres souvent sans lendemain, et parfois de ces mauvaises rencontres, que des enfants sont nés plus tard. Voilà pourquoi le Paris de l’Occupation a toujours été pour moi comme une nuit originelle. Sans lui je ne serais jamais né. Ce Paris-là n’a cessé de me hanter et sa lumière voilée baigne parfois mes livres.
Mamie disait souvent que pour garder son mari, une femme devait rester impeccable en toutes circonstances. D'ailleurs, je ne l'ai jamais vue sans maquillage, chignon parfaitement bombé et bijoux bien en place, même au petit déjeuner. Et c'est vrai que mon grand-père est resté avec elle jusqu'à sa mort et qu'il avait l'air assez impressionné par elle. Après, je ne suis pas sûre qu'il ait eu beaucoup d'endroits où partir quand bien même elle aurait décidé de traîner en chemise de nuit toute la journée.
Je sentais la caresse légère de ses doigts sur mon cou comme une brûlure, et, à un coup de roulis brusque, son pied se posa sur le mien, et elle me ceintura de ses bras tièdes, en riant d’un rire un peu précipité ; j’étais hors d’état de rien dire, mais je pressai ce pied nu, tout glacé sur les planches humides, son bras s’attarda une seconde autour de moi, et je sentis l’odeur d’enfance et de forêt de ses cheveux. En cet instant, je ne la désirais même plus, je ne sentais plus rien que le vent fortifiant qui nous giflait de claquements d’ailes rudes, et qu’une tendresse ouvrant ses mille bras dans une nuit confiantes, sûre de les refermer sur leur mesure même de douce chaleur.
Tu es assis et tu ne veux qu'attendre, attendre seulement jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien à attendre: que vienne la nuit, que sonnent les heures, que les jours s'en aillent, que les souvenirs s'estompent.
Les visiteurs étrangers avaient surnommé notre ville "la cité des oiseaux". un nom qui lui allait bien. le soir, juste avant la nuit, les oiseaux s'envolaient parfois tous ensemble, formant un nuage qui cachait la lune. jamais personne n'en avait vue autant. mais en hiver, le temps devenait mauvais. il faisait si froid le matin qu'on avait du mal à casser la glace des cuvettes pour se laver. et ces matins-là, on voyait quelque chose de triste: des montagnes de plumes là où les oiseaux gelés étaient tombés. vous pouvez me croire; c'était le travail de mon père de balayer la rue. il faisait des tas avec les corps et y mettait le feu. mais parfois il en ramenait quelques-uns à la maison. Maman, nous tous, on les soignait jusqu'à ce qu'ils soient assez forts pour s'envoler. et c'est ce qui arrivait, ils nous quittaient juste au moment où on les aimait le plus.tout comme les enfants, vous comprenez ? et quand l'hiver revenait et qu'on revoyait les oiseaux gelés, notre coeur nous disait qu'il y avait sans doute un que nous avions sauvé un an plus tôt.
Avant de publier vous n'êtes rien, vous ne tenez que par l'idée d'un supposé talent. Le fait d'être publié chez Minuit, le prix Goncourt, la reconnaissance des critiques, les lettres de lecteurs m'ont donné l'assurance dont j'avais besoin. Ils m'ont montré que j'avais peut-être quelque chose à faire dans cette histoire là, l'histoire de la littérature...
Réflexions sur les hommes nègres de Olympe de Gouges
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Le Ravissement de Britney Spears (2011) de Jean Rolin
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L'Etabli (1978) de Robert Linhart
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La peur de Guy de Maupassant
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Les Revenants (2011) de Laura Kasischke
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Elsa de Louis Aragon
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Cruelles natures (2007) de Pascal Dessaint
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La nuit se sauve par la fenêtre (2007) de Brigitte Giraud
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Iphigénie en Aulide (1674), I, 3, Ulysse de Jean Racine
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Il n'y a pas d'amour heureux (1943) de Louis Aragon
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Lettres de Vincent à son frère Théo (1872-1890) de Vincent Van Gogh
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L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
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Le dernier fleuve (2019) de Hélène Frappat
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Les Mille et Une Nuits de Les Mille et Une Nuits
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Chroniques, des jours entiers, des nuits entières (1995) de Xavier Durringer
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Masterclass de Jean-Loup Dabadie, à l'occasion du Festival Lumière, En octobre 2016. de Jean-Loup Dabadie
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L'Organisation (2000) de Jean Rolin
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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Le second livre de la jungle (1895) de Rudyard Kipling
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Discours de réception du prix Nobel de littérature, 7 décembre 2014 de Patrick Modiano
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L'odeur de la colle en pot (2019) de Adèle Bréau
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Le Rivage des Syrtes (1951) de Julien Gracq
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Un homme qui dort (1967) de Georges Perec
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La Traversée de l'été (2005) de Truman Capote
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Interview Jean Rouaud, Lire par Catherine Argand, 1 décembre 1996 de Jean Rouaud
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