Citation ce qui ne te tue
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Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème ce qui ne te tue.
80 citations
C'est la foi qui pousse les hommes à faire des guerres. S'il n'y avait pas cette foutue croyance dans la vie éternelle les hommes n'iraient pas à la boucherie avec une telle conviction !
Je préfère parler des œuvres et des metteurs en scène. Je pense que la critique souffre d’un mal endémique qui est celui de la presse en général. Sa place a été réduite, le nombre de journaux a diminué. Internet, où on trouve le pire comme le meilleur, s’est substitué aux grands titres.
Ces dernières années n'avaient pas été tendres avec moi. La fameuse citation de Nietzsche « Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort » me faisait bien rigoler. Cette citation, voyez-vous, c'était de la pure propagande. La vérité est que chaque coup vous rend plus faible, et plante un clou de plus dans votre cercueil.
Le suprême effort de l’écrivain comme de l’artiste n’aboutit qu’à soulever partiellement pour nous le voile de laideur et d’insignifiance qui nous laisse incurieux devant l’univers. Alors il nous dit : « Regarde, regarde, parfumés de trèfle et d’armoise, serrant leurs vifs ruisseaux étroits, les pays de l’Aisne et de l’Oise. Regarde la maison de Zélande rose et luisante comme un coquillage, regarde ! Apprends à voir ! » Et à ce moment il disparaît. Tel est le prix de la lecture et telle est aussi son insuffisance. C’est donner un trop grand rôle à ce qui n’est qu’une initiation d’en faire une discipline. La lecture est au seuil de la vie spirituelle; elle peut nous y introduire : elle ne la constitue pas.
L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
Ce n'est pas la croyance qui me gêne, c'est ce que certains croyants en font. On a tué et on tuera encore au nom d'un Dieu hypothétique, auquel on prête - s'il existe - bien des médiocrités humaines.
Qui osera déplorer la disparition des «idées générales», cette providence des autodidactes non spécialisés qui permet de parler de tout sans connaître rien? Personne, puisque cette constatation désabusée constitue la dernière des idées générales...
Je crois que c'est ce qui constitue, d'ailleurs, l'esprit français, c'est une aspiration constante à l'universel, c'est-à-dire cette tension entre ce qui a été et la part d'identité, qui est cette ipséité stricte, et l'aspiration à un universel, c'est-à-dire à ce qui nous échappe.
Ce qui est intéressant c’est de voir la réception du mot « féministe » à travers les âges, et on ne s’en sort toujours pas, il y a encore du mépris ou du dédain dans le terme de « féministe ». C’est pour ça qu’il faut qu’on s’en ré-empare, qu’on en refasse une force vive et un mot qui porte la révolution. Il faut que le « nous » soit constitué, c’est en ayant un « nous » fort que ça peut marcher, c’est pour ça qu’il faut de la solidarité et de la sororité.
Je suis prêt à troquer mes armes, toutes mes armes, contre ton bistouri, docteur. La guerre n'est pas une sinécure. Je la subis au même titre qu'un berger qui saute sur une mine ou une gamine foudroyée par une balle perdue. Personne, je dis bien personne n'est à l'abri lorsqu'on institue la tragédie en dogme, lorsque le tort se découvre une logique. Si tu demandais au plus grand des baroudeurs ou à celui qui dispose du plus pharaonique butin de guerre ce qui lui ferait plaisir, il te répondrait du tac au tac : « Un instant de répit ! » Aucun peuple n'est conçu pour la guerre. Le nôtre pas plus que le vôtre. Mais on ne nous a pas laissé le choix. La brute que je suis aimerait avoir un job peinard, et un bout de femme qui l'attend le soir, et, pourquoi pas, un ou deux marmots qui se jetteraient à son cou au retour du boulot. Manque de bol, à la place d'un cahier d'écolier, on m'a foutu une pétoire dans les pattes et on m'a dit « sauve ta peau comme tu peux ». Alors, je fais ce que je peux.
On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel.
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre. Et, d’avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n’osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l’on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n’en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n’ont pas la force de résister à l’ambiance. On s’habitue à l’alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d’assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l’espace de trente jours. Depuis, hélas ! j’en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu’il a pu boire en un mois.
Le signe n'attend pas silencieusement la venue de celui qui peut le reconnaître : il ne se constitue jamais que par un acte de connaissance.
Et voici ce qui me trouble : au terme de leur fuite à travers ce quartier dont Hugo à inventé la topographie et les noms de rues, Cosette et Jean Valjean échappent de justesse à une patrouille de police en se laissant glisser derrière un mur. Ils se retrouvent "dans un jardin fort vaste et d'un aspect singulier : un de ces jardins tristes qui semblent faits pour être regardés l'hiver et la nuit." C'est le jardin d'un couvent où ils se cacheront tous les deux et que Victor Hugo situe exactement au 62 de la rue du Petit-Picpus, la même adresse que le pensionnat du Saint-Coeur-de-Marie où était Dora Bruder.
Mon mari rentrait du Garden-Club, situé à trente kilomètres de chez nous, où il passait la journée à tenter de convaincre des couples aisés et respectables d'acheter pour l'éternité une semaine de vacances annuelle en des lieux aussi variés qu'idylliques du monde entier, une toute petite semaine par an, certes, mais dont Pierrot se chargeait de montrer qu'elle serait inoubliable et de faire comprendre qu'elle s'ajouterait à d'autres semaines inoubliables au cours des années, ce qui, au bout du compte, offrait aux clients quelques centaines de journées merveilleuses pour une somme, assenait alors Pierrot, presque indignement dérisoire.
L'or est le talisman qui glace la vie dans la société, qui enchaîne la circulation, qui tue le travail et le crédit, qui constitue tous les hommes dans un esclavage mutuel.
Les humains, du moins ceux qui ne se soucient pas de régir la bonne et la mauvaise fortune des autres, ont en revanche cette qualité extrêmement précieuse et très énigmatique: repérer une vague différente des autres et et décider que tel ou tel phénomène constitue une exception à toutes les règles. C'est d'ailleurs ce qui a constitué le principal obstacle à l'implantation de l'intelligence artificielle dans les ordinateurs. Ceux-ci ne peuvent faire autrement que de suivre des règles, alors que l'être humain est capable de s'en écarter parfois, sans pour cela être fou.
Ce qui constitue le vrai talent pour un écrivain ou pour un artiste, c'est d'exprimer de façon rare des pensées communes, ou mieux encore de façon commune des pensées rares.
Ce n'est pas tant la mort, mais sa crainte, qui sans cesse me tue, me sauve et me défend d'une femme cruelle et basse.
« Mein Kampf », qui constitue assurément un document indispensable pour la connaissance de l’histoire contemporaine, est aussi une œuvre de polémique et de propagande dont l’esprit de violence n’est pas étranger à l’époque actuelle et qui par là-même peut encore, malgré l’inanité de ses théories, contribuer à une renaissance de la haine raciale ou à l’exaspération de la xénophobie.
J’ai avorté quand j’avais 17 ans. Dans mon livre à venir, Dix-sept ans, je raconte les circonstances de cet avortement. Cet enfant qui n’est pas né est resté comme un absent pendant très longtemps à côté de moi. Et d’un point de vue politique aussi, parce qu’on donnait pour la première fois une très grande liberté, douloureuse mais fondamentale, aux femmes. On a un peu oublié l’importance du combat de Simone Veil, la façon dont elle s’est battue contre son propre camp. Quand vous voyez les images aujourd’hui, elle est d’une dignité! C’est impressionnant.
La beauté des femmes constitue un abus de confiance permanent dans la mesure où la façade fait des promesses qui ne sont pas tenues au-delà.
Et pour ce qui est du ridicule cela fait longtemps qu'il ne tue plus. Regarde-toi, tu es en parfaite santé !
Avoir du talent, c'est comprendre que l'on peut faire mieux, et avoir les moyens intellectuels de réaliser la perfection que l'on rêve. Les vrais artistes ne se rebutent pas; c'est cette persévérance qui constitue la pierre de touche du style.
Elle aimait les cimetières parce que là ils étaient tous égaux, les puissants et les faibles, les pauvres et les riches, les gens qui avaient été aimés et ceux dont personne ne s'était soucié, ceux qui avaient connu le succès et ceux qui avaient échoué. À cela le mausolée ou la statue d'ange ou l'imposant tombeau ne changeaient rien. Ils étaient tous également morts, nul ne pouvait ni ne voulait plus être grand, et trop grand ne voulait plus rien dire.
La Chambre des officiers (1999) de Marc Dugain
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Interview Siné Mensuel 81, décembre 2018 de Bertrand Tavernier
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Les fantômes d'Eden (2014) de Patrick Bauwen
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Sur la lecture de Marcel Proust
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Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, in L 'autre journal, n°1, mai 1990 de Gilles Deleuze
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Bon Rétablissement (2012) de Marie-Sabine Roger
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Mille et une pensées (2005) de Philippe Bouvard
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Interview d'Emmanuel Macron dans La Fabrique de l'Histoire - France Culture, 9 mars 2017 de Emmanuel Macron
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Interview France Culture, émission
Par les temps qui courent par Marie Richeux, avril 2019 de Chloé Delaume
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L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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Batouala (1921) de René Maran
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Les Mots et les Choses (1966) de Michel Foucault
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Dora Bruder (1997) de Patrick Modiano
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La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
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Organisation du crédit et de la circulation et solution du problème social sans impôt, ... (1848) de Pierre Joseph Proudhon
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La Sagesse de la mer, du cap de la Colère au bout du monde, (2002) de Björn Larsson
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La Proie du Néant, Notes d'un Pessimiste (1886) de Edmond Thiaudière
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Poésies (1503-1560), Madrigal XLII de Michel-Ange
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Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande » de Adolf Hitler
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Interview 20 Minutes, 26/11/2014 de Colombe Schneck
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Maximes au minimum de Philippe Bouvard
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Tour B2, mon amour (2004) de Pierre Bottero
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L'art d'écrire enseigné en vingt leçons (1900) de Antoine Albalat
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Olga (2018) de Bernhard Schlink
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