Citation etaient jamais
Découvrez une citation etaient jamais - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase etaient jamais issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème etaient jamais.
80 citations
Les druides étaient capables de lire l'avenir d'un homme dans ses propres entrailles. Ils ne se trompaient jamais.
Le couchant devient sombre, les amandiers sont graves et tristes, les pins amicaux tomberont demain. ... Tic, tac, tous nos rêves n'étaient que des rêves, les baisers d'hier sont morts pour jamais.
Jamais je ne me suis demandé si je l'aimais toujours ou quels étaient mes exacts sentiments à son égard. Ca n'aurait servi à rien. Mais j'aimais la retrouver au détour d'un moment de solitude. Je dois le dire parce que c'est la vérité.
Elle se dit que, décidément, les hommes étaient affreusement XIXe siècle. En réalité, elle doutait fortement qu’il y ait jamais eu un siècle où ils ne soient pas retournés au stade primitif de l’homme des cavernes en décrétant que leur volonté aurait force de loi.
Jusque là, je n'étais jamais entré dans une librairie. J'avais peur des librairies comme j'avais peur des livres. A mes yeux, les librairies étaient des temples austères, les libraires des moines érudits et effrayants, il était évident que les libraires avaient lu absolument tous les livres qu'ils vendaient et il m'arrivait de scruter discrètement leur front, que je jugeais toujours bombé, en imaginant combien d'histoires dansaient là-dessous.
Je me souvins d'un matin où j'avais découvert un cocon dans l'écorce d'un arbre, au moment où le papillon brisait l'enveloppe et se préparait à sortir. J'attendis un long moment, mais il tardait beaucoup, et moi j'étais pressé. Énervé je me penchai et me mis à le réchauffer de mon haleine. Je le réchauffais, impatient, et le miracle commença à se derouler devant moi, à un rythme plus rapide que nature. L'enveloppe s'ouvrit, le papillon sortit en se traînant, et je n'oublierai jamais l'horreur que j'éprouvai alors: ses ailes n'étaient pas encore écloses et de tout son petit corps tremblant il s'efforçait de les déplier. Penché au-dessus de lui, je l'aidais de mon haleine. En vain. Une patiente maturation était nécessaire et le déroulement des ailes devait se faire lentement au soleil, maintenant il était trop tard. Mon souffle avait contraint le papillon à se montrer, tout froissé, avant terme. Il s'agita, désespéré, et, quelques secondes après, mourut dans la paume de ma main. Ce petit cadavre , je crois que c'est le plus grand poids que j'aie sur la conscience. Car, je le comprends bien aujourd'hui, c'est un péché mortel que de forcer les grandes lois. Nous ne devons pas nous presser, ne pas nous impatienter, suivre avec confiance le rythme éternel.
On ne trouve pas beaucoup d'aide dans la vie. Il essayait d'expliquer qu'à son avis les autres n'étaient jamais tels qu'on se les figurai
Non, en vérité, tout allait toujours bien et mème beaucoup trop bien. Je crois que c'est justement cela qui était mauvais : que tout aille toujours trop bien. Dans ma jeunesse, presque tous les petits malheurs et, principalement, tous les problèmes m'ont été épargnés. Il faut que j'exprime cela encore plus précisément: je n'avais jamais de problèmes, je n'avais absolument aucun problème. Ce qu'on m'évitait dans ma jeunesse, ce n'était pas la souffrance ou le malheur, c'étaient les problèmes et, par conséquent, la capacité d'affronter les problèmes.
Les Pyramides étaient le tombeau des Pharaons, ils n'en sortaient pour ainsi dire jamais.
Tout ce que j'ai reçu jusqu'à présent pour le plus vrai et assuré, je l'ai appris des sens ou par les sens : or j'ai quelquefois éprouvé que ces sens étaient trompeurs, et il est de la prudence de ne se fier jamais entièrement à ceux qui nous ont une fois trompés.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.C'est cette nuit-là que j'ai compris que ça voulait rien dire, dormir, que c'étaient rien que des petits galops plus ou moins réussis, que la vraie course qui s'arrête jamais, c'est la mort.
Je n'ai jamais rencontré personne qui nefût contre la guerre. Même Hitler et Mussolini étaient contre, d'après eux.
Propos tenu en 1946. de Quand ils étaient enlacés, j'ai eu la conviction absolue, jusqu'au tréfonds de mon être, que même lorsque nous ne serions plus là, ils resteraient ensemble, que rien ne les séparerait, qu'ils ne s'éloigneraient jamais l'un de l'autre, ne deviendrait pas des étrangers, et se soutiendraient toujours en cas de besoin. Ils formeraient une famille, tu comprends ?
Ils reviennent déjà ? demanda le Petit Prince — Ce ne sont pas les mêmes, dit l'aiguilleur, c'est un échange. — Ils n'étaient pas contents, là où ils étaient ? — On n'est jamais content là où on est, dit l'aiguilleur
Bref, les gens du monde s'étaient désengoués de M. de Charlus, non pas pour avoir trop pénétré mais sans avoir pénétré jamais sa rare valeur intellectuelle.
Il avait fixé bien des yeux de femmes dans sa vie et beaucoup de ces yeux ardents, pudiques,troublants, délicats, rusés ou fiers, l'avaient aussi fixé, mais jamais de tels yeux. Ils étaient à la fois distants et proches, compréhensibles et énigmatiques, insensibles et compatissants. Ce regard, en même temps qu'il éveillait le désir, avait quelque chose qui vous éteignait, vous transportait au loin, au-delà de la vie, au-delà de la tombe, d'où l'on pouvait se regarder avec sérénité.
Si les deux âmes étaient si disproportionnées, nul échange ne serait possible, nul mélange. On ne parviendra jamais à harmoniser tout et rien.
Les manuscrits de Péguy qui lui passaient entre les mains, ne comportaient jamais la moindre rature (on s'en doutait); les seules et uniques corrections étaient parfois quelques surcharges.
Les enfants étaient là, aimés, adorés, jamais remis en cause, mais le doute s'était insinué partout. Les enfants, leur odeur, leurs gestes, leur désir de lui, tout cela l'émouvait à un point qu'il n'aurait pu décrire. Il avait envie, parfois, d'être un enfant avec eux, de se mettre à leur hauteur, de fondre dans l'enfance.
Elle tenait cette lettre avec une main tremblante ses pensées étaient si confuses qu'elle n'en avait aucune distincte et elle se trouvait dans une sorte de douleur insupportable, qu'elle ne connaissait point et qu'elle n'avait jamais sentie.
Au drugstore, ces hommes se plantaient toute la journée devant les présentoirs des magazines, ils regardaient des pages et des pages de femmes qu'ils ne rencontreraient jamais, qu'ils ne toucheraient jamais, dont ils ne connaîtraient jamais ni le nom ni la voix : des femmes aplaties, unidimensionnelles, qui tripotaient leurs mamelons, en regardant dans le vide. Dans le néant qui se trouvait devant elles. Étalées, ces femmes n'étaient que des angles et des lignes, de la lumière sur de l'ombre et, quand je les regardais, je me souvenais toujours d'avoir lu au lycée, dans notre livre de sociologie, un texte sur une tribu primitive perdue, dont les membres ne voulaient pas laisser l'homme blanc les photographier, parce qu'ils pensaient que les caméras leur volaient leur âme.
Résidents de Crimée et de la municipalité de Sébastopol, la Russie tout entière a admiré votre courage, votre dignité et votre bravoure. (Applaudissements) C'est vous qui avez décidé de l'avenir de la Crimée. Nous étions plus proches que jamais durant ces jours, nous soutenant mutuellement. C'étaient des sentiments sincères de solidarité. C'est lors de tournants historiques tels que ceux-ci qu'une nation démontre sa maturité et sa force d'esprit. Le peuple russe a démontré sa maturité et sa force par son soutien uni en faveur de ses compatriotes.
Elle n'était pas le genre de filles à lui rappeler qu'il y avait tant d'autres lieux qui étaient encore réservés aux hommes – les lieux de pouvoir, notamment ; elle appartenait à cette catégorie de femmes qui ne remettaient jamais en cause l'empire viril, celles qui avaient fait le choix de la collaboration masculine et décidé que leur ascension se ferait grâce aux hommes et non pas contre eux.
Pour les femmes, la vie c'étaient des actes et bien peu de mots. On leur avait appris que les mots représentaient la désinvolture de l'esprit s'ils n'étaient rattachés à des gestes concrets, comme égrener un épi de maïs, pétrir une pâte, fendre une bûche par le milieu, construire un feu. Les mots, quand ils sortaient, leur semblaient boursoufles de raison, jamais de légèreté et encore moins de folie.
Les Pensées de Cavanna de François Cavanna
Références de François Cavanna - Biographie de François Cavanna
Plus sur cette citation >> Citation de François Cavanna (n° 41781) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Petite Fille aux yeux sombres (1921) de Marcel Pagnol
Références de Marcel Pagnol - Biographie de Marcel Pagnol
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Pagnol (n° 103183) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part (1999) de Anna Gavalda
Références de Anna Gavalda - Biographie de Anna Gavalda
Plus sur cette citation >> Citation de Anna Gavalda (n° 139511) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La roue de Sainte-Catherine (1979) de Patricia Wentworth
Références de Patricia Wentworth - Biographie de Patricia Wentworth
Plus sur cette citation >> Citation de Patricia Wentworth (n° 167112) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
Références de Nicolas Delesalle - Biographie de Nicolas Delesalle
Plus sur cette citation >> Citation de Nicolas Delesalle (n° 162076) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
Références de Níkos Kazantzákis - Biographie de Níkos Kazantzákis
Plus sur cette citation >> Citation de Níkos Kazantzákis (n° 161673) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sa Majesté des mouches (1954) de William Golding
Références de William Golding - Biographie de William Golding
Plus sur cette citation >> Citation de William Golding (n° 167935) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mars (1977) de Fritz Zorn
Références de Fritz Zorn - Biographie de Fritz Zorn
Plus sur cette citation >> Citation de Fritz Zorn (n° 162253) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Perles du facteur de Jean Louis Marcel Charles, dit Jean-Charles
Références de Jean Louis Marcel Charles, dit Jean-Charles - Biographie de Jean Louis Marcel Charles, dit Jean-Charles
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Louis Marcel Charles, dit Jean-Charles (n° 65630) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un autre jour (2019) de Valentin Musso
Références de Valentin Musso - Biographie de Valentin Musso
Plus sur cette citation >> Citation de Valentin Musso (n° 166456) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Né d'aucune femme (2019) de Franck Bouysse
Références de Franck Bouysse - Biographie de Franck Bouysse
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Bouysse (n° 166166) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
David Low
Références de David Low - Biographie de David Low
Plus sur cette citation >> Citation de David Low (n° 52798) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une femme fuyant l'annonce (2011) de David Grossman
Références de David Grossman - Biographie de David Grossman
Plus sur cette citation >> Citation de David Grossman (n° 165301) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Petit Prince (1943) de Antoine de Saint-Exupéry
Références de Antoine de Saint-Exupéry - Biographie de Antoine de Saint-Exupéry
Plus sur cette citation >> Citation de Antoine de Saint-Exupéry (n° 154080) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
A la recherche du temps perdu, Le Temps retrouvé (1927) de Marcel Proust
Références de Marcel Proust - Biographie de Marcel Proust
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Proust (n° 74301) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Avril brisé (1978) de Ismaïl Kadaré
Références de Ismaïl Kadaré - Biographie de Ismaïl Kadaré
Plus sur cette citation >> Citation de Ismaïl Kadaré (n° 162031) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Femme (1860) de Jules Michelet
Références de Jules Michelet - Biographie de Jules Michelet
Plus sur cette citation >> Citation de Jules Michelet (n° 116694) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal 1939-1949 Souvenirs, 24 janvier 1946 de André Gide
Références de André Gide - Biographie de André Gide
Plus sur cette citation >> Citation de André Gide (n° 72431) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Chanson douce de Leïla Slimani
Références de Leïla Slimani - Biographie de Leïla Slimani
Plus sur cette citation >> Citation de Leïla Slimani (n° 157093) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Princesse de Clèves (1678) de Madame de La Fayette
Références de Madame de La Fayette - Biographie de Madame de La Fayette
Plus sur cette citation >> Citation de Madame de La Fayette (n° 146262) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
À Suspicious River(1996) de Laura Kasischke
Références de Laura Kasischke - Biographie de Laura Kasischke
Plus sur cette citation >> Citation de Laura Kasischke (n° 163872) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
« Discours de Vladimir Poutine sur l'intégration de la Crimée à la Fédération de Russie », Vladimir Poutine, E&R, 18 mars 2014 de Vladimir Poutine
Références de Vladimir Poutine - Biographie de Vladimir Poutine
Plus sur cette citation >> Citation de Vladimir Poutine (n° 174414) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les choses humaines (2019) de Karine Tuil
Références de Karine Tuil - Biographie de Karine Tuil
Plus sur cette citation >> Citation de Karine Tuil (n° 164446) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Glaise (2018) de Franck Bouysse
Références de Franck Bouysse - Biographie de Franck Bouysse
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Bouysse (n° 166393) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur etaient jamais
Toutes les citations sur etaient jamais Citations etaient jamais Citation sur etaient Citations courtes etaient
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
