Citation je ne suis plus
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Une Sélection de 450 citations et proverbes sur le thème je ne suis plus.
450 citations
Ni Juifs, ni chiens, ni niggers...Est-ce ma faute si la formule, ces mots féroces que j’ai entendus répéter jusqu’à New York même et par d’honnêtes gens, m’obsède ? Est-ce que nous sommes des punaises pour ces honnêtes Américains ? Est-ce que nous avons marché sur l’eau pour venir chez eux ? Est-il honorable à l’heure actuelle, dites-moi, qu’en Amérique – dans des villes des U.S.A. qui se flattent d’être à l’avant-garde pour tout le progrès -, à partir d’une certaine heure, le soir, les Juifs et les nègres ne puissent sortir de leurs maisons, qu’ils y soient relégués, comme des pestiférés, sous peine de représailles plus ou moins couvertes par des lois honteuses d’elles-mêmes ? Je suis du côté des « niggers ». Je n’en ai ni gloire ni humiliation. Je n’ai pas choisi.
Sans vous commander, je vous demande d’aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches. Le monde est une triste boutique, les cœurs purs doivent se mettre ensemble pour l’embellir, il faut reboiser l’âme humaine. Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage. […] Il n’est de vrai que l’amitié et l’amour. Je suis maintenant très loin au fond du panier des tristesses.
Mais celle que je suis à l'intérieur, très peu réussissent à la voir. Personne ou presque. La sortir de sa cachette est le cadeau le plus précieux que j'aie à offrir. Et je viens sans doute d'apprendre que c'est une erreur de la montrer au grand jour.
Figure-toi que je vois le même paysage depuis que je suis née. Crois-moi si tu veux mais c'est comme si je ne ressentais pas le besoin de voir autre chose. Au contraire, le plus petit changement me dérange. Je voudrais que tout reste pareil.
Alors, me disait-elle, c'est fini? Vous ne viendrez plus jamais voir Gilberte? Je suis contente d'être exceptée et que vous ne me «dropiez» pas tout à fait.
Moulin à paroles, par exemple, c'est une autre expression que Mâchefer utilise souvent quand il me regarde. Comme il paraît aussi que je suis blonde comme les blés, j'imagine qu'il s'attend à ce que je donne de la farine. Pour l'instant non. Je n'essaie pas vraiment non plus.
Je ne suis plus fatiguée. Je n'ai plus mal aux jambes. Je sais à nouveau compter jusqu'à trois. Les tartelettes aux cerises ne me font plus peur. Rien ne peut m'atteindre. Je suis heureuse.
Je me suis gardé de faire de la vérité une idole, préférant lui laisser son nom plus humble d'exactitude.
Je n'ai pas dit : la populace, j'ai dit : les populaces. Dans ma pensée, ce pluriel est important. Il y a une populace dorée comme il y a une populace déguenillée ; il y a une populace dans les salons, comme il y a une populace dans les rues. À tous les étages de la société, tout ce qui travaille, tout ce qui pense, tout ce qui aide, tout ce qui tend vers le bien, le juste et le vrai, c'est le peuple ; à tous les étages de la société, tout ce qui croupit par stagnation volontaire, tout ce qui ignore par paresse, tout ce qui fait le mal sciemment, c'est la populace. En haut : égoïsme et oisiveté ; en bas : envie et fainéantise : voilà les vices de ce qui est populace. Et, je le répète, on est populace en haut aussi bien qu'en bas. J'ai donc dit qu'il fallait aimer le peuple ; un plus sévère eût ajouté peut-être : et haïr la populace. Je me suis contenté de la dédaigner.
Sans trop savoir comment, j’ai réussi à traverser l’autoroute et escalader le talus pour rejoindre le Ramada Inn avant de me rendre compte que les obstacles les plus sérieux m’attendaient. Ike me menaçait sans relâche : « Si tu pars, ce sera comme tu es venue. » Autrement dit : sans rien. Il avait raison. Dans ma poche, il y avait trente-six cents et une carte de crédit Mobil qui ne permettait d’acheter que de l’essence. J’avais le visage tuméfié, les vêtements souillés et ensanglantés… et j’étais noire. A Dallas. Dans de telles circonstances, n’importe quel hôtelier sensé me dirait de passer mon chemin. Je me suis approchée du comptoir de la réception et je me suis présentée au directeur. J’ai décliné mon identité, puis j’ai expliqué que je venais de fuir mon mari sans le moindre argent. Mais j’ai juré que je le rembourserais s’il me laissait occuper une chambre pour la nuit. J’ai bien songé que, dans mon état de vulnérabilité, cet inconnu aurait pu profiter de moi. J’étais trop épuisée pour m’en soucier. Par chance, il avait du coeur. Il m’a conduite à l’étage, dans une suite et m’a promis de me faire apporter de la soupe et des crackers. Quand j’ai refermé la porte, le contrecoup a frappé si fort que mes genoux se sont dérobés. J’ai failli m’évanouir. Mon coeur battait à tout rompre. J’étais terrifiée, mais aussi fébrile. Je fuyais Ike, mais je courais vers ma nouvelle vie.
C'est dans un état bien particulier que j'écris ces mots, puisque cette nuit je ne serai plus. Je me trouve sans le sou, au terme de mon supplice de drogué qui ne supporte plus la vie sans sa dose, et je ne puis endurer plus longtemps ma torture. Je vais sauter par la fenêtre, me jeter dans cette rue sordide. Il ne faudrait pourtant pas croire que la morphine, dont je suis l'esclave, ait fait de moi un être faible ou dégénéré. Lorsque vous aurez lu ces quelques pages hâtivement griffonnées, vous ne vous étonnerez pas – encore que vous ne puissiez jamais le comprendre parfaitement – que je me trouve devant cette unique alternative : l'oubli ou la mort.
Je suis né dans les années 20, c'était la grande dépression, la grande crise, et la pauvreté bien sûr était exagérée dans le cas d'une famille Noire. Quand les choses vont mal dans mon pays, cela va encore plus mal pour les Noirs. C'est pire pour eux. C'est toujours vrai d'ailleurs.
Et tous les autres dont les visages plus lointains sont là dans l'ombre. Le temps est venu où les répertoires sont pleins d'adresses dont on ne poussera plus jamais la porte, de numéros de téléphone qu'on ne composera plus jamais - mais les rayer serait une profanation. Ces inscriptions sont comme les fantômes qui marquent dans les bibliothèques la place des livres absents. Cela fait des années que ça a commencé, ce lent effacement du monde, et la disparition des proches qui au début me semblait une effraction scandaleuse du néant dans la vie a pris désormais, tout en restant aussi choquante, la forme de l'inéluctable et presque de l'habituel. Il me semble que je dois en parler, même si je me suis promis d'exclure autant que possible l'intime de ce récit, ou de ne l'évoquer que lorsque c'est le monde extérieur qui le suscite, car cette attrition du territoire de l'amitié est une des raisons du mouvement qui m'emporte loin sur les routes du vaste monde : je m'éloigne d'un monde peu à peu, opiniâtrement déserté. Mes amis morts, dont l'absence me pèse, me font de plus en plus léger, une plume prête à s'envoler, un "bateau frêle comme un papillon de mai.". Ce livre est un livre sur le monde et sur l'éloignement du monde
J’ai vu beaucoup de gens célèbres, mais peu de têtes impressionnantes. Chacun fait ce qu’il peut. J’admire le plus ceux qui travaillent le plus. Et davantage ceux qui travaillent dans la joie. Je ne suis intimidée par personne. Chacun est fait avec deux bras, deux jambes, un ventre et une tête. Il suffit d’y songer, de regarder, d’apercevoir la grande qualité ou le petit défaut. D’ailleurs, je ne juge pas. Je ne veux pas juger. Nous avons tous assez de peine, au fond.
Les rues sont remplies de fumées d’expérience personnelle qui cherchent à remplacer l’air, je ne suis la mère, la sœur, l’amie, la bonne de personne, je suis ce que je suis, que devrais-je savoir du regard des autres femmes sur moi, qu’est-ce que c’est, que cache-t-il réellement, n’est-il pas aussi simple et beau qu’on ne le croit, quoi qu’il en soit, rien ne me ferait croire que les femmes sont à la fois elles-mêmes, dans leur humanité, leur complexité, leurs pulsions, et les loups qui dévorent leur chair, ou qu’elles sont les causes profondes et premières de leur systémique ensevelissement, en même temps, l’idée que le patriarcat serait responsable de tous leurs malheurs me semble pour le moins puérile, la nature humaine est bien plus compliquée que cela...
Si je pouvais lui parler, je dirais à Phèdre qu’il est plus douloureux encore d’aimer celui que je possède déjà. Moi, je n’ai aucune raison d’être triste. Si je devais expliquer à un passant pourquoi je pleure, qu’est-ce que je pourrais lui dire ? Que je suis dévastée parce que mon mari pense que je suis une clémentine ? Que je m’effondre parce qu’il a pris des lasagnes ? Que je suis en pleurs parce qu’il a laissé un pourboire important ? Au fond, je sais que mes larmes n’ont aucune raison d’être. Celles de Phèdre sont limpides comme du cristal, les miennes sont monstrueuses
Je ne suis pas culturelle, il n'y a qu'une chose qui compte pour moi, saisir la vie, le temps, comprendre et jouir. Est-ce la plus grande vérité de ce récit ?
Tout c'est passé si vite, ma Claire. J'ai l'impression d'avoir perdu tout contrôle, et quand je me regarde je ne sais plus qui je suis.
Ebloui, je ne sais plus où j'en suis ni qui j'aime. Est-ce l'amour que j'aime, est-ce la femme que j'aime ou est-ce une image de moi qui circule dans d'autres yeux ?
Pour moi comme pour beaucoup d'immigrés, qui ne sont ni d'ici ni de là-bas, le voyage est une autre résidence, comme la langue est une maison. Le mouvement, chez moi, est un ancrage. Entendre et parler espagnol en revanche, c'est fredonner l'air de ma première berceuse. C'est redevenir l'enfant que j'ai été, c'est être au plus près de ce que je suis. Avant que la vie ne m'esquinte.
Ah ! Je ne me suis pas conformé à l’esthétique, mais je ne comprends décidément pas pourquoi il est plus glorieux de bombarder de projectiles une ville assiégée que d’assassiner quelqu’un à coups de hache...
Le médecin exerce sur moi une double action dont je ne suis pas maître: il m'effraie et ne me rassure pas. S'il me dit: «Vous avez telle maladie», je le crois; s'il me dit: «Je vous guérirai», je ne le crois plus.
Je suis seul, capable encore et plus que jamais d'éprouver la passion. L'ennui, l'ennui que je cultive avec une rigoureuse inconscience pare ma vie de l'uniformité d'où jaillissent la tempête et la nuit et le soleil.
Dès le départ, il la domine : nous ne sommes pas du même monde, et nos deux mondes ne se mélangeront jamais. Je ne t'épouserai pas. Sa feuille de route, c'est qu'il est le plus fort et qu'il s'assure qu'il a, au dessous de lui, des gens pour leur marcher dessus. S'il finit par reconnaître sa fille, il pense : j'ai encore une corde à mon arc, j'ai encore un moyen de dominer, c'est l'inceste. Il ignore l'interdit fondamental d'avoir des relations sexuelles avec son enfant. Il refuse de reconnaître cet interdit qui s'applique à tous. Parce que c'est encore une manière pour lui de dire : je suis le plus fort. C'est sa façon ultime d'annuler la reconnaissance de sa fille.
Je ne suis pas le plus court chemin de moi-même à moi-même.
« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
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Lettre de Julos Beaucarne, après l’assassinat de sa femme, nuit du 2 au 3 février 1975 de Julos Beaucarne
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La Femme d'En Haut (2013) de Claire Messud
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5000 kilomètres par seconde (2010) de Manuele Fior
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A la recherche du temps perdu, A l'ombre des jeunes filles en fleurs (1919) de Marcel Proust
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Ronce-Rose (2017) de Eric Chevillard
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Demain j'arrête ! (2011) de Gilles Legardinier
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L'Oeuvre au noir (1968) de Marguerite Yourcenar
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Correspondance, lettre à M. Pierre Vinçard rédacteur en chef de la Ruche populaire, le 2 juillet 1841 de Victor Hugo
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Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
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Dagon (Dagon and Other Macabre Tales) - (1965) de Howard Phillips Lovecraft
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Entretien sur France Culture avec Eric Laurent en juin 1975 de James Baldwin
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Extérieur monde (2019) de Olivier Rolin
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« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
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Une somme humaine (2022) de Makenzy Orcel
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Mon mari (2021) de Maud Ventura
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Mémoire de fille de Annie Ernaux
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Ne t'inquiète pas pour moi (2014) de Alice Kuipers
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L'auberge des pauvres (1997) de Tahar Ben Jelloun
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La Commode aux tiroirs de couleur (2020) de Olivia Ruiz
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Crime et Châtiment (1866), VI, 7 de Fiodor Dostoïevski
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La Philosophie de Georges Courteline (1917-1922) de Georges Courteline
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La Liberté ou l'Amour (1927) de Robert Desnos
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Un amour impossible (2015) de Christine Angot
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Mes inscriptions (1943-1944) de Louis Scutenaire
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