Citation ne sait pas tout
Découvrez une citation ne sait pas tout - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase ne sait pas tout issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 200 citations et proverbes sur le thème ne sait pas tout.
200 citations
Bob il dit: on rigole sur Dieu, tout ça... mais Dieu il est pas con... Car il sait au fond de lui-même que Jésus crie, et la caravane passe !
Tout est bien... Tout. L'homme est malheureux parce qu'il ne sait pas qu'il est heureux. Ce n'est que cela. c'est tout, c'est tout! Quand on le découvre, on devient heureux aussitôt, à l'instant même...
J'appartiens à une génération qui était, entre guillemets, “rebelle sans raison”. Nous rêvions de nous éloigner de nos parents, mener notre vie en toute indépendance ; ce qui est un peu l'opposé d'aujourd'hui : maintenant beaucoup de jeunes restent chez leurs parents, ont peur d'affronter la vie, ou font tout ce qu'on attend d'eux… Nous, non. Il faut aussi dire qu'à l'époque le chômage n'existait quasiment pas, celui qui ne bossait pas était un fainéant.
J’ai fait la manche toute ma vie et je continue. ça ne me dérange pas de tout claquer à chaque fois. Mon père me disait toujours qu’arriver au ciel avec du pognon c’était le plus sûr moyen de s’attirer des ennuis là-haut, et je n’en veux pas.
Tout travail scientifique est une réalisation communautaire et non pas l'oeuvre d'un cavalier seul. Qui sait où Darwin se serait égaré en 1837 sans Gould, sans Owen, et sans la vie scientifique très active de Londres et de Cambridge ?
Internet: on ne sait pas ce qu'on y cherche mais on trouve tout ce qu'on ne cherche pas.
Quand on parlait de moi, c'était constamment pour évoquer mes conneries. Je me sentais très seul et incompris. Je pense que j'essayais d'exister dans un univers où les enfants sont considérés comme des sous-hommes. On les empêche de participer au débat intellectuel. J'avais envie d'y participer moi, je le comprenais ce débat, je ne me sentais pas enfant. Mais on n'écoutait pas mon avis : « Tais-toi, vas dans ta chambre ! » J'avais surtout une immense curiosité. On disait que je cassais tout, mais j'avais surtout envie de comprendre comment marchaient mes jouets, donc je les démontais, je les ouvrais. Cette curiosité ne m'a pas lâché.
Je veux dire les mots, tant il est vrai que nous sommes pauvres de tout ce qu'on ne sait pas nommer.
Les Allemands faisaient grand cas, ou plutôt grand bruit de l'hygiène. […] Les risques de contagion étaient la terreur des nazis. […] Le bruit courait-il qu'un pou avait été vu, tout le block était épouillé, et celui qui, trouvant sur lui un de ces parasites, n'en allait pas aussitôt faire la déclaration, était menacé des pires châtiments, périssait parfois sous les coups : l'épouillage comportait ainsi jusqu'à la mort du pouilleux. C'était un traitement radical.
J'avais peu de service, pouvais être en civil, n'étais affecté de rien, attaché à personne, comprenais à peine la langue; flânais dans les rues, peuple étranger. (...) qu'était la canonade de l'Yser, sans laquelle aucune journée ne se passait ! - la vie se balançait dans une atmosphère de silence et d'abandon, je vivais à la lisière, là où l'existence s'évanouit et où le Moi commence, je pense souvent à ces semaines, elles étaient la vie, elles ne reviendront pas, tout le reste était du toc.
Je crois qu'on survit à tout. Je crois que la vie est plus forte. Je crois que le temps est assassin et balaye les visages du passé en emportant avec lui les épreuves qu'on pensait ne pas pouvoir surmonter.
Tant qu'on ne sait pas marcher tout seul, on reste dans son jardin.
Dans ce siècle où tout se renouvelle, je ne sais pas de transformation plus importante que celle qui touche aux rapports des pères et des enfants dans la société moderne. Les enfants occupent aujourd'hui une place beaucoup plus grande dans la famille : on vit plus avec eux, on vit plus pour eux : soit redoublement de prévoyance et de tendresse, soit faiblesse et relâchement d'autorité, on s'occupe plus de leur santé, on surveille plus leur éducation, on songe plus à leur bien-être, on écoute plus leur opinion. Ils sont presque devenus les personnages principaux de la maison ; et un homme d'esprit caractérisait ce fait par un seul mot ; il disait : Messieurs les enfants !
On ne disait jamais de quelqu'un qu'il était intelligent, mais astucieux. Ce n'était pas tout à fait un mot de marchand puisque la ruse et le gain immérité s'y coloraient d'une sorte d'élégance, de détachement, d'esprit de jeu.
La philosophie ne consiste-t-elle pas, après tout, à faire semblant d'ignorer ce que l'on sait et de savoir ce que l'on ignore?
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Si un homme disait tout ce qu'il pense, on ne le croirait pas. On aurait raison. Quel est l'homme qui pense tout ce qu'il pense?
Il y a des romans écrits par le subconscient, littéralement. On se met dans la peau d'un personnage, on ne sait pas du tout où il va nous mener. On le suit au jour le jour et ce n'est qu'au dernier chapitre qu'on sait ce qu'il lui arrive. Il doit aller jusqu'au bout de lui-même.
Des gens heureux on ne sait pas grand chose. Ils vivent, voilà tout, et le bonheur leur tient lieu d'histoire.
Dans tous les cas, la belle chaleur qui régnait sur mon enfance m'a privé de tout ressentiment. Je vivais dans la gêne, mais aussi dans une sorte de jouissance. Je me sentais des forces infinies: il fallait seulement leur trouver un point d'application. Ce n'était pas la pauvreté qui faisait obstacle à ces forces: en Afrique, la mer et le soleil ne coûtent rien. L'obstacle était plutôt dans les préjugés et la bêtise. J'avais là toutes les occasions de développer une castillanerie qui m'a fait bien du tort, que raille avec raison mon ami et mon maître Jean Grenier, et que j'ai essayé en vain de corriger, jusqu'au moment où j'ai compris qu'il y avait une fatalité des natures. Il valait mieux alors accepter son propre orgueil et tâcher de le faire servir plutôt que de se donner, comme dit Chamfort, des principes plus fort que son caractère. Mais, après m'être interrogé, je puis témoigner que, parmi mes nombreuses faiblesses, n'a jamais figuré le défaut le plus répandu parmi nous, je veux dire l'envie, véritable cancer des sociétés et des doctrines.
Il se rendait compte que son caractère était à l'opposé de celui de l'empereur Napoléon Bonaparte, lui qui avait clamé: « Toutes les femmes du monde ne me feront pas perdre une seule heure. » Bony était troublé de s'avouer à quel point il connaissait mal la psychologie féminine. Une femme intelligente comme la sienne, aurait pu disserter longuement là-dessus , remarquer une inflexion de voix, une expression des yeux, de la bouche et, en faisant la somme de tout cela, aurait réussi à multiplier sa réponse par l'intuition, à la diviser par l'imagination, et fini par faire le tour de ces trois femmes.
Je me jurais, une fois rentré en France, de continuer à pratiquer l'affût. Nul besoin de se trouver à 5000 mètres dans l'Himalaya. La grandeur de cet exercice partout praticable était de toujours procurer ce qu'on exigeait de lui. À la fenêtre de sa chambre, sur la terrasse d'un restaurant, dans une forêt ou sur le bord de l'eau, en société ou seul sur un banc, il suffisait d'écarquiller les yeux et d'attendre que quelque chose surgisse. On ne l'aurait jamais noté si l'on ne s'était pas maintenu aux aguets. Et si rien n'arrivait, la qualité du temps passé s'était trouvée accrue par l'attention portée. L'affût était un mode opératoire. Il fallait en faire un style de vie.
« Omnia vincit amor » disait déjà Virgile dans ses Bucoliques. L'amour triomphe de tout. J'ai tout quitté par amour pour me marier en Bretagne. Je n'ai pas trouvé de travail. J'ai poussé la porte des agences d'intérim et ça a commencé comme ça...
Feindre d'ignorer ce qu'on sait, de savoir tout ce qu'on ignore, d'entendre ce qu'on ne comprend pas, de ne pas voir ce qu'on entend..., voilà toute la politique.
De gros nuages se fendaient en bosses et protubérances. Les formes étaient courbes, galbées, bombées comme des jarres, suspendues comme des coraux, pleines de veinures secrètes, tout obéissait à des emblèmes féminins. Elle confirma à cet instant que le nom du ciel ne pouvait pas être masculin.
Le Blouson noir de Coluche
Références de Coluche - Biographie de Coluche
Plus sur cette citation >> Citation de Coluche (n° 103720) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Démons de Fiodor Dostoïevski
Références de Fiodor Dostoïevski - Biographie de Fiodor Dostoïevski
Plus sur cette citation >> Citation de Fiodor Dostoïevski (n° 5624) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview à Midi Libre parue le 20 septembre 2018 de Dick Rivers
Références de Dick Rivers - Biographie de Dick Rivers
Plus sur cette citation >> Citation de Dick Rivers (n° 160131) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview par Philippe Dupuy, 19 septembre 2010, « Je veux sauver la planète », Corse Matin
de Robert Hossein
Références de Robert Hossein - Biographie de Robert Hossein
Plus sur cette citation >> Citation de Robert Hossein (n° 171734) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Sourire du flamant rose (1988) de Stephen Jay Gould
Références de Stephen Jay Gould - Biographie de Stephen Jay Gould
Plus sur cette citation >> Citation de Stephen Jay Gould (n° 138800) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Anne Roumanoff
Références de Anne Roumanoff - Biographie de Anne Roumanoff
Plus sur cette citation >> Citation de Anne Roumanoff (n° 55271) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Psychologies Magazine juillet 2009 de Richard Berry
Références de Richard Berry - Biographie de Richard Berry
Plus sur cette citation >> Citation de Richard Berry (n° 155581) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Petite fille qui aimait trop les allumettes (1998) de Gaétan Soucy
Références de Gaétan Soucy - Biographie de Gaétan Soucy
Plus sur cette citation >> Citation de Gaétan Soucy (n° 100939) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
Références de Louis Martin-Chauffier - Biographie de Louis Martin-Chauffier
Plus sur cette citation >> Citation de Louis Martin-Chauffier (n° 163280) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Double vie de Gottfried Benn
Références de Gottfried Benn - Biographie de Gottfried Benn
Plus sur cette citation >> Citation de Gottfried Benn (n° 158797) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
En l'absence des hommes (2001) de Philippe Besson
Références de Philippe Besson - Biographie de Philippe Besson
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Besson (n° 104931) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Moeurs du temps (1912-1913) de Alfred Capus
Références de Alfred Capus - Biographie de Alfred Capus
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred Capus (n° 97243) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867) de Ernest Legouvé
Références de Ernest Legouvé - Biographie de Ernest Legouvé
Plus sur cette citation >> Citation de Ernest Legouvé (n° 167181) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Ma dernière mémoire, II. Les militants (1927-1939) (1975) de Georges Soulès, dit Raymond Abellio
Références de Georges Soulès, dit Raymond Abellio - Biographie de Georges Soulès, dit Raymond Abellio
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Soulès, dit Raymond Abellio (n° 66432) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'homme et la coquille de Paul Valéry
Références de Paul Valéry - Biographie de Paul Valéry
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Valéry (n° 58847) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
De la conversation de André Maurois
Références de André Maurois - Biographie de André Maurois
Plus sur cette citation >> Citation de André Maurois (n° 30319) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
Références de Georges Simenon - Biographie de Georges Simenon
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Simenon (n° 160711) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Abyssin (1997) de Jean-Christophe Rufin
Références de Jean-Christophe Rufin - Biographie de Jean-Christophe Rufin
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Christophe Rufin (n° 101405) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 171278) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La maison maléfique (1952) de Arthur Upfield
Références de Arthur Upfield - Biographie de Arthur Upfield
Plus sur cette citation >> Citation de Arthur Upfield (n° 169471) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La panthère des neiges (2019) de Sylvain Tesson
Références de Sylvain Tesson - Biographie de Sylvain Tesson
Plus sur cette citation >> Citation de Sylvain Tesson (n° 165840) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien avec Joseph Ponthus, à propos de son ouvrage À la ligne, Babelio février 2019 de Joseph Ponthus
Références de Joseph Ponthus - Biographie de Joseph Ponthus
Plus sur cette citation >> Citation de Joseph Ponthus (n° 166699) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Mariage de Figaro (1784) de Pierre Augustin Caron de Beaumarchais
Références de Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - Biographie de Pierre Augustin Caron de Beaumarchais
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Augustin Caron de Beaumarchais (n° 34812) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Héritage (2020) de Miguel Bonnefoy
Références de Miguel Bonnefoy - Biographie de Miguel Bonnefoy
Plus sur cette citation >> Citation de Miguel Bonnefoy (n° 170740) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur ne sait pas tout
Toutes les citations sur ne sait pas tout Citations ne sait pas tout Citation ne sait pas tout et Proverbe ne sait pas tout Proverbes ne sait pas tout : 200 citations et proverbes sur ne sait pas tout Citation sur ne Citations courtes ne
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
