Citation temps je
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Une Sélection de 1040 citations et proverbes sur le thème temps je.
1040 citations
Comme au temps de ma jeunesse, je pensais : La guerre ? C’est le mal absolu, occupons-nous d’amour.
Je suis un grand oiseau qui déploie ses ailes au-dessus des hautes montagnes et plonge vers les vallées sereines. Je suis les ondulations des vagues sur les mers argentées. Je suis un bourgeon au printemps, tremblant à l'idée de s'épanouir pleinement.
Il y a si longtemps maintenant que j'attends mon cancer, je ne vais quand même pas partir sans lui.
Je demeurai longtemps immobile près d'Ellénore sans vie. La conviction de sa mort n'avait pas encore pénétré dans mon âme; mes yeux contemplaient avec un étonnement stupide ce corps inanimé.
Combien de temps...
Combien de temps encore ?
Des années, des jours, des heures, combien ?
Je m'en fous mon amour...
Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore...
Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul...
Quand le temps s'arrêtera...
Je t'aimerai encore
Je ne sais pas où, je ne sais pas comment...
Mais je t'aimerai encore...
D'accord ?
N'avais-je pas vu souvent en une nuit, en une minute d'une nuit, des temps bien lointains, relégués à ces distances énormes où nous ne pouvons presque plus rien distinguer des sentiments que nous y éprouvions, fondre à toute vitesse sur nous, nous aveuglant de leur clarté, comme s'ils avaient été des avions géants au lieu des pâles étoiles que nous croyions.
Si on arrive à inventer le voyage dans le temps, t'auras des premières classes et des secondes, je te parie ce que tu veux...
Le matin, j'émerge de mes rêves, le plus heureux des anges
Je me couche le soir, un vrai salaud.
Qu'ai-je fait entre temps ?
J'ai fréquenté les hommes.Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La conversation du vrai bourgeois sur les hommes et la vie, qui n'est qu'une collection de détails laids, me jette dans un spleen profond quand je suis forcé par quelque convenance de l'entendre un peu longtemps.
Je l'aime tant, le temps qui reste...
Je veux rire, courir, parler, pleurer,
Et voir, et croire
Et boire, danser,
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Voler, chanter, partir, repartir
Souffrir, aimer
Je l'aime tant le temps qui reste
Je ne sais plus où je suis né, ni quand
Je sais qu'il n'y a pas longtemps...
Et que mon pays c'est la vie.Je ne crois pas aux pressentiments, mais il y a longtemps que j'ai perdu foi en mes incroyances. Les je n'y crois plus sont encore des certitudes et il n'y a rien de plus trompeur.
On me dit une mère et je suis une tombe.
Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe,
Mon printemps ne sent pas vos adorations.Je me demande pourquoi nous prenons à nos femmes / Pourquoi nous violons nos femmes, nous haïssons nos femmes / Je crois qu'il est temps de tuer pour nos femmes / Temps de guérir nos femmes, d'être vrai envers nos femmes / Et si nous ne le faisons pas, nous aurons une race de bébés / Qui haïra les dames, qui font les bébés / Et à moins qu'un homme ne puisse en faire un / Il n'a aucun droit de dire à une femme quand et où en faire un / Alors, les vrais hommes vont-ils se lever ? / Je sais que vous en avez assez, mesdames, mais gardez la tête haute.
La nuit était très douce et très tranquille, et tout en rangeant mes lunettes en lieu sûr et m'installant pour dormir, je me demandai avec tristesse pourquoi il ne m'était jamais venu à l'idée de venir passer la nuit dehors par ici au temps où j'étais heureux. C'était si près de l'eau, qui clapotait doucement sur le rocher juste en dessous que j'avais l'impression d'être dans un bateau. Et comme mon lit de rocher s'inclinait en pente douce vers la mer, je pouvais, tout en restant allongé la tête sur un coussin, contempler droit devant moi l'horizon où la lune traçait une trouée d'argent presque immobile. L'éclat des premières étoiles s'aiguisait déjà. D'autres apparaissaient, de plus en plus nombreuses. Couché sur le dos, enroulé dans ma couverture, les mains croisées devant moi je fis une prière...
La prochaine fois que j'aurai un chien, je le prendrai au berceau, comme ça j'aurai beaucoup de temps pour le perdre.
Ils n'ont pas vu mes larmes. Ils n'ont pas entendu mes cris de rage. Ne plus faire semblant, c'était croire en leur victoire, c'est accepter de vieillir. Le temps a passé, je ne fais plus semblant. J'avance sans masque, sans défense.
Le soir tombait. Un givre épais recouvrait tout : les branches tordues des arbres, les fils et les poteaux des clôtures, l'herbe drue, la terre des champs presque nus. C'était comme un monde d'horribles formes blanches, angoissantes, féeriques, un univers cristallin d'où la vie semblait bannie. Je regardais les montagnes : le vaste mur bleu barrait l'horizon, gardien d'un autre monde, caché celui-là. Le soleil, du côté de l'Abkhazie sans doute, tombait derrière les crêtes, mais sa lumière venait encore effleurer les sommets, posant sur la neige de somptueuses et délicates lueurs roses, jaunes, orange, fuchsia, qui couraient délicatement d'un pic à l'autre. C'était d'une beauté cruelle, à vous ravir le souffle, presque humaine mais en même temps au-delà de tout souci humain. Petit à petit, là-bas derrière, la mer engloutissait le soleil, et les couleurs s'éteignaient une à une, laissant la neige bleue, puis d'un gris-blanc qui luisait tranquillement dans la nuit. Les arbres incrustés de givre apparaissaient dans les cônes de nos phares comme des créatures en plein mouvement. J'aurais pu me croire passé de l'autre côté, dans ce pays que connaissent bien les enfants, d'où l'on ne revient pas.
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre.
J’ai avorté quand j’avais 17 ans. Dans mon livre à venir, Dix-sept ans, je raconte les circonstances de cet avortement. Cet enfant qui n’est pas né est resté comme un absent pendant très longtemps à côté de moi. Et d’un point de vue politique aussi, parce qu’on donnait pour la première fois une très grande liberté, douloureuse mais fondamentale, aux femmes. On a un peu oublié l’importance du combat de Simone Veil, la façon dont elle s’est battue contre son propre camp. Quand vous voyez les images aujourd’hui, elle est d’une dignité! C’est impressionnant.
Longtemps je me suis promené dans le monde, mains dans les poches, le nez en l'air. Et le monde est beau.
J'ai un attrait que je pourrais qualifier d'érotique pour ce temps suspendu, arrêté, car c'est celui de la plus grande félicité de mon âme, de mon esprit, et presque de mon corps. Je me rappelle un ami qui me disait fort justement qu'au fond, dans l'existence, on fait mille choses, mais que la seule chose qu'on attend, c'est de faire l'amour, et que tout le reste est en quelque sorte du remplissage dans l'attente de ce moment.
Je voulais à la fois comprendre et condamner le crime d'Anna. Mais était trop horrible pour cela. Lorsque je tentais de le comprendre , j'avais le sentiment de ne plus le condamner comme il méritait effectivement de l'être. Lorsque le le condamnais comme il le méritait, il n'y avait plus de place pour la compréhension. Mais en même temps je voulais comprendre Hanna ; ne pas la comprendre c'était la trahir une fois de plus. Je ne m'en pas sorti. Je voulais assumer les deux, la compréhension et la condamnation. Mais les deux ensemble, cela n'allait pas.
Pour réussir ma vie de femme, je devais savoir décrocher et accorder du temps à ceux que j'aimais.
« On ne va quand même pas croire à ces conneries », ai-je entendu. Il faut bien y croire puisque c’est là, puisque nous voilà cloîtrés, calfeutrés. Puisque jamais l’avenir n’a paru aussi incertain. Nous sommes confinés. J’écris cette phrase mais elle ne veut rien dire. Il est 6 heures du matin, le jour pointe à peine, le printemps est déjà là. Sur le mur qui me fait face, le camélia a fleuri. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Ça ne peut pas être. Cela ressemble aux histoires qu’on invente à Hollywood, à ces films que l’on regarde en se serrant contre son amoureux, en cachant son visage dans son cou quand on a trop peur. C’est le réel qui est de la fiction.

Patrice Franceschi
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