Citation traite ee
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Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème traite ee.
60 citations
Pour tout français, la retraite est le but suprême de l'existence. C'est avec joie qu'il envisage sa vie de vieillard. Mastiquer avec une mâchoire édentée semble être le comble de ses délices.
Toi dont le trône est d'arc-en-ciel, immortelle Aphrodita, fille de Zeus, tisseuse de ruses, je te supplie de ne point dompter mon âme, ô Vénérable, par les angoisses et les détresses. Mais viens, si jamais, et plus d'une fois, entendant ma voix, tu l'as écoutée, et, quittant la maison de ton père, tu es venue, ayant attelé ton char d'or. Et c'était de beaux passereaux rapides qui te conduisaient. Autour de la terre sombre ils battaient des ailes, descendus du ciel à travers l'éther. Ils arrivèrent aussitôt, et toi, ô Bienheureuse, ayant souri de ton visage immortel, tu me demandas ce qui m'était advenu, et quelle faveur j'implorais, et ce que je désirais le plus dans mon âme insensée. « Quelle Persuasion veux-tu donc attirer vers ton amour ? Qui te traite injustement, Psappha ? Car celle qui te fuit promptement te poursuivra, celle qui refuse tes présents t'en offrira, celle qui ne t'aime pas t'aimera promptement et même malgré elle. » Viens vers moi encore maintenant, et délivre-moi des cruels soucis, et tout ce que mon cœur veut accomplir, accomplis-le, et sois Toi-Même mon alliée.
Même si elle possède parfois moins de poids financier que les ouvriers qu'elle hait, la classe moyenne se damnerait pour pouvoir accéder à la bourgeoisie et si elle n'atteint pas ce but dans sa vie, c'est à sa progéniture de franchir le pas dans une vie future. La traite tirée sur cette vie future est l'éducation qu'elle achète dès maintenant pour ses descendants.
Chaque homme qui lutte avec la vie, qui est vaincu par elle et prisonnier de sa boue, est plus un philosophe que Schopenhauer, parce que jamais une idée abstraite ne prendra une forme aussi précise et imagée que tire d'un cerveau la souffrance.
La vraie philosophie est de rapprendre à voir le monde, et en ce sens une histoire racontée peut signifier le monde avec autant de profondeur qu'un traité de philosophie.
Il n'a pas été enlevé, il m'a enlevée de lui, il m'a extraite, amputée, effacée de lui, c'est tout.
N'y a-t-il rien de plus charmant que la rentrée des classes ? Avec ces enfants qui braillent de peur d'être abandonnés par leur parents - parents qu'ils abandonneront à leur tour dans des maisons de retraite, bien des années plus tard.
On croit toujours qu'il faut illustrer l'idée abstraite avec un exemple du dernier cru, un peu à la mode, ordurier si possible, et surtout - et surtout n'ayant aucun rapport avec la question.
Tout véritable poète est bien plus capable que l'on ne le sait en général de raisonnement juste et de pensée abstraite.
Mieux vaut battre en retraite devant une question embarrassante. Celui qui l'a posée est toujours le premier à y répondre.
La propriété moderne, constituée en apparence contre toute raison de droit et tout bon sens, sur un double absolutisme, peut être considérée comme le triomphe de la Liberté. C'est la Liberté qui l'a faite, non pas, comme il semble au premier abord, contre le droit, mais par une intelligence bien supérieure du droit. Qu'est-ce que la Justice, eu effet, sinon l'équilibre entre les forces? La Justice n'est pas un simple rapport, une conception abstraite, une fiction de l'entendement, ou un acte de foi de la conscience : elle est une chose réelle, d'autant plus obligatoire qu'elle repose sur des réalités, sur des forces libres.
La pensée abstraite fatigue l'homme, parce que l'homme n'est pas un pur esprit.
Quand je le regarde, avec son habit noir et son plastron de voiles, il évoque pour moi un vieux et digne gentleman. Entre lui, dont la silhouette désuète fête ses 100 ans, et moi, le retraité de la Marine, s'est nouée une affection qui a marqué nos existences. Sans moi, il ne serait plus qu'une épave. Sans lui, ma vie eût été sans doute différente.
Il s'appelle Pen Duick – « mésange à tête noire » en breton. Il ne porte pas de numéro comme ses successeurs. A la rigueur, je pourrais le baptiser « Pen Duick Premier ». Comme on dit « premier amour ». Parce que l'histoire de ce docte centenaire est une histoire sentimentale.Supprimer la morale rabâchée de la justice abstraite, rester près des êtres et des choses, reconnaître la nécessité des ennemis, aimer qu'ils soient.
Une armée où les Noirs ont été intégrés, c'est le malheur intégré. Vous allez tous au combat, vous rentrez, on vous traite comme des chiens. Enfin presque. Les chiens, on les traite mieux.
Puis arriva le 11 septembre 2001, et le monde se fractura. Je n'ai pas le talent d'écrivain nécessaire pour mettre des mots sur cette journée, et celles qui suivirent... les avions qui, tels des spectres, s'évanouissent dans l'acier et le verre, le mouvement lent des tours qui s'écroulent, l'une après l'autre, les personnages couverts de cendre qui errent dans les rues, l'angoisse et la terreur... Je ne prétends pas non plus comprendre la folie nihiliste qui guidait les terroristes ce jour-là, et qui guide toujours leurs semblables. Mes possibilités d'empathie, mes capacités de compréhension de l'autre ne me permettent pas de percer les regards vides de ceux qui tuent des innocents avec une satisfaction abstraite, sereine.
Celui qui a l'idée abstraite d'une chose la comprend; mais celui-là seul la fait comprendre qui peut la rendre imaginable.
Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.L'idée que Dieu est amour, dans le sens qu'il est toujours le même, est si abstraite qu'au fond elle équivaut au scepticisme.
Ce qui m’a un peu embêté pendant le confinement, c’est cette idée qu’on a fonctionné au ralenti. C’était un peu un stage d’initiation à la vieillerie, voire, à la retraite. Alors comment on fait pour avoir de nouvelles idées, et de nouvelles idées de mise en forme ? C’est compliqué.
Il y avait, certes, en Europe, quantité de situations explosives; mais le noeud de cette vaste composition de dangers se trouvait dans l'état des relations franco-allemandes créé par le Traité de Francfort.
Etre objectif, c'est traiter l'autre comme on traite un objet, un macchabée, c'est se comporter à son égard en croque-mort.
Que reste-t-il d'une idée puisée voilà vingt-trois ans dans un livre lu d'une traite un soir d'adolescence ? C'est une page de - Siddharta Iil souffrait de la maladie d'Alzheimer. Sa mémoire était un paquet déchiqueté après Noël, les enfants Alzheimer s'étaient barrés avec le cadeau. - de Hermann Hesse, un bouquin lu la première fois à l'âge de dix-sept ans sur les conseils d'un professeur de français dont il faudrait parler un jour, on ne rend jamais assez hommage à ceux qui donnent. L'histoire d'un jeune homme qui se cherche, se perd et se retrouve, l'histoire d'une quête qui s'achève au bord d'un fleuve. Le héros écoute couler le fleuve et le fleuve lui raconte que le passé n'existe pas.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La retraite, c'est une question de discipline. Il faut faire attention, se lever à heures régulières, ne pas rester en pyjama toute la matinée, sortir pour les courses avec une liste et le caddie puisque, maintenant, on a le temps, mais ne pas laisser les travaux domestiques se dilater et manger la vie.
Little cabbages de George Mikes
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L'Ode à Aphrodite de Sapho
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Les boîtes en carton (1991) de Tom Lanoye
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Les Vagabonds, Konovalov de Alekseï Maksimovitch Pechkov, dit Maxime Gorki
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Phénoménologie de la perception (1945), Avant-propos de Maurice Merleau-Ponty
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La Liste de mes envies (2012) de Grégoire Delacourt
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L’oeil du paon (2021) de Lilia Hassaine
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Le procès-verbal (1963) de J. M. G. Le Clézio
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Sans référence de Paul Valéry
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Les Inutiles (1982) de Eugène Cloutier
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Qu'est-ce que la propriété? (1840) de Pierre Joseph Proudhon
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L'Art de la prose (1908) de Gustave Lanson
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Mémoires du large de Eric Tabarly
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Carnets de Albert Camus
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Home (2012) de Toni Morrison
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Les rêves de mon père (2008) de Barack Obama
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Carnets tome 1 de Joseph Joubert
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Phèdre (1677), II, 5 de Jean Racine
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Journal (1834-1849) de Søren Kierkegaard
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Jean-Yves Lafesse invité de Storytelling,Fréquence ESJ, mercredi 13 mai 2020, de Jean-Yves Lafesse
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Variété IV de Paul Valéry
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De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
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Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Nos vies de Marie-Hélène Lafon
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