Citation travail mes
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Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème travail mes.
120 citations
Ensuite, j'ai réfléchi à ma vie. Elle ne ressemblait à rien. l'avais une existence de millionnaire fauché, je ne faisais rien de mes journées, et elles passaient sans me regarder comme des bolides sur une autoroute. Je n'avais pas de vrai travail, pas d'horaires, pas de contraintes réelles, pas de copains de bureau, pas de problèmes de transport. Et pourtant je me débrouillais toujours pour me retrouver coincé dans l'embarras. Je n'étais ni heureux ni malheureux. Je n'étais pas accablé de labeur, mais je n'éprouvais pas non plus l'agréable satisfaction du devoir accompli.
À la vérité, le règne de la liberté commence seulement à partir du moment où cesse le travail dicté par la nécessité et les fins extérieures ; il se situe donc, par sa nature même, au-delà de la sphère de la production matérielle proprement dite. Tout comme l'homme primitif, l'homme civilisé est forcé de se mesurer avec la nature pour satisfaire ses besoins, conserver et reproduire sa vie ; cette contrainte existe pour l'homme dans toutes les formes de la société et sous tous les types de production.
Mon travail quotidien n'excède ni mes forces, ni mon intelligence.
Il leur aura ouy reputer très heureux les riches hommes, et redouter effroyablement la mort avec horreur, ou le travail.
Si j'ai encore bon espoir, c'est que j'ai appris à faire confiance à mes concitoyens, notamment ceux de la nouvelle génération, qui tiennent l'égalité de tous les êtres humains pour une évidence et insistent pour que les principes que leurs parents et leurs professeurs leur ont enseignés deviennent réalité, sans peut-être y croire toujours eux-mêmes. Ce livre est avant tout pour ces jeunes une invitation à refaire le monde une nouvelle fois, et à faire advenir, par le travail, la détermination et une bonne dose d'imagination, une Amérique qui se mettra enfin au diapason de tout ce qu'il y a de meilleur en nous.
Elle l'écrit partout sur les murs, avec autant de sérieux que s'il s'agissait d'une opération d'importance, et épointe tous mes crayons à ce travail.
En ce moment le sieur Rodin a persuadé mes parents de me faire enfermer, ils sont tous à Paris pour cela. Le gredin s'emparerait à la suite de ce procédé expéditif du travail de toute ma vie.
L'intériorité n'est plus chez elle. Le monde l'a envahie et la surpeuplée. Autrefois, je n'arrivais à me concentrer que chez moi, dans la solitude et le silence. C'est exactement ce que je dois fuir désormais, si je veux espérer employer efficacement les heures d'une journée : sinon, j'explore sur l'internet toutes les choses qui me passent par la tête, les brèves distractions mentales qui ponctuent normalement un travail soutenu prennent des proportions démesurées, le temps file entre mes doigts et je me regarde le perdre en continuant de tirer des bouffées de cet opium. C'est dans l'étendue physique - beaucoup moins foisonnante, en définitive - que je me réfugie pour retrouver la faculté de me concentrer.
Les plus grands produits de l'architecture sont moins des oeuvres individuelles que des oeuvres sociales ; plutôt l'enfantement des peuples en travail que le jet des hommes de génie.
Noeud après noeud, jour après jour, une vie durant, les mains de l'exécutant répétaient sans cesse les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, des cheveux si fins et si ténus que ses doigts finissaient immanquablement par trembler et ses yeux par faiblir de s'être si intensément concentrés – et pourtant, l'avancée de l'ouvrage était à peine perceptible ; une bonne journée de travail avait comme maigre fruit un nouveau fragment de tapis dont la taille approximative n'excédait pas celle d'un ongle.
Rien çà-bas qui ne soit par naturel devoir,
Esclave de labeur: non seulement nous hommes,
Qui vrais enfants de peine et de misère sommes,
Mais le Soleil, la Lune et les Astres des Cieux
Font avecques travail leur tour laborieux.Ce « résistant à l'absurde » est le personnage clef de la modernité : à la mi-hauteur de l'échelle sociale, entre les éboueurs agrippés à leur benne et l'élite planant sur ses strato-cumulus. Sans son endurance stoïque, le monde s'écroulerait — les maris quitteraient leurs épouses-ados et partiraient vers les pays du Sud, vers des corps généreux et halés, loin de ce quatre-quatre rempli d'instruments de torture pour « le royaume de la glisse ». Or, ils assument, sourient, vieillissent. La fréquence des suicides, dans la classe moyenne, relativement nantie, est assez logique : des années passées à obtenir des tonnes de diplômes, une tension inhumaine au travail, la peur d'une obsolescence professionnelle programmée et, en compensation — cette voiture, pareille à un corbillard, et cette femme-ado à la voix glaçante : « Tu as encore oublié la doudoune de Léo… »
Nous avons aboli l'esclavage, mais sans avoir résolu la question du travail. En droit, il n'y a plus d'esclaves, en fait il y en a. Et tant que la majorité des hommes n'est pas libre, on ne peut concevoir l'homme libre, on ne peut même bien le réaliser.
Les rares nuits où l'Alarm n'avait pas sonné, la prévoyance du chef de camp remplaçait les alertes par des appels, parfaitement inutiles puisqu'ils doublaient ceux qui nous rassemblaient sur la place au retour du travail. Vers onze heures du soir, quand, rassurés par le silence et rompus de fatigue, nous étions enfin endormis, les cris des Stubendienste interrompaient notre repos. Il fallait s'habiller comme les autres nuits, gagner l'Appelplatz, s'aligner, immobiles, au garde-à-vous, attendre le signal de la dislocation. L'hiver, quand la neige tombait ou que soufflait le vent glacé du nord, l'appel se prolongeait deux ou trois, quelquefois cinq heures. Là, sous les faisceaux jaunes et glacés des projecteurs, douze mille hommes grelottants regardaient tomber les morts, sans qu'il leur fût permis de faire un geste, de se pencher sur eux, de leur dire un dernier adieu.
Les États-Unis ressemblent à une auberge espagnole. […] Rien n’est, en effet, plus facile que de découvrir tout et son contraire, les attitudes les plus libérales et les plus conservatrices, les valeurs profondes de la démocratie et la persécution des minorités, la richesse acquise par le mérite et par le travail en même temps que la pauvreté la plus insupportable. Les États-Unis sont le pays des contrastes, qui touchent à la nature et aux climats, aux structures sociales et politiques, aux diversités culturelles. Nous avons beau décréter que les Américains sont de grands enfants, aux idées simplistes et aux comportements aisément prévisibles, nous découvrons vite qu’ils sont au moins aussi compliqués et divers que nous, les Européens, le sommes.
Un jour de larmes consume plus de forces qu'un an de travail.
Le travail est l'aliment des âmes nobles.
J'ai mal aux idées. Mes idées sont malades, et je n'ai pas honte de ce mal secret. Je n'ai plus aucun goût, non seulement au travail, mais à la paresse.
L'exposition de mes créations dans les musées est la reconnaissance de mon travail, et aussi cela a montré le comment et le pourquoi derrière le fait de devenir Pierre Cardin. Ce n'est pas un hasard, vous savez. C'est un travail sans fin, des responsabilités stressantes et une forte personnalité. Il faut se créer une identité personnelle.
Certains hommes se croient d'une nature trop active pour s'astreindre à un travail quelconque.
Nous n'avons pas pour vocation d'accueillir toute la misère du monde. Nous avons pour vocation de vivre séparés du monde par des murs. Nous avons pour vocation de vivre entourés de barbelés de militaires de douaniers. Nous avons pour vocation de bouffer du sucre, par tonnes, nous avons pour vocation de détruire des forêts entières pour produire des milliards de rouleaux de papier hygiénique, nous avons pour vocation de déambuler dans des rayonnages saturés et de chérir des objets manufacturés. Nous avons pour vocation de couler des bateaux de migrants avant qu'ils ne gênent le tourisme. Nous avons pour vocation la rigidité le refus de l'accident de nous enduire de protection solaire avant de bouffer des glaces de nous empêtrer dans la Toile en gobant toujours les mêmes idioties, nous avons vocation à compter les espèces disparues, nous avons vocation à dépouiller les vulnérables, nous avons vocation à ingérer des hectolitres de soda. Nous avons vocation au mépris, mépris de tout ce qui est gratuit, de tout ce qui est donné, de la beauté, du sacré, mépris du travail d'autrui, du consentement d'autrui, de la vie d'autrui...
Partout où j'ai vécu, je me suis déplacée avec mes bagages de livres, c'est un continent mouvant dont je suis l'unique carte, et souvent, avant de me mettre au travail, je relis les quelques textes que je préfère pour former un cercle au centre duquel j'essaye ensuite de me tenir droite, pour faire honneur à ce que j'aime.
Elle a observé le travail des autres, des hommes, avant elle, elle a appris tout ce qu’il faut apprendre et fait ses preuves sous les regards exigeants, parfois condescendants, méfiants. Elle n’a brûlé aucune étape, elle est étrangère à l’idée de privilège, à autre chose qu’au lent respect des procédures. Elle a découvert que le travail l’apaise, le temps rassurant du labeur. Avec sérieux, de haute lutte, elle a conquis son autorité.
J'ai connu un homme qui a donné vingt ans de sa vie à une étourdie, qui lui a tout sacrifié, ses amitiés, son travail, la décence même de sa vie, et qui reconnut un soir qu'il ne l'avait jamais aimée. Il s'ennuyait, voilà tout, il s’ennuyait comme la plupart des gens. Il s'était donc créé de toutes pièces une vie de complications et de drames. Il faut que quelque chose arrive, voilà l'explication de la plupart des engagements humains.
Je dédie mon travail à ces femmes,
Liées par leurs cheveux,
Comme un grand filet d’âmes.
Tous les matins je me lève (1988) de Jean-Paul Dubois
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Le Capital (1867) de Karl Marx
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Le Livre de mon ami (1885) de Anatole France
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Comment il faut lire les poëtes, 56 de Jacques Amyot
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Une terre promise de de Barack Obama (2020) de Barack Obama
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Aziyadé (1879) de Louis Marie Julien Viaud, dit Pierre Loti
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Correspondance de Camille Claudel de Camille Claudel
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Fragments d'une mémoire infinie (2016) de Maël Renouard
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Notre-Dame de Paris (1831) de Victor Hugo
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Des milliards de tapis de cheveux (1999) de Andreas Eschbach
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Second livre des hymnes (1555), De la mort de Pierre de Ronsard
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Au-delà des frontières (2019) de Andreï Makine
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Fragments d'un journal intime (1884, 1887, 1923, 1927), 10 novembre 1852 de Henri-Frédéric Amiel
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L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
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Comprendre les États-Unis aujourd’hui, André Kaspi, éd. Perrin, 2008 de André Kaspi
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Graziella (1852) de Alphonse de Lamartine
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Lettres à Lucilius, XXXI de Sénèque
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Journal de Jules Renard
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L'Officiel, interview par Pamela Golbin (Usa), 16.11.2020 de Pierre Cardin
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Sans référence de Alfred Capus
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Vernon Subutex, Tome 3 (2017) de Virginie Despentes
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Une activité respectable de Julia Kerninon
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Ultramarins (2021) de Mariette Navarro
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La Chute (1956) de Albert Camus
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La tresse (2017) de Laetitia Colombani
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