Citation une fois que l on a
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Une Sélection de 380 citations et proverbes sur le thème une fois que l on a.
380 citations
Tu connais le concept grec du Kairos ? C'est l'instant décisif qu'il ne faut pas laisser passer. Dans toutes les vies, même les plus merdeuses, le ciel te donne au moins une fois une vraie chance de faire basculer ton destin. Le kairos, c'est la capacité à savoir saisir cette perche que la vie te tend. Mais le moment est généralement très bref. Et la vie ne repasse pas les plats.
Ils savaient maintenant que s'il est une chose qu'on puisse désirer toujours et obtenir quelquefois, c'est la tendresse humaine.
J'ai l'impression que le camp de réfugiés est au centre de beaucoup de tensions. Cette Jungle, vous y allez souvent ?
- Aux abords, tous les jours. À l'entrée, quand il le faut. Mais, dedans, rarement. C'est à la fois une zone de non-droit et un bidonville.J'ai voulu tout à la fois écrire, diriger et jouer mon trentième film afin d'extraire cette fois non pas une, mais quatre frustrations qui, accumulées, ont failli me conduire au suicide : celle de l'acteur rentré que je suis, celle d'avoir vu me filer entre les doigts, pour les succès faciles de la télé cairote, le jeune Mohsen Mohieddine que j'avais patiemment formé pour être mon acteur-fétiche et qui, comme Omar Charif jadis, m'a finalement échappé ; celle de tout créateur égyptien contemporain dont le travail est en butte à une administration qui trompe et dépouille ceux-là mêmes qu'elle devrait défendre... La frustration enfin du Festival de Cannes 1985 où tout indiquait que mon film Adieu Bonaparte ou, en tout cas, Mohsen Mohieddine remporterait un prix et où nous nous sommes finalement retrouvés assommés, abandonnés sans même une fleur.
Un soir nous étions installés tous les trois, bien lestés d'alcool et de toxiques divers, devant l'entrée de l'habitat rupestre. Le gueux s'éloigna pour procéder à l'inspection de quelque chose qui clochait avec sa voiture. Sally me fit entrer dans la maison, m'y prodigua des marques d'affection, attira mon attention sur une carabine Winchester posée sur le manteau de la cheminée. Elle m'invita à vérifier qu'elle était en ordre de marche. Incapable, comme on l'a vu, de résister à ses injonctions, et conscient toutefois de ce qu'impliquait presque nécessairement cet enchaînement de gestes, j'actionnai la poignée qui caractérise ce type d'armes et fis monter une balle dans le canon. Jamais Sally ne m'avait couvé d'un regard aussi tendre. Pendant que je m'employais à ces préparatifs, le transistor qui grésillait dans un coin de la pièce annonça la chute de Saigon, et cela me fit autant d'effet que s'il s'était agi du résultat d'un match de football
Je savais qu'il ne pleuvrait pas sur mes noces pour une simple raison : quand on a souffert aussi longtemps que moi, on mérite une sorte de récompense. Ce jour-là, encore une fois, je m'étais fiée à mon instinct. Et j'avais eu raison de le faire. La vie ne m'a pas toujours fait de cadeaux. Après tant d'années de travail acharné et d'épreuves, je me réjouissais de profiter de l'instant présent avec Erwin, de me lever en paix chaque matin, sans un souci, ni un besoin, ni un projet. J'ai atteint le nirvana... cet état de félicité suprême où on ne désire plus rien. Trois mois plus tard, je me suis réveillée en proie à la panique. J'avais l'impression d'avoir reçu un coup à la tête et sur ma jambe droite, et une drôle de sensation au niveau de la bouche me gênait pour appeler Erwin à mon aide. Ce qui m'arrivait dépassait mes pires craintes. Je faisais un AVC.
C'était à nouveau la valse des sourires. Etonnant comme parfois on prend des résolutions, on se dit que tout sera ainsi dorénavant, et il suffit d'un mouvement infime des lèvres pour casser l'assurance d'une certitude qui paraissait éternelle.
Je me jurais, une fois rentré en France, de continuer à pratiquer l'affût. Nul besoin de se trouver à 5000 mètres dans l'Himalaya. La grandeur de cet exercice partout praticable était de toujours procurer ce qu'on exigeait de lui. À la fenêtre de sa chambre, sur la terrasse d'un restaurant, dans une forêt ou sur le bord de l'eau, en société ou seul sur un banc, il suffisait d'écarquiller les yeux et d'attendre que quelque chose surgisse. On ne l'aurait jamais noté si l'on ne s'était pas maintenu aux aguets. Et si rien n'arrivait, la qualité du temps passé s'était trouvée accrue par l'attention portée. L'affût était un mode opératoire. Il fallait en faire un style de vie.
Même les canards m'ont enseigné d'importantes leçons sur le plan spirituel. Le seul fait de les regarder est une méditation en soi. Ils flottent si paisiblement de ci, de là, bien avec eux-mêmes, en étant totalement dans l'instant présent, dignes et parfaits comme seules les créatures dépourvues de mental peuvent l'être. A l'occasion, pourtant, deux canards auront une prise de bec, parfois pour aucune raison apparente ou parce que l'un d'eux a empiété sur le territoire de l'autre. L'altercation ne dure en général que quelques secondes, et ils se séparent, nagent dans des directions opposées et battent vigoureusement des ailes à quelques reprises. Puis ils reprennent leur paisible promenade sur l'eau comme s'il n'y avait jamais eu de bataille. Quand je les ai vus faire pour la première fois, j'ai soudainement compris que, en battant des ailes, ils se débarrassaient d'un surplus d'énergie, empêchant ainsi celle-ci de rester emprisonnée dans leur corps et de se transformer en négativité. Il s'agit là de sagesse naturelle, et c'est facile pour eux de l'appliquer parce qu'ils n'ont pas un mental qui maintient inutilement le passé en vie pour pouvoir en tirer une identité.
A chaque passant, il sursautait violemment, s'attendant chaque fois à ce que ce soit elle. Au bout d'une heure, il avait bien fallu qu'il se calme. Au moins pour la bonne raison que son corps était en panne d'adrénaline.
Une enquête pour homicide, c'est exactement comme la vie: il y a un début, un milieu et une fin. Et, comme la vie, on ne sait jamais où on en est avant qu'elle soit achevée. Parfois, elle se termine presque avant d'avoir commencé et parfois, on a l'impression qu'elle continue pour toujours, jusqu'à ce qu'elle périclite ou qu'elle soit classée sans suite.
Parfois, quand on m'interrogeait sur un retour en politique, je répondais : Non, jamais, sauf pour être ministre de la Culture. Et c'était comme une sorte d'idéal.
On attend une lettre ; on espère dans une visite retrouver une illusion d'autrefois ; le coeur bat quand la porte s'ouvre ; la poignée de main produit l'émotion du baiser ancien ; on conserve soigneusement une rose apportée ; un compliment banal paraît un regret. Puis l'enchantement s'en va, et l'on sait très bien que tout cela est faux. Ce sont des lianes souples qui s'agrippent, retiennent dans un passé évanoui et laissent sans force pour agir et vivre.
Parfois, je me disais que grandir en étant une fille, c'était apprendre à avoir peur. Pas exactement à être parano, mais à toujours rester sur ses gardes et lucide, comme quand on vérifie l'emplacement de la sortie de secours au cinéma ou à l'hôtel. Vous découvriez, avec une acuité inconnue dans l'enfance, la vulnérabilité du corps que vous habitiez, ses fortifications.
Il y a pourtant quelque chose de plus fort que la tradition : c’est la vie et son mouvement. Pourquoi les héros de roman passent-ils leur temps à se révolter ? Pour la même raison qui oblige les grands hommes à faire bouger l’histoire. À la splendeur du souvenir et de la fidélité répond l’ardeur de l’annonce, de l’attente, de la promesse. L’histoire est une continuité ; elle est aussi une impatience. Elle regarde vers demain comme elle regarde vers hier. Tournées vers l’avenir autant que vers le passé, les traditions ? comme les femmes ? sont faites pour être à la fois respectées et bousculées. Elles sont faites pour que le souvenir ne soit que la préface de l’espérance.
Il arrive quelquefois qu'une femme cache à un homme toute la passion qu'elle sent pour lui, pendant que de son côté il feint pour elle toute celle qu'il ne sent pas.
Attraper le bonheur, c'est vouloir retenir un papillon dans sa main ou le prendre avec un filet. Tu précipites le filet sur lui et il s'abîme, c'est un bonheur gâché. Si c'est un bonheur agile, on ne ne peut le faire prisonnier et l'on court sans fin, c'est une agitation inutile, le bonheur est parti. Parfois il se laisse prendre sans dommage, il ne s'est pas débattu et il reste bien sage, un peu frileux sous le filet. C'est un bonheur fragile, fatigué, malade peut-être. Si tu attrapes un beau bonheur, un papillon rare, sans l'abîmer, si tu le prends dans ta paume et que tu la refermes pour l'emprisonner, il ne reste que de la poussière de bonheur sur les doigts, si tu le piques sur un bois il meurt. Il faut être comme l'arbre à papillons, prêt à accueillir le bonheur, et tu verras, il viendra sur ton épaule.
Pourquoi ce qui était beau nous paraît-il rétrospectivement détérioré parce que cela dissimulait de vilaines vérités ? Pourquoi le souvenir d'années de mariage heureux est-il gâché lorsque l'on découvre que, pendant tout ce temps-là, l'autre avait un amant ? Parce qu'on ne saurait être heureux dans une situation pareille ? Mais on était heureux ! Parfois le souvenir n'est déjà plus fidèle au bonheur quand la fin fut douloureuse. Parce que le bonheur n'est pas vrai s'il ne dure pas éternellement ? Parce que ne peut finir douloureusement que ce qui était douloureux, inconsciemment et sans qu'on le sût ?
Certains êtres éprouvent très tôt une effrayante impossibilité à vivre par eux-mêmes; au fond ils ne supportent pas de voir leur propre vie en face, et de la voir en entier, sans zones d'ombre, sans arrière-plans. Leur existence est j'en conviens une exception aux lois de la nature, non seulement parce que cette fracture d'inadaptation fondamentale se produit en dehors de toute finalité génétique mais aussi en raison de l'excessive lucidité qu'elle présuppose, lucidité évidemment transcendante aux schémas perceptifs de l'existence ordinaire. Il suffit parfois de placer un autre être en face d'eux, à condition de le supposer aussi pur, aussi transparent qu'eux-mêmes, pour que cette insoutenable fracture se résolve en une aspiration lumineuse, tendue et permanente vers l'absolument inaccessible. Ainsi, alors qu'un miroir ne renvoie jour après jour que la même désespérante image, deux miroirs parallèles élaborent et construisent un réseau net et dense qui entraîne l'œil humain dans une trajectoire infinie, sans limites, infinie dans sa pureté géométrale, au-delà des souffrances et du monde.
Il sentit s'abattre sur lui ce malaise flou, encore une fois, l'envie de rien, le sentiment que ça ne finirait jamais, la sujétion, l'enfance, les comptes à rendre. Par moments, il se sentait tellement mal qu'il lui venait des idées expéditives.
Parfois l'enfant ne sait pas dire son chagrin,
Mais il entend, le soir, les étranges présages
Qui annoncent aux pierres blessées, à même le sol,
Leur libération, où il apprend que les pierres
Cœurs brisés, ont parfois l'éclat dur d'un langage.
Le bruit de la mer rugit au vestiaire
- Et un reproche ; mais cela même est rassurant :
Un reproche de moins entre lui et la mort…
Et là, sur le tapis devant la cheminée,
Il regarde l'enfer et voit son avenir
- Qui sait, peut-être une chambre de chauffe ?-
Pourtant, l'enfant, je pense, a connu des fous-rires
(On dit que de la vie ce sont les seuls remèdes),
Et puis, n'eût-il pas survécu,
Saurait-il que Rimbaud a connu ces chagrins,
Rimbaud dont l'âge d'homme aussi, comme le sien,
Fut déserté d'amour et privé de langage ?Dans les livres, quels que soient les dangers que courent les héros, ils ne les entraînent jamais dans l’inconnu total. Le monde peut être muet pour eux, il ne l’est que provisoirement, parce que l’auteur l’a balisé et qu’il en donne parfois les clefs au lecteur avant même de sauver son héros. Tout finit par avoir une explication. Le roman remplit le vide, éclaire les zones sombres, déjoue le hasard
Jamais je n'ai cessé, même aux jours de succès près de l'institutrice, de ressentir au fond de moi cette seconde rupture du lien ombilical, cet exil intérieur qui ne rapprochait plus l'écolier de sa mère que pour les arracher, chaque fois un peu plus, au murmure du sang, aux frémissements réprobateurs d'une langue bannie, secrètement, d'un même accord, aussitôt brisé que conclu… Ainsi avais-je perdu tout à la fois ma mère et son langage, les seuls trésors inaliénables – et pourtant aliénés !
Suivez-moi ! Vous n'êtes pas venu ici pour vous boucher les oreilles en pleurant ! Enfin ! On pourrait croire que c'est la première fois que vous êtes attaqué par des dinosaures, agressé par une femme à barbe et que vous assistez à un duel !
Qu'est-ce qui fait que parfois nous disons que nous sommes juifs, argentins, polonais, français, anglais, avocats, médecins, professeurs, chanteurs de tango ou joueurs de football ? Qu'est-ce qui fait que parfois nous parlons de nous-mêmes en étant si certains que nous ne sommes qu'une seule chose, une chose simple, figée, immuable, une chose que nous pouvons connaître et définir par un seul mot ? » Depuis qu'il était parti de Pologne, comme tant d'exilés, Vicente se posait souvent ces questions. Et s'il trouvait parfois des réponses à ce problème – beaucoup de réponses, trop de réponses ! –, jamais il n'arrivait à regarder l'une d'elles comme une véritable solution.
La vie secrète des écrivains (2019) de Guillaume Musso
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La Peste (1947) de Albert Camus
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Entre deux mondes (2018) de Olivier Norek
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Film Alexandrie encore et toujours (1990) de Youssef Chahine
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L'Organisation (2000) de Jean Rolin
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Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
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La Délicatesse (2009) de David Foenkinos
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La panthère des neiges (2019) de Sylvain Tesson
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Le Pouvoir du moment présent (1997) de Eckhart Tolle
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L'amour dure plus qu'une vie (2011) de Ann Brashares
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Un cri sous la glace (2017) de Camilla Grebe
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Interview de Roselyne Bachelot à Franceinfo le 07 juillet 2020 de Roselyne Bachelot
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Laissez-moi de Marcelle Sauvageot
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La fille qui brûle (2017) de Claire Messud
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Réponse au discours de réception de Marguerite Yourcenar, Le 22 janvier 1981
de Jean d'Ormesson
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Les Caractères (1696) de Jean de La Bruyère
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Les Dames de nage (2009) de Bernard Giraudeau
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Extension du domaine de la lutte (1994) de Michel Houellebecq
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Leurs enfants après eux de Nicolas Mathieu
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Pierres blessées
de Malcolm Lowry
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Une enfance de rêve (2014) de Catherine Millet
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Le polygone étoilé (1966) de Yacine Kateb
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L'Instinct de l'équarrisseur (2002) de Gilles Dumay, dit Thomas Day
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Le Ghetto intérieur (2019) de Santiago Amigorena
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