Citations sur froid

Le corps est plus fort et mieulx composé, qui supporte mieulx les mutations de l'ardeur du chault et de la rigueur du froit

Quel est sur moi le froid qui tombe ? C'est le froid du soir de mes jours

Ah ! l'homme en vain se rejette en arrière Lorsque son pied sent le froid du cercueil

Des chansons en quatre points Le froid nous désole

Plutôt on verra le froid et le chaud cesser de se faire la guerre, que les philosophes convenir entre eux de la vérité de leurs dogmes

Il traite mon neveu avec un froid inouï

Si l'auteur ou l'acteur d'une tragédie ne le sait pas émouvoir [le spectateur] et le transporter de la passion qu'il veut exprimer, où tombe-t-il, si ce n'est dans le froid, dans l'ennuyeux, dans le ridicule ?

Et nous-même, comment en parlons-nous ? avec le même froid que si nous n'y prenions nul intérêt

Eh bien ! monsieur, la façon dont nous sommes ensemble depuis six semaines, le froid que je vous marque....

À leurs noms, un grand froid, un front triste, un oeil bas, M'ont fait voir aussitôt qu'ils ne lui plaisaient pas

Quoi ! l'amour, l'amitié, tout va d'un froid égal !

Le mari, sachant que c'estcit de vivre, ne se montroit point avoir du froid aux pieds [être jaloux]

Uses donc hardiment de l'adjectif substantivé, comme le liquide des eaux, le vuyde de l'air.... pourveu que telle maniere de parler adjouste quelque grace, et vehemence ; et non pas le chault du feu, le froid de la glace, le dur du fer, et leurs semblables

Dis-moi donc.... Que voulais-je ? ah ! dans mon trouble extrême, Je veux.... je crains.... j'ai froid

Perdre son habit un jour de froid

Et il me dit : Par m'ame, sire, je aurai plus chier que nous feussions touz naiez, que ce que une maladie vous preit de froit, dont vous eussiez la mort

Dangereux modèles, propres à faire tomber dans le froid

....Un pauvre souffreteux Se plaint là-bas ; le froid est rigoureux

Quand vient l'astre des nuits ou le vent des hivers, Mon esprit comprimé se glace au froid des airs

Je vois peu de santés à l'épreuve du froid hors de saison que nous essuyons

Déjà jusqu'à mon coeur le venin parvenu Dans ce coeur expirant jette un froid inconnu

Un coeur déjà glacé par le froid des années

M. de Chaulnes raisonnait en ambassadeur, avec le froid et l'accablement d'un courage étouffé par la douleur

Le comte de Toulouse avec son froid lui répondit [à Beringhem] que M. de Torcy le lui apprendrait [ce qui avait été décidé]

Le jour s'avançait ; on s'épuisait en efforts inutiles ; la faim, le froid et les cosaques devenaient pressants