Les nouvelles citations publiées le vendredi 28 novembre 2025 sur Dicocitations ™
Mise à jour le vendredi 28 novembre 2025 à 12h52
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Tu avais besoin de moi pour régler tous les comptes qui restaient en suspens.
La femme du ve - Douglas Kennedy
Agir en primitif et prévoir en stratège.
Fureur et mystere (1948), rene char, édition gallimard, coll. poesie, 1962 (isbn 2-07-030065-x), partie feuillets d'hypnos (1943-1944), p. 104 - feuillets d'hypnos (1943-1944) - René Char
Les femmes viennent de Vénus, les vampires de l'Enfer.
Insatiable - Meg Cabot
La parole de Picasso est une sorte de massacre qui ne laisse debout que le dur, le solide et le valable.
28 autoportraits écrits et dessinés - Jean Cocteau
Peut-on appeler conversation le génie avec lequel Picasso bougonne et place des fils de fer barbelés entre le monde et ce qu'il pense du monde ? Il tue la sottise chaque fois qu'il ouvre la bouche, même s'il s'acharne à se contredire.
28 autoportraits écrits et dessinés - Jean Cocteau
M. Edmond : - J'ai besoin de changer d'atmosphère... et mon atmosphère : c'est toi ! Mme Raymonde : - C'est la première fois qu'on me traite d'atmosphère ! Si j'suis une atmosphère, t'es un drôle de bled ! Oh là là... les types qui sont du milieu sans en être et qui cognent à cause de ce qu'ils ont été, on devrait les vider. Atmosphère... atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? Puisque c'est ça vas-y tout seul à La Varenne... Bonne pêche et bonne atmosphère !
Louis jouvet, arletty, hotel du nord (1938), ecrit par henri jeanson - Henri Jeanson
Pour la première fois il m'a semblé percevoir, très exactement, où se situait mon centre de gravité.
Les jolis garcons - Delphine de Vigan
A un certain niveau d'oppression, peu importe la forme que prend la vérité, car finalement plus le mensonge est énorme et plus le régime montre l'étendue de son pouvoir.
Pyongyang - Guy Delisle
Cette fois, avec un craquement sinistre, le poignard subtil se brisa et la lame tomba en mille morceaux, qui scintillèrent sur les pierres encore mouillées par la pluie battante de l'autre univers.
À la croisée des mondes : intégrale - Philip Pullman
Ce livre parle à la fois d'amour, de jeunes, du lycée, et de la vie ! Tres bon livre, passionant, à lire imperativement !
Je ne sais plus pourquoi je t'aime - Gabrielle Zevin
La vie n'est pas ce que tu crois Antigone. C'est une eau que les jeunes gens laissent couler sans le savoir, entre leurs doigts ouverts. Ferme tes mains, ferme tes mains, vite retiens-la.
Antigone - Jean Anouilh
Je me suis laissé aller, emporté par mes souvenirs d’enfance et de jeunesse. Debussy, Satie, Stravinsky, Auric, Poulenc, Honegger, Darius Milhaud et les poètes : Apollinaire, Max Jacob, Reverdy, Cendrars. Je ne voyais plus le public. Il me semblait me raconter à moi-même cette époque étonnante qu’ils ne soupçonnent pas à Istambul. De fil en aiguille je retrouvais des anecdotes, des scènes entières entre Satie et Debussy que je faisais revivre sans m’en rendre compte parce qu’il m’était impossible de raconter ces hommes sans imiter leur dégaine. Au centre du public qui m’entourait, au lieu d’être en face de moi, je tournais, je m’hypnotisais, je tâchais comme dans une séance de spiritisme de faire apparaître les morts.
Maalesh Journal d'une tournée de théâtre De Jean Cocteau - Jean Cocteau
Ce matin, j’ai parlé à l’Université. Huit cents élèves dans un amphithéâtre semblable à celui où j’ai parlé jadis au Collège de France. Je m’efforce de ne pas devenir une machine à paroles. Chaque fois je m’applique à parler d’autre chose, à ne pas prendre le même départ, puisque c’est après le départ que j’enchaîne et que je trouve. J’ai parlé de La Machine infernale et du mythe d’Œdipe. Œdipe ne commence à voir clair que quand il est aveugle. Cela me mène à mettre la jeune Turquie en garde contre les nations qui voient trop clair et qui, faute de ténèbres, se déshumanisent.
Maalesh Journal d'une tournée de théâtre De Jean Cocteau - Jean Cocteau
Ici commencent les affres qui précèdent mes contacts avec le public. J’entends derrière le rideau la rumeur presque marine de mille huit cents personnes en train de s’agglomérer, de former l’élément qui me donne le mal de mer. Je n’ai rien préparé, à mon habitude et je me jette à l’eau. Peu à peu l’eau cesse d’être froide, mais le premier choc est dur. Les trois coups. Les projecteurs. Le rideau. J’entre. Qu’est-ce que je vais dire ? Cette fois les choses s’arrangent. Le public a du talent. Ses ondes me portent. Je me lance.
Maalesh Journal d'une tournée de théâtre De Jean Cocteau - Jean Cocteau
Lorsque la volonté se tait, l'instinct parle en l'absence de l'âme, le corps va son chemin.
Les precurseurs (édition 19 ? ? ) - Romain Rolland
Je ne crois pas à une vie heureuse. La vie est alternance de prose et poésie, de joies et tristesses, de bonheur et malheur qui ne dépendent qu’en partie de nous. Je crois en la qualité poétique de la vie, qui peut nous apporter bonheurs et parfois le bonheur. Savourons les moments de bonheur. Espérons retrouver des périodes de bonheur.
C'est quoi le bonheur. Libération Edgar Morin — 19 juillet 2017 - Edgar Morin
Je pense que la vie humaine est polarisée entre prose et poésie. Les états prosaïques sont ceux de l’obligation, de la contrainte, de l’ennui. Les états poétiques sont ceux de l’épanouissement du JE dans le NOUS, qui comporte affection, amour, communion, éventuellement exaltation. Les états poétiques sont propices aux bonheurs et au bonheur et peuvent les susciter comme le bonheur peut les susciter.
C'est quoi le bonheur. Libération Edgar Morin — 1* juillet 2017 - Edgar Morin
Et l'on part, et c'est un jeu, Et jusqu'à l'adieu suprême C'est son âme que l'on sème, Que l'on sème à chaque adieu. .. Partir, c'est mourir un peu.
Rondel de l'adieu - Edmond Haraucourt
C'est toujours le deuil d'un vœu, Le dernier vers d'un poème ;Partir, c'est mourir un peu. C'est mourir à ce qu'on aime.
Rondel de l'adieu de Edmond Haraucourt - Edmond Haraucourt
Los Angeles, donne-toi un peu à moi ! Los Angeles, viens à moi comme je suis venu à toi, les pieds sur tes rues, ma jolie ville je t'ai tant aimée, triste fleur dans le sable, ma jolie ville.
Demande a la poussiere - John Fante
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