Citation de Rimbaud
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Liste de citations - Rimbaud - Ses citations
Je rêvais croisades, voyages de découvertes dont on n'a pas de relations, républiques sans histoires, guerres de religion étouffées, révolutions de mœurs, déplacements de races et de continents : je croyais à tous les enchantements.
Délires : Alchimie du verbe - A moi. L'histoire d'une de mes folies. - Rimbaud
J'ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d'or d'étoile à étoile et je danse.
Phrases , dans Arthur Rimbaud : œuvres complètes, éd. Gallimard, 1972 (ISBN 2-07-010476-1), p. 132 - Arthur Rimbaud
La musique savante manque à notre désir.
Conte , dans Arthur Rimbaud : poèmes et textes, éd. Renaissance du livre, 2001 (ISBN 2804605434), p. 106 - Arthur Rimbaud
Il faut être absolument moderne.
Une saison en Enfer, Arthur Rimbaud, éd. Alliance typographique, 1873, « Adieu », p. 52 - Arthur Rimbaud
Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre.
Une saison en Enfer, Arthur Rimbaud, éd. Alliance typographique, 1873, « Nuit de l'enfer », p. 15 - Arthur Rimbaud
Le monde marche ! Pourquoi ne tournerait-il pas ?.
Une saison en Enfer, Arthur Rimbaud, éd. Alliance typographique, 1873, « Mauvais sang », p. 7 - Rimbaud
Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient. - Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère. - Et je l'ai injuriée.
Une saison en Enfer, Arthur Rimbaud, éd. Alliance typographique, 1873, p. 1 - Rimbaud
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer.
Le Bateau ivre , dans Poésies complètes, Arthur Rimbaud, éd. L. Vanier, 1895, p. 21, vers 89-90 - Arthur Rimbaud
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises, - Échouages hideux au fond des golfes bruns - Où les serpents géants dévorés des punaises - Choient, des arbres tordus avec de noirs parfums.
Le Bateau ivre , dans Poésies complètes, Arthur Rimbaud, éd. L. Vanier, 1895, p. 20, vers 53-56 - Arthur Rimbaud
Comme je descendais des Fleuves impassibles - Je ne me sentis plus guidé par les haleurs ; - Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, - Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
Le Bateau ivre , dans Poésies complètes, Arthur Rimbaud, éd. L. Vanier, 1895, p. 17, vers 1-4 - Arthur Rimbaud
Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; - Mon paletot aussi devenait idéal ; - J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal.
Ma bohème , dans Poésies complètes, Arthur Rimbaud, éd. L. Vanier, 1895, p. 91, vers 1-3 - Arthur Rimbaud
C'est un trou de verdure où chante une rivière - Accrochant follement aux herbes des haillons - D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, - Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Le Dormeur du val , dans Poésies complètes, Arthur Rimbaud, éd. L. Vanier, 1895, p. 84, vers 1-4 - Arthur Rimbaud
Elle est retrouvée - Quoi ? l'éternité. - C'est la mer allée - Avec le soleil.
L'Éternité , dans Reliquaire, Arthur Rimbaud, éd. L. Genonceaux, 1891, p. 100, vers 1-4 - Arthur Rimbaud
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu, voyelles, - Je dirai quelque jour vos naissances latentes.
« Voyelles », dans Poésies complètes, Arthur Rimbaud, éd. L. Vanier, 1895, p. 7, vers 1-2 - Arthur Rimbaud
Nature ! ô ma mère !.
Issue d'une lettre à Ernest Delahaye (mai 1873) Œuvres complètes, Arthur Rimbaud, éd. Le Livre de poche, coll. La Pochothèque, 1999 (ISBN 2-253-1325-0), p. 382 - Arthur Rimbaud
Car Je est un autre. Si le cuivre s’éveille clairon, il n’y a rien de sa faute. Cela m’est évident : j’assiste à l’éclosion de ma pensée : je la regarde, je l’écoute : je lance un coup d’archet : la symphonie fait son remuement dans les profondeurs, ou vient d’un bond sur la scène.
Issue d'une des lettres « du voyant », à Georges Izambard (13 mai 1871) Œuvres complètes, Arthur Rimbaud, éd. Le Livre de poche, coll. La Pochothèque, 1999 (ISBN 2-253-1325-0), p. 237 - Arthur Rimbaud
Car Je est un autre. Si le cuivre s'éveille clairon, il n'y a rien de sa faute.
Extrait de la lettre à Paul Demeny (dite lettre du voyant), 15 mai 1871. - Rimbaud
La poésie ne rythmera pas l’action elle sera en avant.
Lettre du voyant - Rimbaud
- Et là, - c'est comme un nid sans plumes, sans chaleur, - Où les petits ont froid, ne dorment pas, ont peur ; - Un nid que doit avoir glacé la bise amère. .. - Votre coeur l'a compris : - ces enfants sont sans mère.
Les étrennes des orphelins - Arthur Rimbaud
Le rêve maternel, c'est le tiède tapis, -C'est le nid cotonneux où les enfants tapis, - Comme de beaux oiseaux que balancent les branches, - Dorment leur doux sommeil plein de visions blanches !.
Les étrennes des orphelins - Arthur Rimbaud
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