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Sélection de 3314 citations sur le sujet aux
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3314 citations sur aux issue de notre collection de 150.000 citations
On pardonne aux jolies femmes de se regarder dans les glaces... et on blâme un homme intelligent de s'écouter parler... Pourquoi ?
Mon petit livre rouge (édition 1969)
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Michel Audiard
Les grands rêves poussent les hommes aux grandes actions et aux mytheomanies épiques.
Œuvres complètes, édition editions gallimard, 1989
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André Malraux
Si lorsque naissent les sentiments, certains ont le rose qui monte aux joues, moi j'ai le noir qui monte au cœur. Noir de questions et noir de peur.
Dieu est un pote a moi
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Cyril Massarotto
Voilà comment il faut se garder de s'attarder aux opinions vulgaires, et les juger par la voix de la raison, non par la voix commune.
Des cannibales
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Michel de Montaigne
C'est trop se laisser surprendre aux vaines descriptions des peintres et des poètes, que de croire la vie et la mort autant semblables que les uns et les autres nous les figurent.
Choix de sermons de la jeunesse de bossuet. Éd. critique donnée d'après les manuscrits de la bibliothèque impériale avec les variants du texte, des fac-simile [ ! ] de l'écriture, des notices, des notes et classée pour la première fois dans l'ordre des dates (édition 1868)
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Jacques-Bénigne Bossuet
Et la voix prononce que l'Europe nous a pendant des siècles gavés de mensonges et gonflés de pestilences, car il n'est point vrai que l'œuvre de l'homme est finie que nous n'avons rien à faire au monde que nous parasitons le monde qu'il suffit que nous nous mettions au pas du monde mais l'œuvre de l'homme vient seulement de commencer et il reste à l'homme à conquérir toute interdiction immobilisée aux coins de sa ferveur et aucune race ne possède le monopole de la beauté, de l'intelligence et de la force
Cahier d'un retour au pays natal, 1939
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Aimé Césaire
La nuit s'en va abandonnant sur le lit individuel un bouquet de nénuphars. Au matin, le gardien voit le bouquet. Il questionne le fou qui ne répond pas et dès lors, aux bras de la camisole de force, le malheureux ne sortira plus de sa cellule.
La liberté ou l'amour ! (1927), robert desnos, éd. gallimard, coll. l'imaginaire, 1962 (isbn 978-2-07-027695-0), v. la baie de la faim, p. 55 - la liberté ou l'amour ! , 1927
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Robert Desnos
Le prince de Motordu ne s'ennuyait jamais. Lorsque venait l'hiver, il faisait d'extraordinaires batailles de poules de neige. Et le soir, il restait bien au chaud à jouer aux tartes avec ses coussins... dans la grande salle à danger du chapeau.
La belle lisse poire du prince motordu
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Pef
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines, Voici s’enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange. L’azur et l’onde communient. Je sors. Si un rayon me blesse Je succomberai sur la mousse. Qu’on patiente et qu’on s’ennuie C’est trop simple. Fi de mes peines. je veux que l’été dramatique Me lie à son char de fortunes Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m’illusionne ; C’est rire aux parents, qu’au soleil, Mais moi je ne veux rire à rien ; Et libre soit cette infortune.
Bannières de mai -
Arthur Rimbaud
Au printemps, c’est dans les bois nus Qu’un jour nous nous sommes connus. Les bourgeons poussaient vapeur verte. L’amour fut une découverte. Grâce aux lilas, grâce aux muguets, De rêveurs nous devînmes gais. Sous la glycine et le cytise, Tous deux seuls, que faut-il qu’on dise ? Nous n’aurions rien dit, réséda, Sans ton parfum qui nous aida.
Les quatre saisons – Le printemps -
Charles Cros
Déjà les beaux jours, – la poussière, Un ciel d’azur et de lumière, Les murs enflammés, les longs soirs ; – Et rien de vert : – à peine encore Un reflet rougeâtre décore Les grands arbres aux rameaux noirs ! Ce beau temps me pèse et m’ennuie. – Ce n’est qu’après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l’eau.
Avril -
Gérard de Nerval
Je crois que notre seul espoir d'immortalité est dans nos actes, en ce que nous faisons aux autres, pour les autres, et en nos enfants.
La dixième planète, edmund cooper, éd. denoël, 1976, p. 65
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Edmund Cooper
Travailler comme un borgne et laisser faire aux dieux.
Jules renard - oeuvres (illustré): , Éd. lci, 2013
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Jules Renard
Les trois sommets invisibles les uns aux autres, à tour de rôle se répondaient à cette époque ou un peu plus tard Boulez préparait Repons le soleil n'était pas encore levé mais il coloriait de bleu à l'est le ciel encore noir
Un captif amoureux
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Jean Genet
De retour à la maison, il se mettait aussitôt à table, mangeait rapidement sa soupe aux choux et un morceau de viande aux oignons, sans en remarquer le goût, en avalant aussi les mouches et tout ce dont Dieu, selon l'époque, assaisonnait ses mets.
Nouvelles de petersbourg
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Nicolas Gogol
Thomas : Quant à toé, Antoine, raconte-nous donc comment t'as perdu ta terre. Pis t'as combien de dettes, hein ? Antoine : Écoute un peu Thomas : mes dettes, j'vais les payer jusqu'à 'dernière cenne. Parce que moé, j'ai mon honneur Thomas. J'ai-mon-hon-neur. Thomas : Ton honneur ! Ton honneur a' profite à qui ? Aux compagnies de crédit ? Aux chaînes de magasins d'alimentation ?
La vraie nature de bernadette (1972)
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Gilles Carle
Il songe qu'il faudrait apprendre à se préparer aux disparitions afin de s'en protéger, mais la vérité c'est qu'on n'a pas assez d'imagination pour ça.
Une bonne raison de se tuer
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Philippe Besson
Les Noirs doivent se lever pour laisser la place aux Blancs. Toi là-bas, lève-toi et laisse ta place au monsieur !
Le bus de rosa
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Fabrizio Silei
Nous autres, poëtes de cet avenir sans cesse naissant, pensons et parlons extravagamment aux apparences et avant même que Ta grâce ne révèle dans notre tortueux pèlerinage son amoureuse précédence.
Le chant du veilleur - poeme symphonique
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Maxence Caron
En ce temps là, pour ne pas châtier les coupables, on maltraitait des filles. On allait même jusqu’à les tondre.
Comprenne qui voudra
Moi mon remords ce fut
La malheureuse qui resta
Sur le pavé
La victime raisonnable
À la robe déchirée
Au regard d’enfant perdue
Découronnée défigurée
Celle qui ressemble aux morts
Qui sont morts pour être aimés.
Comprenne qui voudra de Paul Éluard -
Paul Éluard
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