Citation dans


Sélection de 13207 citations sur le sujet dans

- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe dans issus de livres, discours ou entretiens.

Page 229 sur un total de 661 pages.


Citations dans - Page 229 sur un total de 661 pages.




Alors je suis retourné dans ma chambre et je me suis écroulé sur mon lit, en me disant que si les gens étaient de la pluie, j'étais de la bruine et elle, un ouragan.
Qui es-tu alaska ? - John Green




Je sais que dans la vie rien n'est jamais acquis, que rien n'est jamais promis.
La fille de papier - Guillaume Musso




Le plaisir n'est que le bonheur d'un point du corps. Le vrai bonheur, le seul bonheur, tout le bonheur est dans le bien-être de toute l'âme.
Pensées: et lettres (édition 1954) - Joseph Joubert




La misère n'est belle que dans les livres qui mentent
Les ecureuils de central park sont tristes le lundi - Katherine Pancol




Avec le temps... Avec le temps, va, tout s'en va Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard Et l'on se sent floué par les années perdues
Avec le temps, 1971 - Léo Ferré




Vivons sur ce qui est, non sur ce qu'il serait beau qui fût. Nous savons ce que nous pouvons demander à nos capacités dans le jeu, et ne cherchons pas à nous bluffer là-dessus. De même contentons-nous de nos sentiments réels, sans y mettre de trompe-l'œil.
Les Olympiques,1924, p. 374. - Montherlant




La cote d'amour. Chacun me répète que je l'ai. C'est bien possible, mais je songe à la maxime de Pierre Reverdy : Il n'y a pas d'amour. Il n'y a que des preuves d'amour Et même en admettant que cette cote existe, on imagine mal, dans l'ombre, la danse du scalp de ceux qui nous croient gavés de gloire et veulent notre perte.
Le passé défini - Jean Cocteau




Personne ne se déplaçait librement dans la maison. Chacun suivait le chemin de son habitude
Marcel - Erwin Mortier




J'ouvre donc en tremblant le coeur de l'homme, et je n'ai pas besoin d'aller bien loin ; hélas ! je n'ai qu'à ouvrir le mien pour découvrir ce qui se passe dans celui de mes semblables. J'ouvre le coeur de l'homme, et je connais qu'il s'aime. Il s'aime, et je ne l'en blâme pas : pourquoi se haïrait-il ? Mais il ne fait pas que s'aimer ; il s'aime plus que tout, il s'aime par-dessus tout, il s'aime d'une manière exclusive, il s'aime jusqu'à l'orgueil, jusqu'à vouloir être le premier, et seul le premier.
Conférences de Notre-Dame de Paris de Lacordaire - Henri Lacordaire




La foule marchait lentement. Il y avait des groupes d'hommes causant au milieu du trottoir et des femmes passaient, avec une mollesse dans les yeux et ce teint de camélia que donne aux chairs féminines la lassitude des grandes chaleurs.
L'education sentimentale - Gustave Flaubert




Quelque légèreté entre toujours dans les natures excellentes, et, comme elles ont des ailes pour s'élever, elles en ont aussi pour s'égarer.
Pensées, essais et maximes Par Joseph Joubert - Joseph Joubert




Un matin,au moment où je quittais la maison,elle me dit: La vie te donnera exactement ce que tu y apporteras. Mets tout ton cœur dans tout ce que tu fais, prie et puis attends.
Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage - Maya Angelou




Le bouddhisme joue un rôle important dans le sentiment d'identité nationale. La revitalisation des pèlerinages au Tibet et dans les pays limitrophes est liée à ce sentiment. De nos jours partir en pèlerinage marque la condition de bouddhiste (nang pa, ceux qui sont à l'intérieur) et s'oppose à celle des non bouddhistes (phyi pa, ceux qui sont à l'extèrieur), essentiellemnt les Chinois. Partir en pèlerinage, c'est aussi suivre des routes traditionnelles, chargées d'histoire et qui appartiennent à la mémoire collective.
Tibetains, 1959-1999, quarante ans de colonisation, ouvrage collectif dirige par katia buffetrille et charles ramble avec robbie barnett, georges dreyfus, samten g. karmay, per kv ? rne et jigme namgyel, édition edition autrement, 1998, p. 127 - Katia Buffetrille




Y a assez de moments pénibles dans la vie pour ne pas profiter doublement des moments agréables !
Un petit gout de noisette - Vanyda




Je vais essayer, et communier, oui, communier dans ce grand esprit que l'on nomme opinion publique. Je veux être avec les autres, pas les comprendre, mais être comme eux, parmi eux, partager les mêmes choses...
Comment je suis devenu stupide - Martin Page




Le fait d'être amoureux nous paraissait indiscutable. Pourtant, au lieu de provoquer un état d'excitation fébrile, il nous rendait presque impassibles. Nous devenions lents, hypnotisés par la nouveauté et la force de ce qui nous arrivait. Je pouvais passer des heures dans une félicité parfaite qui n'avait besoin que des rares mouvements de la robe claire à travers la pièce cuivrée sous le soleil de mars. Voir une natte légèrement bouclée qui scintillait de chaque cheveu, sous un rayon de lumière, me suffisait pour me sentir heureux. Et quand ses yeux, d'un reflet vert et bleu, se posaient sur moi, j'avais l'impression de commencer à exister dans une identité enfin véritablement mienne.
Le livre des brèves amours éternelles, Andreï Makine, éd. Seuil, 2011 (ISBN 978-2-02103365-6), p. 89 - Andreï Makine




Cette obsession de la durée nous fait manquer tant de paradis fugaces, les seuls que nous puissions approcher au cours de notre fulgurant trajet de mortels. Leurs éblouissements surgissent dans des lieux souvent si humbles et éphémères que nous refusons de nous y attarder. Nous préférons bâtir nos rêves avec les blocs granitiques des décennies. Nous nous croyons destinés à une longévité de statues.
Le livre des brèves amours éternelles, Andreï Makine, éd. Seuil, 2011 (ISBN 978-2-02103365-6), p. 81 - Andreï Makine




Nous sommes ici car nous avons péché. Ce lieu n'est pas un enfer, mais un purgatoire. Nous sommes ici pour épurer nos vies. Nous sommes dans un lieu de rédemption où nous allons essayer de racheter notre âme.
Le miroir de cassandre - Bernard Werber




Je ne comprends pas comment le 11 janvier la France a pu bomber le torse et prétendre s'être relevée ? Lorsque 12 personnes meurent simplement à cause de leurs dessins et quatre autres parce qu'elles faisaient leurs courses dans une supérette cacher, c'est la preuve d'un terrible échec, le symbole absolu de notre déclin. Sommes-nous aveugles au point de ne pas avoir pris la mesure de la monstruosité des actes ? Sommes-nous stupides d'avoir pensé qu'ils ne pourraient pas se reproduire ? Nous n'avons toujours pas mesuré la gravité des événements, le fait que nous sommes entrés en guerre.
« La France est toujours aussi aveugle face au péril islamiste », Alexandre Devecchio, Figaro vox, 23 mai 2015 - Jeannette Bougrab




Au fil des mois, la pratique des livres dans laquelle elle n'avait vu à l'origine que le symbole de sa libération et l'instrument d'une revanche sur le destin, finit par se muer en passion toute pure.
La petite dame en son jardin de bruges - Charles Bertin



Page 229 sur un total de 661 pages.









Etendez votre recherche :
Citation dans   Phrases sur dans    Poèmes dans    Proverbes dans