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Citation dors

Sélection de 25 citations sur le sujet dors

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Citations dors

J'ai fait un drôle de songe aujourd'hui. Et depuis que je suis réveillée, j'y rêve d'y retourner, sans savoir pourquoi ni comment faire.. Je voudrais te revoir, là ou tu dors.

Pendant un moment, j'ai été tenté de rester au lit. Mais aujourd'hui je dors moins bien que dans ma jeunesse. J'ai vingt-et-un ans. Mes vingt ans sont loin-une éternité.

Je travaille la nuit, je monte à cheval le jour, je joue au billard le soir, je dors le matin. C'est toujours la même vie.

Oh tu sais, je dors jamais bien. Je pense trop. Les soucis c'est comme les moustiques. Dès que la lumière s'éteint ils se mettent à voler partout en faisant ce bruit horrible et alors c'est fini, tu peux plus dormir.

- Et je les aime tant. Je crois que je les aime tellement que j'ai pensé à tout ce qui pouvait leur arriver dans cette maison et ce jardin et je n'en dors plus. Vous ne pouvez pas imaginer quelle quantité d'accidents ça fait.

S'il y a une mission régalienne sur laquelle on ne peut pas se permettre une indigence de pensée et de conception c'est bien la justice. La justice est l'épine dorsale de la démocratie. C'est est une mission régalienne qui doit rassurer, apaiser l'ensemble de la société.

Fait pour ma main, Je te tiens bien. Je me sens fort De notre force. Tu dors longtemps, Tu sais le noir, Tu as sa force.

Je ne dors pas bien sans elle. Je m'agite, je me retourne, j'ai la nostalgie de sa chaleur.

J'aime les gares parce qu'elles vivent jour et nuit. Si je ne dors pas, je me sens moins seul.

De tous les hommes que je rencontrai, je suis le plus poli, la politesse est mon climat, je m'y repose, un automate y prend souvent ma place en veillant où je dors, c'est à ce moment-là que je parais de la civilité la plus exquise. On n'imagine à quel point je me vide de moi-même en abordant les autres, cela me permet de les écouter sans lassitude et comme la plupart éprouvent la démangeaison de parler inlassablement de leur personne, se plaignant, s'épanchant, se vantant, s'exhalant, s'approuvant et se contemplant, j'ouvre à leur complaisance une carrière sans limites.

Je n’ai jamais su si j’aimais Le saurai-je un jour ou jamais Ta main n’était pas la plus chaude Il y a si longtemps que je rôde Depuis je ne tiens plus qu’à toi Depuis je ne dors que sur toi Depuis je ne chante que pour toi.

Je dors comme un caillou, je mange comme un ogre et je bois comme une éponge.

Je dors, je mange, je travaille. Chaque journée est plus ou moins semblable à la précédente. Je ne vis pas vraiment. J'existe plutôt. Les psys ont une expression pour ça : faire comme si tout était normal. Je ne sais vivre que comme ça.

L'amour est une forme d’abstraction. Et puis il y a les nuits où je dors seul, où je me blottis contre un oreiller qui n'est pas toi, où j'entends des bruits de pas feutrés qui ne sont pas les tiens. Ce n'est pas comme si je pouvais soudain te faire surgir à côté de moi. Je dois me contenter d'étreindre l'idée de toi.

Je bois beaucoup. Je dors un peu, et je fume cigare après cigare. C'est pour ça que je suis à 200% en forme.

Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ; Tes ailes reposent sur moi ; Tous mes songes viennent de toi, Doux comme le regard d'une ombre.

C’est surtout quand mes yeux se ferment qu’ils voient le mieux, car tout le jour ils tombent sur des choses indifférentes ; mais, quand je dors, ils te contemplent en rêve et, s’éclairant des ténèbres, deviennent lucides dans la nuit.

Dis-moi avec qui tu dors, je te dirai de qui tu rêves.

Depuis quinze ans et plus que je suis dans cette étrange position, elle me paraît encore un rêve. Je m'imagine toujours qu'une indigestion me tourmente, que je dors d'un mauvais sommeil, et que je vais me réveiller bien soulagé de ma peine en me retrouvant avec mes amis. Oui, sans doute, il faut que j'aie fait sans que je m'en aperçusse un saut de la veille au sommeil, ou plutôt de la vie à la mort.

Mais moi, je les trouve gentils, Les oiseaux de Paris. Vous croyez peut-être qu'ils ont entre eux D'innocents bavardages. Non, Mesdames, l'amour, ils ont joyeux. Ah ! Quel beau tapage. Je ne dors plus la nuit. Je me remue dans mon lit Et je rêve, c'est inouï, Que je suis un oiseau de Paris.

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