Citation etaient


Sélection de 487 citations sur le sujet etaient

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Les 487 plus belles citations sur etaient




Ceux qui pensaient que cette guerre finirait bientôt étaient tous morts depuis longtemps.
Au revoir là-haut - Pierre Lemaitre




Meaume à quarante ans disait qu’il comptait huit extases. A un compagnon romain qui lui demandait quelles elles étaient, il dit : Un rêve, un souvenir, une toile de la main de Claude Gellée offerte par lui l’année 1651 représentant sainte Paule dans le port d’Ostie, une jeune fille devant les bateaux dans le port de Bruges. Puis, comme il avait cessé de parler, il rumina dans son silence. Cela ne faisait que quatre.
Terrasse à Rome de Pascal Quignard - Pascal Quignard




En 1913, ce hameau de dix à douze maisons avait trois habitants. Ils étaient sauvages, se détestaient, vivaient de chasse au piège : à peu près dans l'état physique et moral des hommes de la préhistoire. Les orties dévoraient autour d'eux les maisons abandonnées. Leur condition était sans espoir. Il ne s'agissait pour eux que d'attendre la mort : situation qui ne prédispose guère aux vertus.
L'Homme qui plantait des arbres - Jean Giono




Ce savant, qui était d'ailleurs un bon homme, avait été volé par sa femme, battu par son fils, et abandonné de sa fille qui s'était fait enlever par un Portugais. Il venait d'être privé d'un petit emploi duquel il subsistait ; et les prédicants de Surinam le persécutaient parce qu'ils le prenaient pour un socinien. Il faut avouer que les autres étaient pour le moins aussi malheureux que lui ; mais Candide espérait que le savant le désennuierait dans le voyage. Tous ses autres rivaux trouvèrent que Candide leur faisait une grande injustice ; mais il les apaisa en leur donnant à chacun cent piastres.
Candide - Voltaire




Puisque j'ai essuyé, dit-il, un si cruel caprice d'une fille élevée à la cour, il faut que j'épouse une citoyenne. Il choisit Azora, la plus sage et la mieux née de la ville ; il l'épousa, et vécut un mois avec elle dans les douceurs de l'union la plus tendre. Seulement il remarquait en elle un peu de légèreté, et beaucoup de penchant à trouver toujours que les jeunes gens les mieux faits étaient ceux qui avaient le plus d'esprit et de vertu.
Zadig, ou la destinée. - Voltaire




Nombre de parents, lorsqu'ils vieillissent, empêchent leurs enfants de leur prodiguer la tendresse et le soutien qu'ils ont eux-même reçus lorsqu'ils étaient petits.
Maktub de Paulo Coelho - Paulo Coelho




Il est possible qu'à des époques antérieures, où les ours étaient nombreux, la virilité ait pu jouer un rôle spécifique et irremplaçable ; mais depuis quelques siècles, les hommes ne servaient visiblement à peu près plus à rien. Ils trompaient parfois leur ennui en faisant des parties de tennis, ce qui était un moindre mal ; mais parfois aussi ils estimaient utile de faire avancer l'histoire, c'est-à-dire essentiellement de provoquer des révolutions et des guerres.
Les particules élémentaires de Michel Houellebecq - Houellebecq




Pendant longtemps, Virgile avait pensé qu'hommes et femmes étaient confrontés à trois malentendus : la rencontre, la relation, la séparation. On se rencontre, on s'aime, on se sépare pour des raisons qui nous échappent. Aucun couple ne peut s'affranchir de cette déclinaison du malentendu.
Peut-être une histoire d'amour de Martin Page - Martin Page




Amour, devant ton regard séduisant j'ai prononcé mes premiers vœux ; mes espérances, mes rêves, mon cœur étaient à toi ; mais tout cela maintenant est usé et flétri, car tes ailes sont comme celles du vent, tu ne laisses aucune trace de ton passage, si ce n'est, hélas ! les jaloux aiguillons. Arrière ! arrière ! pouvoir décevant, tu ne présideras plus aux jours qui m'attendent, à moins que tu ne sois dépouillé de tes ailes.
Heures de loisir : l'Amitié est l'Amour sans ailes ! - Lord Byron




Le jour de ma naissance, les trois personnages qui allaient ravager l'humanité étaient déjà de ce monde : Hitler avait dix huit ans, Staline, vingt huit et Mao, treize. J'étais tombée dans le mauvais siècle, le leur.
La cuisinière d'Himmler de Franz-Olivier Giesbert - Franz-Olivier Giesbert




Ses étreintes avaient cette langueur et cette force qui étaient pour moi un langage.
Les Diaboliques - Jules Barbey d'Aurevilly




Au XIIe siècle, les cantons de Fougères, Rennes, Bécherel, Dinan, Saint-Malo et Dol, étaient occupés par la forêt de Brécheliant ; elle avait servi de champ de bataille aux Francs et aux peuples de la Domnonée. Wace raconte qu'on y voyait l'homme sauvage, la fontaine de Berenton et un bassin d'or. Un document historique du XIe siècle, les Usemens et coutumes de la forêt de Brécilien, confirme le roman de Rou [Le roman de Rou (Rollon, duc de Normandie), fut composé au XIIe siècle par le trouvère normand Robert Wace.
Mémoires d'outre-tombe, tome 1. - François René de Chateaubriand




Il y a des gens qui n'ont pas le moyen d'être nobles. Il y en a de tels que, s'ils eussent obtenu six mois de délai de leurs créanciers, ils étaient nobles. Quelques autres se couchent roturiers, et se lèvent nobles. Combien de nobles dont le père et les aînés sont roturiers !.
Les Caractères. - Jean de La Bruyère




Mieux que l'amour, l'argent, la gloire, donnez moi la vérité. je me suis assis à une table où nourriture et vins riches étaient en abondance, et le service obséquieux, mais où n'étaient ni sincérité, ni vérité ; et c'est affamé que j'ai quitté l'inhospitalière maison.
Walden ou La vie dans les bois de Henry David Thoreau - Henry David Thoreau




En tout ce qui concerne notre bonheur ou notre malheur, il faut tenir la bride à notre fantaisie : ainsi, avant tout, ne pas bâtir des châteaux en l’air ; ils nous coûtent trop cher, car il nous faut, immédiatement après, les démolir, avec force soupirs. Mais nous devons nous garder bien plus encore de nous donner des angoisses de cœur en nous représentant vivement des malheurs qui ne sont que possibles. Car, si ceux-ci étaient complètement imaginaires ou du moins pris dans une éventualité très éloignée, nous saurions immédiatement, à notre réveil d’un pareil songe, que tout cela n’était qu’illusion.
Parerga et Paralipomena - Arthur Schopenhauer




Rappelons-nous nos beaux jours, les jours où nous étions gais, où nous étions plusieurs, où le soleil brillait, où les oiseaux cachés chantaient après la pluie, les jours où nous nous étions promenés dans le jardin ; le sable des allées était mouillé, les corolles des roses étaient tombées dans les plates-bandes, l'air embaumait. Pourquoi n'avons-nous pas assez senti notre bonheur quand il nous a passé par les mains ? il eût fallu, ces jours-là, ne penser qu'à le goûter et savourer longuement chaque minute, afin qu'elle s'écoulât plus lente ; il y même des jours qui ont passé comme d'autres, et dont je me ressouviens délicieusement.
Novembre - Gustave Flaubert




Ce que vous appeliez, que j’appelais avec vous : tentations, ce sont elles que je regrette ; et, si je me repens aujourd’hui, ce n’est pas d’avoir cédé à quelques-unes, c’est d’avoir résisté à tant d’autres, après lesquelles j’ai couru, plus tard, lorsqu’elles étaient déjà moins charmantes et de moindre profit pour ma pensée.
Les Nouvelles Nourritures - André Gide




Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin ; ses palefreniers étaient ses piqueurs ; le vicaire du village était son grand aumônier. Ils l'appelaient tous monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes.
Candide - Voltaire




Mahomet nous apparaît comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine. Ses affections étaient sincères ; son caractère, en général, porté à la bienveillance. Lorsqu'on lui serrait la main en l'abordant, il répondait cordialement à cette étreinte, et jamais il ne retirait la main le premier. Il saluait les petits enfants et montrait une grande tendresse de cœur pour les femmes et les faibles. Le paradis, disait-il, est au pied des mères. Ni les pensées d'ambition, ni l'exaltation religieuse n'avaient desséché en lui le germe des sentiments individuels.
Études d'histoire religieuse, Ernest Renan, éd. Michel Lévy frères, 1858, p. 248 - Ernest Renan




Ils étaient frères de race, mais d'une race plus vraie que toutes celles qu'inventent la haine et la petitesse de ceux qui cherchent plus bas que soi, afin de se sentir supérieurs.
Les enchanteurs - Romain Gary



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