Citation etait


Sélection de 1962 citations sur le sujet etait

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Citations etait - Page 63 sur un total de 99 pages.




Nous étions amoureux de cette musique pour ce qu'elle était, mais aussi pour ce qu'elle représentait - un moment de notre existence où nous avions cessé d'être deux pour n'être plus qu'un.
Marley et moi : mon histoire d'amour avec le pire chien du monde - John Grogan




L'ancien marchand de hot dogs ambulant était tombé amoureux au premier regard. Le deuxième et tous ceux qui suivirent ne firent que confirmer le symptôme.
Le vieux qui ne voulait pas feter son anniversaire - Jonas Jonasson




C'est précisément parce que le Pays Fantastique était infini que sa fin était inéluctable.
L'histoire sans fin - Michael Ende




Il était comme le coq qui croyait que le soleil s'était levé pour l'entendre chanter. George Elliot.
- George Elliot




Le scandale, dans les petites villes, était un plat qu'on gardait toujours au chaud, comme le ragoût de haricots de la tante Cindy.
Salem - Stephen King




Il s'estimait aussi capable qu'un autre de lire un bilan, mais ce livre-là était à la comptabilité ce qu'un grain de sable est à l'horlogerie.
Masquarade (1995), terry pratchett (trad. patrick couton), édition pocket, coll. pocket fantasy, 2000, p. 69 - masquarade, 1995 - Terry Pratchett




Ma mère avait dit un jour que l'éducation était un privilège dont tout le monde ne bénéficiait pas, mais elle se trompait... Ce n'était pas un privilège. C'était notre droit. Nous avions droit à notre avenir.
Les insoumis - Alexandra Bracken




Elle était très jeune, ignorant que l'on pouvait faire l'amour dans les rires. Elle ne savait pas non plus que son corps était aussi insouciant, espiègle et joyeux.
Une femme fuyant l'annonce - David Grossman




Ce carnet était en partie fait de mémoire, les choses qui m'ont le plus touchée n'y sont pas toutes, je n'ai pas osé tout dire.
A l'ombre de moi-meme - Catherine Deneuve




Je dors, je mange, je travaille. Chaque journée est plus ou moins semblable à la précédente. Je ne vis pas vraiment. J'existe plutôt. Les psys ont une expression pour ça : faire comme si tout était normal. Je ne sais vivre que comme ça.
La maison d'a cote - Lisa Gardner




Mon premier amour était un pigeon, un pigeon de Pais, sale et gris, tenace et pugnace.
J'étais là avant - Katherine Pancol




Il y avait cet émerveillement réel entre eux. Quelque chose qui était le merveilleux des contes, des instants volés à la perfection. Des minutes que l'on grave dans sa mémoire au moment même où on les vit. Des secondes qui sont notre future nostalgie.
La delicatesse - David Foenkinos




L'usine était morte, une usine sans ouvriers, c'est purement et simplement un tombeau.
Le maître a de plus en plus d'humour - Mo Yan




Dans ma tête, ça allait dans tous les sens. J'étais un monstre. Un monstre s'était emparé de moi tout entière. Je n'avais plus de tête. Ma tête était une prison. Je ne pensais pas que je mettrais tant d'années à me réconcilier avec elle
La parenthese - Elodie Durand




Le temps était si lumineux, plus lumineux qu'à son souvenir. Ayant absorbé tout le bleu du ciel, le soleil se prélassait dans un paradis blanc, menaçait Lotus, torturait son paysage, mais échouait, échouait, sans cesse échouait à le réduire au silence
Home - Toni Morrison




Oui elle était jolie et elle avait la tête aussi bien vissée sur les épaules que n'importe quel gars. A part l'habitude, commune à toute les femelles, de vouloir régenter tout son monde, cette tête de pioche n'avait aucun défaut.
L'enfant tombe des etoiles - Robert A. Heinlein




Son amour était semblable à une longue ligne droite et noire traversant sa vie, la blessant parfois, lui faisant du mal, mais dont elle ne s'était jamais sentie capable de s'éloigner.
Toute passion abolie - Vita Sackville-West




Adolescente, elle pensait qu'il était trop tôt pour choisir jeune fille, elle s'était persuadée qu'il était trop tard pour changer.
Veronika decide de mourir - Paulo Coelho




Il était la lumière et la beauté, et il était le mal.
Faërie - Raymond E. Feist




Ô jeunesse ! Quelle force, quelle foi, quelle imagination en elle ! Pour moi ce n'était pas une vieille guimbarde trimbalant par le monde un tas de charbon pour toute cargaison — pour moi ce bateau était l'effort, l'épreuve, la pierre de touche de la vie. J'y pense avec plaisir, avec affection, avec regret — comme on pense à un cher disparu. Je ne l’oublierai jamais. .. Passez-moi la bouteille.
Jeunesse, Joseph Conrad (trad. Jean Aubry), éd. Folio, 1985 (ISBN 2-07-042582-7), p. 33 - Joseph Conrad



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