Citation mais
Sélection de 8892 citations sur le sujet mais
- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe mais issus de livres, discours ou entretiens.Page 383 sur un total de 445 pages.
Citations mais - Page 383 sur un total de 445 pages.
Nul ne pouvait l'empêcher de tomber. » Ayant ainsi parlé, l'illustre psycho-physiologue me quitta. Et je songeai que la plus grande vertu de l'homme est peut-être la curiosité. Nous voulons savoir ; il est vrai que nous ne saurons jamais rien. Mais nous aurons du moins opposé au mystère universel qui nous enveloppe une pensée obstinée et des regards audacieux.
La Vie littéraire -
Anatole France
Un mauvais arbre ne saurait produire de bons fruits ; mais de mauvais il peut devenir bon pour porter de bons.
Le livre contre Adimante -
Saint Augustin
Celui qui sème ne récolte pas toujours ; mais la graine tombée en terre n'est jamais perdue : qu'elle nourrisse bomme ou l'oiseau, qu'importe !.
Mémoires d'un suicidé -
Maxime Du Camp
Vous faites ici la peinture de l'amitié ; mais vous proscrivez l'amour, je le répète. L'amour est un, et toute union veut l'unité.
Mademoiselle La Quintinie -
George Sand
Figure-toi, que j’apprends la chimie dans un livre ! Tu imagines le peu que cela m’apporte, mais que faire, puisque je n’ai pas où faire des travaux pratiques et des expériences.
Cite Eve Curie, dans Madame Curie, Gallimard, 1938. -
Marie Curie
Je désire élever mes enfants le mieux possible, mais même elles ne peuvent réveiller la vie en moi. Elles sont toutes les deux bonnes, gentilles et assez jolies. Je fais de grands efforts pour qu'elles deviennent solides et bien portantes.
Lettres de Marie Curie -
Marie Curie
Nous sommes les générations arrogantes qui sont persuadées qu’un bonheur durable leur a été promis à la naissance - promis ? mais par qui donc ?.
Origines -
Amin Maalouf
Je suis d’une tribu qui nomadise depuis toujours dans un désert aux dimensions du monde. Nos pays sont des oasis que nous quittons quand la source s’assèche, nos maisons sont des tentes en costume de pierre, nos nationalités sont affaire de dates ou de bateaux. Seul nous relie les uns aux autres, par-delà les générations, par delà les mers, par-delà le Babel des langues, le bruissement d’un nom…
Origines -
Amin Maalouf
Je vois d'en haut tout comme père, Prêt à donner la manne au généreux vainqueur ; Mais je réserve aussi misère sur misère A quiconque manque de cœur.
L'imitation de Jésus-Christ -
Pierre Corneille
Jamais je n'ai de remords. Non point à la façon de certaines âmes bien trempées par une solidarité si âprement voulue - malgré le temps - avec elles-mêmes qu'elles affirment indéfiniment ce qu'elles ont une fois affirmé, mais plutôt par une disposition à me « lâcher », à me regarder avec un froid mépris - au passé - sans sentir mon Moi présent engagé dans l'affaire.
Carnets de la drôle de guerre -
Jean-Paul Sartre
Chaque instant de ma vie se détache de moi comme une feuille morte. Ce n'est point que je vive dans l'instant, c'est plutôt que je vis dans l'avenir. A cause de mon but, qui suppose une vie révolue pour être atteint. A cause de cette illusion tenace de progresser qui m'occupe depuis mon adolescence. De quelque Moi que l'on me parle, je pense : je suis mieux que celui-là. Me rappellerait-on une bévue de la veille, je la reconnaîtrais de bonne grâce parce que je serais persuadé de n'y plus retomber. Pour une seule raison, en somme, c'est qu'entre elle et moi il y a une certaine épaisseur de temps. Je ne crois point au progrès de l'homme ou des moeurs - ou du moins je ne m'en soucie pas - mais bien à mon progrès individuel.
Carnets de la drôle de guerre -
Jean-Paul Sartre
Je me crois immortel. C'est peut-être un peu vrai. Je n'envisage pas de mourir. Mais il y a autre chose : j'ai toujours conçu mes écrits non comme des productions isolées mais comme s'organisant en une oeuvre. Et cette oeuvre tenait dans les limites d'une vie humaine. Mieux, par méfiance de la vieillesse, j'ai toujours pensé que l'essentiel en serait écrit pour mes soixante ans. Reste cet enfantillage absurde mais profond que je ne me voyais pas mourir avant soixante-dix ans. Il en résultait comme un manchon de vide séparant la fin de ma vie de ma mort. Autrement dit, pour moi, ma vie a une fin bien avant que je meure.
Carnets -
Jean-Paul Sartre
Quand on noie son chagrin au bistrot, on ne doit plus appeler cet établissement un débit de boissons mais plutôt un dépit de boissons.
une boîte de petits \"moi\" -
Damien CAILLAUD
On l'oublie un peu trop vite mais Landru a lancé la mode de femme à poêle.
une boîte de petits \"moi\" -
Damien CAILLAUD
Il ne s'agit plus d'apprendre à confectionner des bombes et à les jeter mais de mettre le feu dans les esprits : là est le secret du progrès social.
Une femme honorable -
Françoise Giroud
Comme c'est étrange de penser que pour être une famille normale, il faut être séparés toute la journée, le père à l'usine, nous à l'école, la mère à la maison. Une famille normale ne regarde jamais le soleil se lever, parents et enfants ensemble, en silence. Est-ce qu'on ne pourrait pas avoir un peu plus de temps ensemble chaque jour pour se promener ou contempler le vol des oiseaux ou chanter une chanson ?.
Les insurrections singulières -
Jeanne Benameur
La raison crée le progrès, mais les bâtisseurs de croyances mènent l'histoire.
Aphorismes du temps présent -
Gustave Le Bon
On accuse mon client d’avoir dit : « Mort aux vaches ! » Le sens de cette phrase n’est pas douteux. Si vous feuilletez le Dictionnaire de la langue verte, vous y lirez : « Vachard, paresseux, fainéant ; qui s’étend paresseusement comme une vache, au lieu de travailler. — Vache, qui se vend à la police ; mouchard. » Mort aux vaches ! se dit dans un certain monde. Mais toute la question est celle-ci : comment Crainquebille l’a-t-il dit ? Et même, l’a-t-il dit ? Permettez-moi, messieurs, d’en douter.
Crainquebille -
Anatole France
J'estime. Qu'en leur gloire isolés, Deux beaux yeux sont un crime. Allumez, mais brûlez.
Les Chansons des rues et des bois Sommation irrespectueuse -
Victor Hugo
Figurez-vous qu'au moment où vous vous appuyez sur l'être de votre choix, et que vous lui dites : Envolons-nous ensemble et cherchons le fond du ciel ! — une voix implacable et sérieuse penche à votre oreille pour vous dire que nos passions sont des menteuses, que c'est notre myopie qui fait les beaux visages et notre ignorance les belles âmes, et qu'il vient nécessairement un jour où l'idole, pour le regard plus clairvoyant, n'est plus qu'un objet, non pas de haine, mais de mépris et d'étonnement !.
La Fanfarlo -
Charles Baudelaire
Page 383 sur un total de 445 pages.
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