Citation marche


Sélection de 306 citations sur le sujet marche

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Proverbes et citations sur marche




Je le répète avec une certitude plus véhémente : la vérité est en marche et rien ne l’arrêtera. C’est d’aujourd’hui seulement que l’affaire commence, puisque aujourd’hui seulement les positions sont nettes : d’une part, les coupables qui ne veulent pas que la lumière se fasse ; de l’autre, les justiciers qui donneront leur vie pour qu’elle soit faite. Je l’ai dit ailleurs, et je le répète ici : quand on enferme la vérité sous terre, elle s’y amasse, elle y prend une force telle d’explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle. On verra bien si l’on ne vient pas de préparer, pour plus tard, le plus retentissant des désastres.
Emile Zola - J'accuse : L'Aurore, le 13 janvier 1898 - Zola




La Vie me met de côté, pour qu'elle puisse avancer. Se sentir comme un obstacle à la marche des choses. J'importune le Devenir.
Cahiers - Cioran




Entre 18 et 20 ans, la vie est comme un marché où l'on achète des valeurs non avec de l'argent, mais avec des actes. La plupart des hommes n'achètent rien.
à Julien Green, en 1930 - Malraux




Ce n’est que par l’indifférence que l’on obtient et que l’on garde. Dans les problèmes de vie en commun, les lois en vigueur sont les mêmes que celles qui régissent le marché. Pour savoir traiter, il faut savoir être indifférent. Sincères avec soi-même, faux avec les autres.
Le Métier de vivre de Cesare Pavese - Cesare Pavese




Que le riche paye, puisqu'il n'est pas digne, le plus souvent, de combattre pour la liberté ; qu'il paye largement et que l'homme du peuple marche dans la Vendée.
Pour un nouvel impôt relatif à l'envoi de troupes en Vendée, 8 mai 1793 - Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 125 - Danton




ô elle dont je dis le nom sacré dans mes marches solitaires et mes rondes autour de la maison où elle dort, et je veille sur son sommeil, et elle ne le sait pas, et je dis son nom aux arbres confidents, et je leur dis, fou des longs cils courbés, que j'aime et j'aime celle que j'aime, et qui m'aimera, car je l'aime comme nul autre ne saura.
Albert Cohen, in Belle du Seigneur, 1968 - Albert Cohen




Grâce à la route, je me suis mis en marche, grâce à la marche, je me maintiens en mouvement et, paradoxalement, c'est quand j'avance, devant moi, que tout s'arrête : le temps et l'obscure inquiétude de ne pas le maîtriser.
Petit traité sur l'immensité du monde - Sylvain Tesson




Quelque soit la direction prise, marcher conduit à l'essentiel.
Petit traité sur l'immensité du monde - Sylvain Tesson




On peut dire qu'un geste automatique est plus efficace. Mais il devient en même temps de plus en plus ennuyeux, il perd progressivement toute signification. La motivation première à l'accomplir s'estompe et il ne reste plus que la finalité du salaire qui le rétribuera. Le monde occidental s'ennuie et cherche dans des loisirs stéréotypés, devenus aussi des produits du marché, le moyen de s'abrutir un peu plus. ..
L'Esprit du grenier de Henri Laborit - Henri Laborit




En général on peut jeter à bas les ennuis, les soucis de la vie, pour quelques heures, on dépouille sa propre personnalité pour endosser une autre ;et l'on marche dans le rêve d'une autre vie, oubliant tout.
Ma double vie; mémoires de Sarah Bernhardt - Sarah Bernhardt




Qu'elle me montre de l'indifférence, de la haine même, ce sera mon malheur, voilà tout. Qu'importe, si cela ne nuit pas à sa félicité ! Oh ! oui, si elle ne peut m'aimer, je n' en dois accuser que moi. Mon devoir est de m' attacher à ses pas, d' environner son existence de la mienne, de lui servir de rempart contre les périls, de lui offrir ma tête pour marchepied, de me placer sans cesse entre elle et toutes les douleurs, sans réclamer de salaire, sans attendre de récompense. Trop heureux si elle daigne quelquefois jeter un regard de pitié sur son esclave et se souvenir de moi au moment du danger !.
Lettre à Adèle janvier 1820 - Victor Hugo




Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour ; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je marche, si je respire, si je parle ; je sais que je t'aime. Ah ! si tu as eu toute ta vie une soif de bonheur inextinguible, si c'est un bonheur d'être aimée, si tu ne l'as jamais demandé au ciel, oh ! toi, ma vie, mon bien, ma bien-aimée, regarde le soleil, les fleurs, la verdure, le monde ! Tu es aimée, dis-toi, cela autant que Dieu peut être aimé par ses lévites, par ses amants, par ses martyrs !.
Lettre d'Alfred de Musset à George Sand le 1er septembre 1834 - Musset




On est d'un camp ou bien de l'autre. Il y a une frontière. Les lourds routiers ont beau jouer du guidon recourbé : c'est de la bicyclette. Les demi-course ont beau fourbir leurs garde-boue : c'est du vélo. Il vaut mieux ne pas feindre, et assumer sa race. On porte au fond de soi la perfection noire d'une bicyclette hollandaise, une écharpe flottant sur l'épaule. Ou bien on rêve d'un vélo de course si léger : le bruissement de la chaîne glisserait comme un vol d'abeille. A bicyclette, on est un piéton en puissance, flâneur de venelles, dégustateur du journal sur un banc. A vélo, on ne s'arrête pas : moulé jusqu'aux genoux dans une combinaison néospatiale, on ne pourrait marcher qu'en canard, et on ne marche pas.
La bicyclette et le vélo - Philippe Delerm




Nous étions, elle et moi, dans cet avril charmant De l'amour qui commence en éblouissement. Ô souvenirs ! ô temps ! heures évanouies ! Nous allions, le coeur plein d'extases inouïes, Ensemble dans les bois, et la main dans la main. Pour prendre le sentier nous quittions le chemin, Nous quittions le sentier pour marcher dans les herbes. Le ciel resplendissait dans ses regards superbes ; Elle disait : Je t'aime ! et je me sentais dieu.
Au bois - Victor Hugo




Je veux vous dire tout de suite quelle sorte de grandeur nous met en marche. Mais c'est vous dire quel est le courage que nous applaudissons et qui n'est pas le votre. Car c'est peu de chose que de savoir courir au feu quand on s'y prépare depuis toujours et quand la course vous est plus naturelle que la pensée. C'est beaucoup au contraire que d'avancer vers la torture et vers la mort quand on sait de science certaine que la haine et la violence sont choses vaines par elles-mêmes. C'est beaucoup que de se battre en méprisant la guerre, d'accepter de tout perdre en gardant le goût du bonheur, de courir à la destruction avec l'idée d'une civilisation supérieure.
Lettre d'Albert Camus à un ami allemand - Albert Camus




Je veux vous dire tout de suite quelle sorte de grandeur nous met en marche. Mais c'est vous dire quel est le courage que nous applaudissons et qui n'est pas le votre. Car c'est peu de chose que de savoir courir au feu quand on s'y prépare depuis toujours et quand la course vous est plus naturelle que la pensée.
Lettre d'Albert Camus à un ami allemand - Camus




Tu m'as décroché mes étoiles. Tu as donné de grands coups de hache dans notre amour. Tu m'as cassé mon rêve. Tu m'as sonné comme un boxeur. Je ne marche pas encore sur les genoux, mais j'ai les chevilles en coton. Tout se dérobe. Je ne sais plus où aller. Je me cogne. La seule porte de sortie, c'est toi, et c'est fermé.
Les enfants de l'aube de Patrick Poivre d'Arvor - Patrick Poivre d'Arvor




L'amitié est la passion des belles âmes. Elle survit à l'amour, parce que les désirs s'envolent avec les grâces, et que l'amitié marche d'un pas égal à côté de la vertu.
L' homme à projets: Par Guillaume-Charles-Antoine Pigault-Lebrun - Pigault-Lebrun




Quiconque, par distraction ou incompétence, arrête tant soit peu l'humanité dans sa marche, en est le bienfaiteur.
Syllogismes de l'amertume de Emil Michel Cioran - Emil Michel Cioran




En été on a le temps de faire sa provision pour l’hiver, et plus commodément. Dans la prospérité, l’on a quantité d’amis, et tout à bon marché. Il est bon de garder quelque chose pour le mauvais temps, car il y a disette de tout dans l’adversité.
L’Homme de cour - Baltasar Gracián



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