Citation nationale - 24 citations et proverbes sur nationale .

Citation nationale

Sélection de 24 citations sur le sujet nationale

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Citations nationale

Combien de crimes dont ils ont fait des vertus en les appelant nationales !

Je pense qu'il y a un lien fort entre identité nationale et immigration.

En Marche à l’Assemblée nationale, ça va être des canards sans tête et les autres, des têtes brûlées. Et nous, on a la tête sur les épaules.

Je suis un hérisson éventré sur le bas-côté de la nationale.

Pourquoi la laïcité ne serait-elle pas au cœur de l'identité nationale ?

Je dirai que le rire est un remède à tout. Mais c'est même plus que ça. C'est comme un régime entier d'antibiotiques et de corticoïdes. Le rire fait dégonfler notre psyché nationale et il applique par-dessus une crème antibiotique... Manifestement, c'est un défi de faire venir la lumière dans l'obscurité, mais c'est mieux que de rien faire d'autre que pleurer.

Si j’étais à la tête du pays, ceux qui ne paient pas leurs impôts en France n’auraient pas le droit de jouer en équipe nationale.

Toutes les questions nationales, sociales, morales- ne sont, au fond, rien d'autre que des questions d'âme, des questions spirituelles. En changeant l'intérieur, l'on change l'extérieur en rénovant l'âme, on rénove le monde.

L'assemblée a trouvé la conduite du peuple excusable, et je vois avec plaisir que les gardes nationales répondent aux vœux des bons citoyens. Telle est la destinée de cet empire que les tentatives de nos ennemis tournent toujours au profit de la liberté.

Vous n'êtes pas du nombre des accusés, cependant vous venez solliciter pour eux auprès de l'assemblée nationale. Tous les amis de l'humanité ont déjà pressenti que vos clients sont plus malheureux que coupables.

Honte à ceux qui font de la jeunesse la plus délaissée un objet fantasmatique de terreur nationale ! Ils sont la lie d'une société sans honneur qui a perdu jusqu'au sentiment même de la paternité.

Le principe de la centralité de la personne humaine (…) nous oblige à toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale.

La crise est essentiellement celle de l'identité. Je veux dire par là un trouble profond quant au sens de l'histoire nationale. Le sens de ce qui s'est passé et le sens de ce qui peut advenir devant lequel s'interrogent les élites aussi bien syndicales, politiques, sociales qu'intellectuelles. Les élites sont toutes plus ou moins travaillées par l'idée que la notion de nation est obsolète et que les histoires nationales sont finies. Personnellement, je suis d'un avis différent.

Pour l'historien, la véritable tâche est de restituer à la collectivité qui nous est la plus proche, c'est-à-dire la collectivité nationale, sa mémoire et son identité, sans rien masquer.

Notre être est notre richesse. Et notre être, c’est d’abord la fierté nationale, celle de notre passé.

Nous avons dans nos valeurs, le refus de l'inégalité affichée. La sensation d'être inférieur est difficilement acceptable. Égalité n'est-il pas le mot voûte de notre devise nationale ? De la Guadeloupe à un président d'université, en passant par un enseignant-chercheur ou un ouvrier, on entend les mêmes mots : On nous méprise !, On veut du respect ! Cette susceptibilité est révélatrice de cette volonté d'égalité.

Une de nos caractéristiques nationales est l'extrême susceptibilité à l'inégalité. Ce qui est d'ailleurs très antérieur à la Révolution. Il y a un proverbe du Moyen-Âge qui dit : Qui est plus haut que nous sur terre est ennemi. Il y a du sacré en chaque homme.

Nous vivons un paradoxe : l'Européen d'aujourd'hui voyage beaucoup, l'euro est devenu une réalité dont la plupart se félicitent, Internet est entré dans les mœurs et la dimension de la mondialisation domine la pensée contemporaine. Cependant, les citoyens semblent beaucoup plus attachés à leur identité nationale qu'il y a vingt ans, au point que partout se développent des tentations communautaristes.

J'ai l'honneur au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France.

Avons-nous vraiment besoin de frontières ? L'économie est mondiale : celui qui veut rester national le restera dans la pauvreté nationale. En fait, la seule chose qui soit vraiment nationale, c'est la pauvreté. Qui veut échapper à la pauvreté doit se mondialiser.

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