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Quand j’ai décidé de ne pas passer mon bac parce que je ne voulais pas être notaire ni médecin, mon prof de français-latin-grec m’a dit : “vous savez, la première chose que va vous demander un directeur de journal, c’est si vous avez votre bac !” Alors il est mort, le pauvre… Sans ça, je lui aurais écrit : “Je suis désolé de vous avoir contredit, je n’ai pas le bac, mais j’ai acheté le Monde. ”.
Interview donnée au Gros Journal de Mouloud Achour en mars 2017 -
Pierre Bergé
Parmi les comédiens, il y a les prestidigitateurs et cela nous amuse, mais on ne leur pardonne que si le tour a lieu. Mettre un lapin dans un chapeau et sortir des cages, voilà qui est bon ; mais mettre un lapin et sortir un lapin,… ce mauvais prestidigitateur voudrait-il se faire prendre pour un artiste ?
Le Coq et l’Arlequin -
Cocteau
C'est parce que nous avons ignoré les écueils que nous avons pu les réaliser, ces rêves les plus fous.
Lettres à Yves de Pierre Bergé -
Pierre Bergé
On ne décide pas de devenir l'ami du Président de la République. [. .. ] et si l'on devient un ami très proche du Président Mitterrand, c'est parce qu'il l'a voulu et c'est parce qu'il l'a décidé.
Au micro de Joëlle Gayot, Pierre Bergé se raconte au fil de cinq entretiens dans l'émission "A voix nue" diffusée sur France Culture en août 2016. -
Pierre Bergé
J'aime le temps passé parce qu'il permet de mesurer celui d'aujourd'hui. J'aime le temps passé parce que j'aime les souvenirs mais je n'aime pas le temps passé pour se plaindre d'aujourd'hui.
Au micro de Joëlle Gayot, Pierre Bergé se raconte au fil de cinq entretiens dans l'émission "A voix nue" diffusée sur France Culture en août 2016. -
Pierre Bergé
Chanel a libéré les femmes, mais Saint Laurent leur a donné le pouvoir. Il avait compris que le pouvoir était encore détenu seulement par les hommes et, d'une manière simple, en prenant le vestiaire des hommes et en le faisant glisser sur les épaules des femmes, il leur a donné du pouvoir.
Interview Le Monde propos recueillis par Josyane Savigneau le 26.02.2010 -
Pierre Bergé
Yves aimait beaucoup les formules, il m'avait dit, parce qu'il était souvent malade : Un jour tu me fermeras les yeux. Il jouait aussi au malade, c'était une manière de se défendre de la maladie, qui était réelle. Et c'était une manière enfantine de se faire aimer.
Interview Le Monde propos recueillis par Josyane Savigneau le 26.02.2010 -
Pierre Bergé
Rien de plus tragique, pour qui crut mourir, qu'une lente convalescence. Après que l'aile de la mort a touché, ce qui paraissait important ne l'est plus ; d'autres choses le sont, qui ne paraissaient pas importantes, ou qu'on ne savait même pas exister.
L'immoraliste -
André Gide
Savez-vous ce qui fait de la poésie aujourd’hui et de la philosophie surtout, lettres mortes ? C’est qu’elles se sont séparées de la vie. La Grèce, elle, idéalisait à même la vie ; de sorte que la vie de l’artiste était elle-même déjà une réalisation poétique ; la vie du philosophe, une mise en action de sa philosophie ; de sorte aussi que, mêlées à la vie, au lieu de s’ignorer, la philosophie alimentant la poésie, la poésie exprimant la philosophie, cela était d’une persuasion admirable. Aujourd’hui la beauté n’agit plus ; l’action ne s’inquiète plus d’être belle ; et la sagesse opère à part.
L'immoraliste -
André Gide
Toute joie est pareille à cette manne du désert qui se corrompt d’un jour à l’autre ; elle est pareille à l’eau de la source Amélès qui, raconte Platon, ne se pouvait garder dans aucun vase. Que chaque instant emporte tout ce qu’il avait apporté.
L'immoraliste -
André Gide
L’écriture déforme les choses, pas dans le sens négatif, mais le simple fait d’écrire distord la réalité, et l’emmène ailleurs, et moi j’aime pouvoir me laisser porter par ça, par cette force qu’a l’écriture de créer des choses qu’on n’avait pas forcément pensées avant de commencer à écrire, et qui émergent dans ce travail-là.
Interview Libération du 1 septembre 2017 - Propos recueillis par Claire Devarrieux -
Alice Zeniter
Quand tu es dans la galère, le vide se fait autour de toi, et ceux qui voudraient te donner un coup de main sont précisément les gens chez qui tu ne vas pas t'imposer parce qu'ils sont dans des situations à peine meilleures que la tienne.
Du sable entre tes doigts
-
Patrice Favaro
Ici, c'est bien le silence qui parle le plus, c'est par l'absence que l'on mesure l'intensité de la douleur.
Juste avant l'oubli de Alice Zeniter -
Alice Zeniter
C'est l'époque, disait-il, tu es un parfait petit communiste. Tu ne sais pas réfléchir.
Sombre dimanche -
Alice Zeniter
J’entretiens avec les prix littéraires un rapport, disons, fluctuant. Il y a d’une part quelque chose qui relève du rejet, parce que les prix font entrer l’idée de compétition dans la littérature, et que tous les livres pourraient être comparés les uns aux autres ; par ailleurs, ils induisent une notion de temps court : une rentrée littéraire serait un sprint, et les romans seraient chassés. ..
Interview Le Monde du Livre lors de l’attribution du cinquième prix littéraire « Le Monde » pour son roman « L’Art de perdre » le 06.09.2017 - Propos recueillis par Raphaëlle Leyris et Jean Birnbaum -
Alice Zeniter
La littérature est une forme de plaisir poussée à son raffinement le plus extrême par des écrivains que le rapport habituel au langage ne satisfait plus.
Juste avant l'oubli de Alice Zeniter -
Alice Zeniter
Comment mieux se cacher qu'en étant nulle part ? Et comment mieux n'être nulle part qu'en étant partout ?.
Arden -
Frédéric Verger
J'aime les femmes, j'aime l'amour, mais je me demande parfois si les deux vont bien ensemble.
Arden -
Frédéric Verger
Il rappellera la phrase de Malraux (célèbre mais souvent interprétée de travers) : Juger, c'est de toute évidence ne pas comprendre. (Étrangement, on lui fait parfois dire au contraire que juger, c'est comprendre. ) Puisque si on comprenait, on ne pourrait plus juger.
La petite femelle de Philippe Jaenada -
Philippe Jaenada
Le temps efface tout, qu'on le veuille ou non. Efface tout et, à la fin, il ne reste que les ténèbres. Et, parfois, dans ces ténèbres, nous retrouvons les autres, parfois nous les perdons de nouveau. Voilà tout ce que je sais,
La ligne verte
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Stephen King
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