Citation quand


Sélection de 4352 citations sur le sujet quand

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Appuyer, selon la page, au blanc, qui l’inaugure, son ingénuité, à soi, oublieuse même d’un titre qui parlerait trop haut : et, quand s’aligna, dans une brisure, la moindre, disséminée, le hasard vaincu, mot par mot, indéfectiblement le blanc revient, tout-à-l’heure gratuit, certain maintenant, pour apprendre que rien au-delà et authentiquer le silence.
La Revue blanche, Le Mystère, dans les Lettres,1 septembre 1896 (pp. 214-218), Stéphane Mallarmé - Stéphane Mallarmé




La vieillesse ne devient médiocre que quand elle prend des airs de jeunesse.
Eloge de la vieillesse de Hermann Hesse - Hermann Hesse




Lorsque tout nous paraît désespéré, lorsqu’un ciel d’azur, une nuit étoilée ne parviennent même plus à éveiller notre enthousiasme, lorsque nous ne savons plus quel auteur lire, il arrive bien souvent que surgissent des trésors de notre mémoire : un lied de Schubert, une mesure de Mozart, un accord entendu dans une messe, une sonate – mais nous ne savons plus où et quand. Leur clarté nous arrache alors à notre indifférence et leurs mains aimantes viennent se poser sur nos plaies douloureuses… Ah, que serait notre existence sans la musique !.
L'Art de l'oisiveté - Hermann Hesse




Obéir, c'est comme boire et manger : rien ne vaut ça quand on en manque depuis longtemps.
Le Loup des steppes - Hermann Hesse




Dans le domaine des sentiments, le réel ne se distingue pas de l'imaginaire. Et, s'il suffit d'imaginer qu'on aime, pour aimer, ainsi suffit-il de se dire qu'on imagine aimer, quand on aime, pour aussitôt aimer un peu moins, et même pour se détacher un peu de ce qu'on aime - ou en détacher quelques cristaux.
Les Faux-monnayeurs, André Gide, éd. Gallimard, coll. Folio Plus, 1925 (ISBN 2-07-036879-3), partie I (« Paris »), chap. 8, p. 76 - André Gide




Il est peut-être normal que nous demeurions dans l’ignorance quand la vie nous sourit. Tant qu’une voiture fonctionne, quel est l’intérêt d’explorer le mécanisme complexe qui l’anime ? Si la personne aimée nous promet d’être loyale, pourquoi nous pencherions-nous sur les rouages de la duplicité humaine ?.
Comment Proust peut changer votre vie - Alain de Botton




Alors, quand les scientifiques disent que la déprime hivernale, c’est dû au soleil qui se couche trop tôt, moi, je proteste. Parce qu’au contraire, nous, les parents, épuisés par les exigences de l’hiver, nous sommes ravis que le soleil se couche pour pouvoir enfin coucher les enfants et nous étendre nous-mêmes, semi-comateux, entre des draps accueillants.
Les Chroniques d'une mère indigne, Tome 2 - Caroline Allard




Certains croyants peuvent se révéler plus athées que des grands douteurs quand ils sont prisonniers d'une foi qui ne les bouleverse plus ou qu'ils ne savent plus se remettre en question.
Sauver nos vies - méditations sur la renaissance de Nathalie Sarthou-Lajus - Nathalie Sarthou-Lajus




Ainsi, le verbe être au présent capricieux … Le verbe aller qui se camoufle si bien que la petite ne le reconnaît pas toujours… Et les verbes faire et venir et d’autres encore. Et puis il y a les temps. Le temps présent, ça va encore. Mais le passé et le futur sont parfois si étranges… Le temps, c’est l’ennemi des enfants ! Les parents n’ont jamais le temps ou ils veulent du temps rien que pour eux. Et pour les petits, il est toujours temps d’aller au lit, ou de sortir du bain, ou d’obéir, ou d’étudier. Le temps s’échappe quand on joue ou quand on rêve. Il va trop vite quand on voudrait prolonger un câlin. Il est trop long, trop lent quand on a un gros chagrin.
l'enfance aux brumes - Agnès Schnell




On attend toujours quelque chose, dis-je, quelque chose. Quand l'attente est trop longue, alors on change, on attend autre chose qui vient plus vite.
Le Marin de Gibraltar - Marguerite Duras




Tout ce qu’un chemin creux, sec, odorant, bordé de noisetiers en fleurs, doit, en avril, à une bonne brise, je le sais ; et je sais aussi ce que gagne à passer sur un grand coteau chargé de thym et de lavande, le vent d’Est, le matin, quand il souffle très doucement et que la rosée humecte les pierres.
Un rameau de la nuit, 1950 - Henri Bosco




On ne croit plus en rien, et les rêves, pareils aux globules blancs, ne parviennent plus à endiguer la réalité. Ils ont beau se multiplier à toute vitesse, le jour, la nuit, les chagrins sont les plus forts, surtout quand la mélancolie s’en mêle.
Les Eternelles - Yves Simon




La femme baille et s'endort aux discussions subtiles sur l'infini, parce qu'elle n'a pas besoin qu'on lui. Démontre ce qu'elle sent. L'homme, à force d'apprendre, tombe dans le scepticisme ; la femme, qui est en communion plus intime avec la nature, ne perd Jamais l'idée de Dieu. C'est pour cela aussi que la femme n'éprouve jamais le besoin de se faire apôtre comme l'homme, quand elle croit à une vérité religieuse ; c'est pour cela qu'elle a plus de tolérance, et qu'elle n'a jamais songé comme l'homme à se déifier. Or, la déification de l'homme par l'homme est le nec plus ultrà des extravagances de l'esprit humain.
Le monde des oiseaux, ornithologie passionnelle, Volume 1 - Page 107, 1853 - Alphonse Toussenel




Le 1er Janvier 2002, Dieu est descendu sur terre, Il s'est incarné sous la forme du passage à l'euro. Et quand il se déplace en personne. Dieu n'est pas le genre de type à lésiner sur les miracles. Après la multiplication des pains, multiplication du pognon. Par sept. Du jour au lendemain. Dieu est un génial simplificateur.
Alex - Pierre Lemaitre




Ô cette joie complice de se regarder devant les autres, joie de sortir ensemble, joie d'aller au cinéma et de se serrer la main dans l'obscurité, et de se regarder lorsque la lumière revenait, et puis ils retournaient chez elle pour s'aimer mieux, lui orgueilleux d'elle, et tous se retournaient quand ils passaient, et les vieux souffraient de tant d'amour et de beauté.
Belle du Seigneur - Albert Cohen




Dans la vie des passions et de la volonté propre, on pense aujourd’hui une chose et demain une autre ; une chose durant la nuit et une autre durant le jour, une chose quand on est triste, une autre quand on est de bonne humeur, une chose quand l’espérance rit à nos désirs, une autre chose quand elle se retire de nous.
Louisiane, tome 2 : Fausse-Rivière - Maurice Denuzière




Je me suis toujours demandé pourquoi aux Etats-Unis quand t'as une belle voiture, les mecs sourient et te disent formidable, et en France on te traite de voleur. Sale mentalité, pour un pays dont j'ai porté les couleurs, qui a bien voulu faire de moi son emblème quand c'était nécessaire, je me suis senti trahi, accusé à tort, sali.
Dans mes Yeux - Johnny Hallyday




Je croyais quand j'étais plus jeune qu'en vieillissant on arrivait à la sagesse mais c'est des conneries. On arrive rien qu'à vieillir. On devient un animal qui pleure. J'ai l'impression que je pourrais pleurer toujours. Quand j'essaie de repenser à ma vie, je suis incapable de déterminer si j'étais heureux ou malheureux. Tout ce que je vois c'est que les années ont passé et que les années passées sont des années mortes. Ça me donne envie de pleurer, cette mort partout dès que je veux me souvenir de quelque chose.
Sombre dimanche - Alice Zeniter




On se fait parfois surprendre. Par exemple, quand Internet est arrivé, c’était notre cinquième ou sixième priorité.
Bill Gates, lors d’un discours à l’Université de Washington en 1998 - Bill Gates




Le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière ; et on se dit : J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui.
On ne badine pas avec l'amour, Alfred de Musset, éd. Bordas, 1995 (ISBN 2-04-028166-8), acte II, scène 5, p. 26 - Alfred de Musset



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