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Citation quand

Sélection de 4352 citations sur le sujet quand

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Le bonheur ce n'est jamais aujourd'hui ou demain.Le bonheur, il barbote dans le coulis de la mémoire, enfoui jusqu'au menton dans les détritus du passé.Le bonheur c'est ce qui reste quand on a tout oublié.

Tout pays est le pays de la jeunesse. Il meurt quand la jeunesse meurt.

Il y a un signe infaillible auquel on reconnaît qu'on aime quelqu'un d'amour, c'est quand son visage vous inspire plus de désir physique qu'aucune autre partie de son corps.

Oh! que oui, lui dis-je; laissez- moi faire : il y aura bien du malheur si je ne me fais pas aimer de lui. Quand on connaît le défaut d'un homme à qui l'on veut plaire, il faut être bien maladroit. pour n'y pas réussir.

Quand on est très petit, la longueur des bras permet juste d'atteindre le cœur de ceux qui nous embrassent. Quand on est grand, de les maintenir à distance.

L’important, ce n’est pas l’habileté avec laquelle on évite les ennuis, c’est la manière dont on les affronte quand ils se présentent.

On a le cœur qui bat, quand on revient après une longue absence. C’est comme après la guerre. On avance dans les rues en flairant un peu, cherchant les traces. On guette les bruits familiers, on remonte des filières.

Je fume. Je rêvoche à la vie des autres. Je bats et rebats des souvenirs comme les cartes d'une réussite. Et quand j'en ai assez de ma rêvacherie, je prends du papier et je me mets à tracer des mots.

L'argent, c'est le pouvoir. .. L'argent, c'est la liberté de choisir. Il ne t'achètera pas le bonheur, mais il t'achètera tout le reste. Il est plus facile de se protéger lorsqu'on a de l'argent. .. .. . Quand tu rencontreras l'homme de tes rêves, offre-toi à lui corps et âme si tu le désires, mais ne lui confie jamais ton argent. .. .

« Quand on a beaucoup changé, on est induit à supposer qu'on a plus longtemps vécu. » Marcel Proust.

Les gens simples, au contraire, sont des gens qui disent oui quand il faut dire oui, non, quand il faut dire non, qui ouvrent leur parapluie quand il pleut (et qu’ils ont un parapluie) et qui le referment dès que la pluie a cessé de choir. Les gens simples vont tout droit leur chemin, à moins qu’il n’y ait une barricade qui les contraigne à faire un détour. Voilà ce que c’est que les gens simples.

Il faut quand même bien se questionner sur la racine même du travail. Pourquoi les hommes ont-ils tant besoin de travailler, hein ? Pourquoi l'oisiveté est-elle montrée du doigt comme la mère de tous les vices depuis toujours ? Tout ça, ça ne date pas d'aujourd'hui ! Avant de s'en prendre au monde des affaires, il faudrait essayer de comprendre l'affairement des êtres humains. L'affairement. Si tu le réduis juste à une histoire de patrons et d'ouvriers, tu passes à côté de quelque chose de bien plus intéressant encore.

C’est étrange, cette manière que nous avons de juger les autres : c’est seulement quand ils viennent à nous manquer, quand on nous les prend, que nous découvrons à quel point notre mépris était misérable. On nous les prend parce qu’ils n’ont jamais été à nous….

En réalité, chaque lecteur est quand il lit le propre lecteur de soi-même. L’ouvrage de l’écrivain n’est qu’une espèce d’instrument optique qu’il offre au lecteur afin de lui permettre de discerner ce que sans ce livre il n’eût peut-être pas vu en soi-même.

Seule compte la démarche. Car c'est elle qui dure et non le but qui n'est qu'illusion du voyageur quand il marche de crête en crête comme si le but atteint avait un sens.

La vraie intégration, c’est quand des catholiques appelleront leur enfant Mohamed.

On lit en quelqu'un comme dans un livre, et ce livre s'éclaire d'être lu et vient nous éclairer en retour, comme ce que fait pour un lecteur une très belle page d'un livre rare. Quand un livre n'est pas lu, c'est comme s'il n'avait jamais existé.

Il y a plus de texte écrit sur un visage que dans un volume de la Pléiade, et quand je regarde un visage, j'essaie de tout lire, même les notes en bas de page. Je pénètre dans les visages comme on s'enfonce dans le brouillard, jusqu'à ce que le paysage s'éclaire dans ses moindres détails.

Je comprenais ce que signifiaient la mort, l’amour, les joies de l’esprit, l’utilité de la douleur, la vocation, etc. Car si les noms avaient perdu pour moi de leur individualité, les mots me découvraient tout leur sens. La beauté des images est logée à l’arrière des choses, celle des idées à l’avant. De sorte que la première cesse de nous émerveiller quand on les a atteintes, mais qu’on ne comprend pas la seconde que quand on les a dépassées.

Notre cerveau est assez bien fichu pour pas mal de choses, la mémoire, la raison, l'imagination ; mais il est incapable de nous aider dès lors qu'il est question de passion. Nous sommes alors livrés à nous-mêmes : quand sait-on que l'on est amoureux pour de vrai ? Est-ce que nous décidons d'aimer ou est-ce que ça nous tombe dessus ? Peut-on choisir qui l'on aime ou se contente-t-on de suivre des élans incontrôlables ? Comment s'y retrouver dans le brouillard de l'âme humaine ?.

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