Citations quelque - Page 81 sur un total de 95 pages.

Citation quelque

S�lection de 1884 citations sur le sujet quelque

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Mais l'effet du luxe, qui le rend si d�sirable, est d'assimiler quelque peu aux �tres la qualit� des objets dont ils sont propri�taires, en sorte que le goutteux qui parade dans un beau cabriolet prend l'aisance m�me de ses chevaux et qu'une femme dont la jeunesse est �vanouie devient, pour un soir, aussi neuve, aussi brillante, aussi souple � l'�il que l'organdi qui la couvre et dont elle fr�le impudiquement la jambe des hommes.

L'Abyssin - Jean-Christophe Rufin

Nous pleurons quand quelque chose est triste, mais aussi quand quelque chose est beau. Quand quelque chose est amusant ou laid, nous rions. Peut-�tre que nous devenons tristes devant quelque chose de beau parce que nous savons que cette beaut� n�est pas �ternelle. Et nous trouvons dr�le quelque chose de laid parce que nous savons que c�est juste pour rire.

Dans un miroir obscur - Jostein Gaarder

On est souvent tromp� en amour, souvent bless� et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arri�re, et on se dit : j'ai souffert souvent, je me suis tromp� quelquefois, mais j'ai aim�. C'est moi qui ai v�cu, et non pas un �tre factice cr�� par mon orgueil et mon ennui.

On ne badine pas avec l'amour de Alfred de Musset - Alfred de Musset

Tout d�pend de ce que l'on demande � la vie. Ce qui importe, c'est de d�sirer fortement quelque chose. Tant de gens font de l'argent sans avoir la moindre id�e de la fa�on dont on s'en sert. Ils sont pris dans l'engrenage. Ce sont des esclaves. Ils partent � leur bureau de bonne heure, le quittent tard. Jamais ils ne s'arr�tent pour vivre. Et qu'est ce que �a leur donne ? Une plus grosse voiture, un train de maison plus important, une femme ou une ma�tresse plus d�pensi�re. .. et davantage de maux de t�te. Pour la majorit� des gens riches, amasser de l'argent suffit. Mais pour quoi ? Se posent-ils jamais cette question ? Ils ne savent pas.

Le Cheval p�le de Agatha Christie - Agatha Christie

Je souhaiterais vous faire part d�une r�v�lation surprenante, j�ai longtemps observ� les humains, et ce qui m�est apparu quand j�ai tent� de qualifier votre esp�ce, c�est que vous n��tiez pas r�ellement des mammif�res� Tous les mammif�res sur cette plan�te ont contribu� au d�veloppement naturel d�un �quilibre avec le reste de leur environnement, mais vous les humains vous �tes diff�rents. Vous vous installez quelque part, et vous vous multipliez, vous vous multipliez, jusqu�� ce que toute vos ressources naturelles soit �puis�es, et votre espoir de r�ussir � survivre, c�est de vous d�placer jusqu�� un autre endroit� Il y a d�autres organismes sur cette plan�te qui ont adopt� cette m�thode, vous savez lesquels ?. .. Les virus. Les humains sont une maladie contagieuse, le cancer de cette plan�te, vous �tes la peste et nous, nous somme l�antidote !.

Hugo Weaving, Matrix Revolutions (2003), �crit par Fr�res Wachowski - Andy et Lana Wachowski

Nous sommes n�s pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous. Ce n�est pas le sort de quelques-uns d�entre-nous, c�est le sort de tout un chacun et quand nous laissons notre propre lumi�re briller, nous donnons la possibilit� aux autres de faire la m�me chose. En faisant scintiller notre lumi�re, nous offrons aux autres la possibilit� d�en faire autant. ..

Discours d'investiture de Nelson Mandela � la Pr�sidence de la R�publique (10 mai 1994) - Mandela

Au moins, lorsqu'on ne comprend pas, il y a myst�re, on peut croire qu'il y a quelque chose de cach� derri�re et au fond, qui peut soudain sortir et tout changer, mais quand on a l'explication, il reste plus rien, que des pi�ces d�tach�es.

L'angoisse du roi Salomon de Romain Gary - Romain Gary

L'essentiel est de faire l'exp�rience de ce petit frisson dans quelques r�gions de la pens�e ou de l'�motion.On court le risque de rater ce qu'il y a de meilleur dans la vie si l'on ne sait pas trouver l'occasion de vibrer, si l'on n'apprend pas � se hisser un peu au-dessus de l� o� l'on se situe ordinairement, afin de go�ter les fruits les plus beaux et les plus rares que peut nous offrir la pens�e humaine

- Nabokov

Ne soyez pas trop moral. Vous pourriez vous priver de beaucoup de vie. Visez plus loin que la moralit�. Ne soyez pas simplement bon, soyez bon pour quelque chose.

La Mo�lle de la vie : 500 Aphorismes de Henry David Thoreau - Henry David Thoreau

Il y a quelque chose de servile dans l'habitude que nous avons de chercher une loi � laquelle ob�ir.

De la marche de Henry David Thoreau - Henry David Thoreau

La fin de vie je la vois un petit peu comme la mer, comme quelque chose qui s'impose � vous majestueusement avec solennit�, beaucoup de force et une tr�s grande beaut�.

Dans une interview � France Bleu Nord � l'automne 2012 - Pierre Mauroy

J'ai aim� avec passion cette terre o� je suis n�, j'y ai puis� tout ce que je suis, et je n'ai jamais s�par� dans mon amiti� aucun des hommes qui y vivent, de quelque race qu'ils soient. Bien que j'aie connu et partag� les mis�res qui ne lui manquent pas, elle est rest�e pour moi la terre du bonheur, de l'�nergie et de la cr�ation.

Appel pour une tr�ve civile en Alg�rie,22 Janvier 1956 - Albert Camus

Fichtre ! fit Gavroche. Voil� qu�on me tue mes morts. [�], il chanta : On est laid � Nanterre, C�est la faute � Voltaire, Et b�te � Palaiseau, C�est la faute � Rousseau. [�] L� une quatri�me balle le manqua encore. Gavroche chanta : Je ne suis pas notaire, C�est la faute � Voltaire, Je suis petit oiseau, C�est la faute � Rousseau. Une cinqui�me balle ne r�ussit qu�� tirer de lui un troisi�me couplet : Joie est mon caract�re, C�est la faute � Voltaire, Mis�re est mon trousseau, C�est la faute � Rousseau. Cela continua ainsi quelque temps. Une balle pourtant, mieux ajust�e ou plus tra�tre que les autres, finit par atteindre l�enfant feu follet. [�]. Je suis tomb� par terre, C�est la faute � Voltaire, Le nez dans le ruisseau, C�est la faute �� Il n�acheva point. Une seconde balle du m�me tireur l�arr�ta court. Cette fois il s�abattit la face contre le pav�, et ne remua plus. Cette petite grande �me venait de s�envoler.

Les Mis�rables, vol. 2, Victor Hugo, �d. Le Livre de Poche, 1998 (ISBN 2-253-09634-2), t. V (� Jean Valjean �), chap. XV (� Gavroche dehors �), livre I (� La guerre entre quatre murs �), p. 1631-1634 - Victor Hugo

Vous savez mieux que personne, n'est-ce pas, que les bandits corses ne sont pas des voleurs, mais purement et simplement des fugitifs que quelque vendetta a exil�s de leur ville ou de leur village.

Le Comte de Monte-Cristo - Chapitre XXXVIII - Le rendez-vous - Alexandre Dumas

La paresse, l��go�sme et la vanit� ont tr�s souvent la plus grande part dans la confiance que nous montrons � autrui : paresse, lorsque, pour ne pas examiner, soigner, faire par nous-m�mes, nous pr�f�rons nous confier � un autre ; �go�sme, lorsque le besoin de parler de nos affaires nous porte � lui en faire quelque confidence ; vanit�, quand ces affaires sont de nature � nous en rendre glorieux.