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Citation toute

Sélection de 2002 citations sur le sujet toute

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Citations, Proverbes et Dictons sur toute

Sonnez les cloches qui peuvent encore sonner Oubliez vos offrandes parfaites. Il y a une fissure en toute chose. C'est ainsi qu'entre la lumière.

Suspends-toi au vent sans territoires Chavire dans toutes les mers Renais sur toutes les plages.

Le peuple, méprisé, est bientôt méprisable ; estimez-le, il s'élèvera. La défiance a fait plus d'un voleur ; une demi-confiance est comme une injure ; mais si je savais la donner toute, qui donc me tromperait ? Il faut donner d'abord.

Si je me crois haï, je serai haï ; pour l'amour, de même. Si je crois que l'enfant que j'instruis est incapable d'apprendre, cette croyance écrite dans mes regards et dans mes discours le rendra stupide ; au contraire, ma confiance et mon attente est comme un soleil qui mûrira les fleurs et les fruits du petit bonhomme. Je prête, dites-vous, à la femme que j'aime, des vertus qu'elle n'a point ; mais si elle sait que je crois en elle, elle les aura. Plus ou moins ; mais il faut essayer ; il faut croire. Le peuple, méprisé, est bientôt méprisable ; estimez-le, il s'élèvera. La défiance a fait plus d'un voleur ; une demi-confiance est comme une injure ; mais si je savais la donner toute, qui donc me tromperait ? Il faut donner d'abord.

Blacko Imagine un peu nos vies sans tout ça C'est pour ça, remercions Dieu pour tout ça Pardon pour les jours où j'me plains Les jours où je ne vois que moi, mon nez et pas plus loin. Soprano Pardon pour toutes ces fois où j'ai grossi mes problèmes Pour toutes ces fois où j'ai fait tourner le monde sur moi même.

J’avais un amour ; il m’était cher au-delà de toutes choses. Mais je ne l’ai plus ! Je me tais et supporte ma perte.

L'éloignement et la longue absence nuisent à toute amitié.

Oh ! combien je faisais attention jadis à toutes les époques de l'année ! Je saluais l'arrivée du printemps : j'aspirais après l'automne. Mais il n'y a plus maintenant ni été, ni hiver, depuis que, comblé de bonheur, l'aile de l'Amour m'abrite et qu'un éternel printemps plane autour de moi.

« La vie a bien plus d'imagination que nous tous réunis, elle est parfois porteuses de petits miracles, tout est possible, il suffit d'y croire de toutes ses forces. »,

J'ai fini par comprendre que cet orgueil trouvait son origine dans la peur et, à l'encombre de toute intuition, dans une profonde empathie.

Le sentiment d'être élu est présent, par exemple, dans toute relation amoureuse. Car l'amour, par définition, est un cadeau non mérité être aimé sans mérite, c'est même la preuve d'un vrai amour.

Eh bien, dans cet état déplorable je ne changerais pas encore d'être et de destinée contre le plus fortuné d'entre eux, et j'aime encore mieux être moi dans toute ma misère que d'être aucun de ces gens-là dans toute leur prospérité.

Je ne suis pas sûr que vos concitoyens partagent votre mépris pour l'argent, répondit-il, très calme. Beaucoup d'entre eux ont été pauvres toute leur vie. Ils n'ont pas eu le luxe de choisir la pauvreté, comme vous.

L'argent [est] le fumier dans lequel pousse l'humanité de demain. L'argent, empoisonneur et destructeur, devenait le ferment de toute végétation sociale, servait de terreau nécessaire aux grands travaux dont l'exécution rapprocherait les peuples et pacifierait la terre.

Je me disais, allez, il faut pleurer une bonne fois pour toutes. Tarir les formes, presser l'éponge, essorer ce grand corps triste et puis tourner la page, pensé à autre chose.

Un coup de cœur et un coup au cœur à la toute dernière phrase du roman dite par Jocelyne... Petit roman qui nous ressemble un peu trop parfois, qui dérange et qui fait du bien en même temps. Bonne lecture sans hésitation !

Si vous vous plaignez, la loi de l'attraction générera dans votre vie davantage de situations desquelles vous pourrez vous plaindre. Si vous écoutez un individu se plaindre et y accordez toute votre attention, sympathisez avec lui, êtes d'accord avec lui, vous attirez alors à vous davantage de situations desquelles vous plaindre.

On dit parfois qu'au sud on peut vivre comme au paradis. Il suffit de fixer le ciel et de ne jamais, jamais se risquer à regarder en bas. Mais c'est impossible. A force d'être privé de toute perspective, on n'a même plus d'espace où poser les yeux.

Non, la guerre n'est pas la mère de toutes choses. La bataille ne produit rien, sauf de nouvelles batailles, d'où sa fécondité nulle.

Je dois dire que j'aimais passionnément ma femme. Même à l'école, je pensais à elle, toute la journée, et ne vivais que pour la revoir le soir. Je ne pouvais me faire à l'idée de la quitter le matin. J'essayais de la tenir éveillée jusqu'à une heure avancée de la nuit en lui parlant de tout et de rien.

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