Citation toute


Sélection de 2002 citations sur le sujet toute

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Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Pour le mal d'hier, il n'y a pas de remède demain. Pierre qui roule n'amasse pas de mousse. Pour n'en pas perdre la coutume, quand tu n'as pas de fer bats sur l'enclume. Si l'on mange le bœuf entier, c'est que l'un veut la cuisse et l'autre l'épaule. Puisque le cheval laboure, sellons le bœuf. Que fais-tu, nigaud ? — Je nigaude ; j'écris ce qui m'est dû, et j'efface ce que je dois.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Le fil casse par le plus menu. Ce n'est pas le fil menu qui casse, mais le gros et mal filé. II n'y a pas de plaisir qui n'ennuie, surtout s'il ne coûte rien. Offrir beaucoup à qui demande peu, c'est une manière de refuser. Est or ce qui vaut or. Écouter, voir et se taire, sont choses rudes à faire.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : On ne peut pas sonner les cloches et suivre la procession. Il n'y aurait point de parole mal dite si elle n'était mal prise. Quelque matin qu'on se lève, le jour n'en vient pas plus tôt. Que Dieu ne t'envoie pas plus de mal que beaucoup d'enfants et peu de pain. La belle-mère ne se souvient pas qu'elle fut belle-fille. Belle-mère, fût-elle de sucre, est amère.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Mieux vaut lionne espérance que mauvaise possession. Le renard en sait long, mais plus long celui qui l'attrape. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Pas de meilleur chirurgien que celui qui a reçu beaucoup de blessures. Ne redoute pas une tache que l'eau puisse enlever.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : La mauvaise blessure guérit ; la mauvaise renommée tue. C'est quand la fortune paraît le plus amie qu'elle donne le croc-en-jambe. Le pire des procès, c'est que d'un il en naît cent ; aussi, plutôt mauvais accord que bon procès. Plus donne le dur que le nu. Une bonne parole éteint mieux qu'un seau d'eau.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Notre fille mariée, les gendres arrivent ; la maison brûlée, tout le monde apporte de l'eau. II ne faut pas jeter la faute de l'âne sur le bât. Quand tu es en paix, rappelle-toi que tu peux venir en querelle ; et quand tu es en querelle, rappelle-toi que tu peux venir en paix. La gouttière creuse la pierre. Qui veut une mule sans défaut doit se résoudre à aller à pied.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Honneur et profit ne couchent pas au même lit. Honore le bon pour qu'il t'honore, et le méchant pour qu'il ne te déshonore. ir Voler le cochon, et donner les pieds pour l'amour de Dieu. Figue verte et fille d'auberge mûrissent à force d'être pincées. La trahison plaît, mais non celui qui la fait.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Entre deux dents mâchelières ne mets jamais le pouce. Chez le serrurier, broche de bois. Chez le ménétrier, tout le monde danse. Le vent qui court change la girouette, mais non la tour. Donner est honneur, demander douleur.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : De poltron à poltron, qui attaque bat. De la main à la bouche la soupe se perd. Les malheurs et les voyages font les amis. De l'emporté détourne-toi un moment ; du sournois, toute ta vie. Le sot qui se tait passe pour sage.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Heureux, tu ne te connaîtras pas ; malheureux, on ne te connaîtra pas. Quand la rivière ne fait plus de bruit, c'est qu'elle a tari ou qu'elle a grossi. Quand le loup donne dans la bergerie commune, malheur à qui n'a qu'une brebis. Dieu envoie des amandes à qui n'a pas de dents. Du cuir d'autrui, longues courroies. Donnez-moi pour m'asseoir, et je prendrai bien pour me coucher.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Rester fidèle à un ancien amour, c'est parfois le secret de toute une vie.
Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol - Katherine Pancol




A la source de nous-même, il n'y pas nous-même, mais le fourmillement de la race. Notre enfance nous apparaît comme une nébuleuse, dont une mère est le noyau tendre et rayonnant. Notre histoire personnelle, dès son premier chapitre, attenterait au miséricordieux oubli que goûte justement dans la mort toute la créature qui a vécu avec décence et dévotion, comme l'ont fait celles dont je suis issu.
Mémoires intérieurs de François Mauriac - François Mauriac




Je n'ai de sympathie pour aucun parti politique ou pour mieux dire je les exècre tous, parce qu'ils me semblent également bornés, faux, puérils, s'attaquant à l'éphémère, sans vues d'ensemble et ne s'élevant jamais au-dessus de l’utile. J'ai en haine tout despotisme. Je suis un libéral enragé. C'est pourquoi le socialisme me semble une horreur pédantesque qui sera la mort de tout art et de toute moralité. J'ai assisté, en spectateur, à presque toutes les émeutes de mon temps.
Correspondance de Gustave Flaubert le 30 mars 1857, à mademouselle Leroy de Chantepie - Gustave Flaubert




Moi, j'exècre tout ce qui est obligatoire, toute loi, tout gouvernement, toute règle. Qui êtes-vous donc, ô société, pour me forcer à quoi que ce soit ? Quel Dieu vous a fait mon maître ? Remarquez que vous retombez dans les vieilles injustices du passé. Ce ne sera plus un despote qui primera l'individu, mais la foule, le salut public, l'éternelle raison d'état, le mot de tous les peuples, la maxime de Robespierre. J'aime mieux le désert, je retourne chez les Bébouins qui sont libres.
Correspondance de Gustave Flaubert, à Croisset, 18 mai 1857 à mademoiselle Leroyer de Chantepie - Gustave Flaubert




C'est parce que je crois à l'évolution perpétuelle de l'humanité et à ses formes incessantes, que je hais tous les cadres où on veut la fourrer de vive force, toutes les formalités dont on la définit, tous les plans que l'on rêve pour elle. La démocratie n'est pas plus son dernier mot que l'esclavage ne l'a été, que la féodalité ne l'a été, que la monarchie ne l'a été. L'horizon perçu par les yeux humains n'est jamais le rivage, parce qu'au delà de cet horizon, il y en a un autre, et toujours !.
Correspondance de Gustave Flaubert, à Croisset, 18 mai 1857 à mademoiselle Leroyer de Chantepie - Gustave Flaubert




Beaucoup d'enfants aussi, qui s'étourdissaient à brailler des comptines ou à danser des rondes dont les spectateurs — de grands sérieux patibulaires — se placent à l'intérieur du cercle. On est d'avis ici que pour regarder convenablement une ronde il faut se mettre dedans. Il y a ainsi une manière kurde pour toute chose, et dans cette manière une espèce de cocasserie fraternelle qui vous perce le cœur.
L'Usage du monde (1963), Nicolas Bouvier, éd. Payot, coll. Petite Bibliothèque Payot/Voyageurs), 1992 (ISBN 2-228-88560-6), p. 198 - Nicolas Bouvier




Dans toute histoire d’amour, il y a ce point d’équilibre où l’on se tient un seul instant, dont ensuite reste à jamais la nostalgie, et à partir duquel on surplombe soudain tout le temps de sa vie. Le passé semble alors tout entier derrière soi. C’est à peine s’il a jamais existé.
Le Nouvel Amour de Philippe Forest - Philippe Forest




Dans toute histoire d’amour, il y a ce point d’équilibre où l’on se tient un seul instant, dont ensuite reste à jamais la nostalgie, et à partir duquel on surplombe soudain tout le temps de sa vie.
Le Nouvel Amour de Philippe Forest - Philippe Forest




La grimace était son visage. Ou plutôt toute sa personne était une grimace.
Notre Dame de Paris - Victor Hugo




Question : comment faire pour ne pas perdre son temps ? Réponse : l’éprouver dans toute sa longueur. Moyens : passer des journées dans l’antichambre d’un dentiste, sur une chaise inconfortable ; vivre à son balcon le dimanche après-midi ; écouter des conférences dans une langue qu’on ne comprend pas ; choisir les itinéraires de chemin de fer les plus longs et les moins commodes et voyager debout naturellement ; faire la queue au guichet des spectacles et ne pas prendre sa place, etc.
Albert Camus in La Peste - Camus



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