Citation trop
Sélection de 1850 citations sur le sujet trop
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Citations trop - Page 71 sur un total de 93 pages.
J’ai la malédiction de la raison ; je suis pauvre, célibataire, déprimé. Cela fait des mois que je réfléchis sur ma maladie de trop réfléchir, et j’ai établi avec certitude la corrélation entre mon malheur et l’incontinence de ma raison. Penser, essayer de comprendre ne m’a jamais rien apporté mais a toujours joué contre moi.
Comment je suis devenu stupide -
Martin Page
Être curieux, vouloir comprendre la nature et les hommes, découvrir les arts, devrait être la tendance de tout esprit. Mais, si cela était, avec l’organisation actuelle du travail, le monde s’arrêterait de tourner, simplement parce que cela prend du temps et développe l’esprit critique. Plus personne ne travaillerait. C’est pourquoi les hommes ont des goûts et des dégoûts, des choses qui les intéressent et d’autres pas ; parce que, sinon, il n’y aurait pas de société. Ceux qui s’intéressent à trop de choses, qui s’intéressent même aux sujets qui ne les intéressaient pas à priori – et qui veulent comprendre les raisons de leur désintérêt – en payent le prix par une certaine solitude. Pour échapper à cet ostracisme, il est nécessaire de se doter d’une intelligence qui a une fonction, qui sert une science ou une cause, un métier ; tout simplement, une intelligence qui sert à quelque chose. Mon intelligence présumée, trop indépendante, ne sert à rien, c’est-à-dire qu’elle ne peut pas être récupérée pour être employée par l’université, une entreprise, un journal ou un cabinet d’avocats.
Comment je suis devenu stupide -
Martin Page
Il ne faut pas connaître trop de choses, on y perd son élan vital. Devenu bateau, l'arbre ne redevient plus arbre. Avec mes jeans Diesel et mes vestes Hedi Slimane, je peux bien porter chaque jour deux mille dollars sur le dos, je reste un rocker.
Une vraie Parisienne -
Gilles Martin-Chauffier
Je marchais sur des œufs. Surtout ne pas trop parler, ni trop promettre. Ne pas entrer dans les détails non plus. Comme le vent abat un chêne, une simple phrase détruit un rêve.
Une vraie Parisienne -
Gilles Martin-Chauffier
Je ne vous souhaite pas beaucoup de bonheur : vous vous ennuieriez. Je ne vous souhaite pas non plus de malheur ; mais à la suite de la philosophie populaire, je répète simplement vivez davantage et tâchez de ne pas trop vous ennuyer.
Les Possédés -
Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski
Il en est des livres comme des nez : la plupart sont ou trop longs ou trop courts.
De la nature humaine : Réflexions diverses -
Charles Dollfus
La nature oublie de saler beaucoup d'esprits, il eu est d'autres qu'elle sale trop.
De la nature humaine : Réflexions diverses -
Charles Dollfus
Un homme qui ne se sent pas estimé à sa valeur est bien près de s'estimer trop. Le désir de justice fait qu'il s'accorde ce qu'on lui refuse, et qu'il pousse souvent sa revanche trop loin.
De la nature humaine : Réflexions diverses -
Charles Dollfus
Trop réfléchir ne vaut rien, ni réfléchir trop peu. Mais le trop de l'un est le pas assez de l'autre : à chacun sa mesure. D'ailleurs, le trop et le trop peu ici ne dépendent pas seulement de la personne, ils sont relatifs aussi à l'entreprise projetée et à la tâche qu'on se propose d'accomplir.
De la nature humaine : Réflexions diverses -
Charles Dollfus
Peu à peu la solitude de la mer, si différente de celle de la terre, se fit sentir. Car sur terre, on ne jouit jamais vraiment ni profondément d’un sentiment de solitude. Pas même en forêt. Ni en plaine, et encore moins en ville où l’homme est trop proche du sol, asservi par des liens invisibles à cent choses insignifiantes, hanté par des besoins mesquins et des soucis dérisoires. Sur la terre la solitude parfaite n’existe pas. Et ce qu’on prend à l’occasion pour de la solitude n’est pas, comme sur la mer, ce silence empreint de plénitude, mais le vide, lord d’inquiétude et d’angoisse. Le bruit d’un serpent lourd d’inquiétude et d’angoisse. Le bruit d’un serpent qui rampe, d’un lézard qui s’enfuit, d’une feuille qui roule, corrompt la solitude de la forêt. Le crissement des élytres d’un grillon suffit à altérer la solitude de la campagne. En revanche, la solitude en mer absorbe et purifie tout. Elle règne sur toutes choses come un despote sur le territoire de sa victoire. La raison en est qu’en mer la solitude, énorme et mystérieuse, frôle l’éternité.
Contrebande -
Enrique Serpa
Si aider les autres vous paraît trop difficile, essayez au moins de ne pas leur nuire.
Sages paroles du Dalaï-Lama -
Dalaï Lama
Ma vie c’était ça et rien d’autre : les gamins le bain les devoirs les repas la vaisselle le linge et le ménage, les courses chez Ed, ou au Carrefour quand ça me déprimait trop, le cinéma une fois tous les six mois, la télé tous les soirs et basta, à quoi ça sert de se mentir, la vie c’est ça et pas grand chose de plus pour la plupart d’entre nous.
A l'abri de rien -
Olivier Adam
« amis », c’est un drôle de mot. C’est comme « amour ». Ce sont des mots que je n’ai pas l’habitude d’employer. J’utilise « copain », « camarde », « pote » jusqu’à « cousin » ou jusqu’au verlan – mais « ami », c’est trop bizarre. C’est un mot adulte. J’espère que je vais m’en servir plus tard – et beaucoup- mais pour l’instant, je le tiens à distance.
Au rebond -
Jean-Philippe Blondel
Personne ne fuit son pays. On ne fuit que soi-même - sa vérité ou son infortune -, comme si l'âme, trop à l'étroit dans sa peau, tentait de s'en extirper.
L'Imposture des mots -
Yasmina Khadra
Qui rêve trop oublie de vivre.
L'attentat -
Yasmina Khadra
On s'emploie avec raison à sauver toutes sortes d'espèces d'oiseaux, d'insectes, d'arbres, de plantes de grosses et petites créatures bien vivantes mais menacées de disparition. Des mots, eux aussi, pour d'autres raisons que la chasse, la pollution et l'argent, meurent. Pétrifiés dans des dictionnaires obsolètes ou humoristiques, recensés par des lexicologues historiens, ils ne subsistent que dans les œuvres littéraires où, intrigué mais paresseux, le lecteur les saute ou les ignore trop souvent.
100 mots à sauver -
Bernard Pivot
Il y a des femmes dont les yeux sont comme des morceaux de sucre, il y a des femmes graves comme les mouvements de l'amour qu'on ne surprend pas, il y a des femmes au visage pâle, d'autres comme le ciel à la veille du vent. Petite table dorée des jours de fête, il y a des femmes de bois vert et sombre celles qui pleurent, de bois sombre et vert : celles qui rient. Petite table trop basse ou trop haute. Il y a des femmes grasses avec des ombres légères. ..
Capitale douleur,1926, pp. 58-59. -
Éluard
La Fontaine a raison : Rien de trop est un point Dont on parle beauconp, et qu'on n'obserre point. Tout le monde convient de Futilité de la modération, du danger des excès, de la folie des passions. On estime sage celui qui voit les choses telles qu'elles sont, et qui les apprécie à leur juste valeur : on regarde comme un insensé l'homme qui voit tout avec un microscope ou avec un prisme, qui embellit ou enlaidit, grandit du rapetisse tout, suivant son désir ou son dégoût, sa crainte ou. son espérance.
Rien de trop -
Louis-Philippe de Ségur
C'est souvent le cas des secrets les plus importants. C'est la vie propre du secret, que de vouloir s'echapper : plus il est grave et plus il est dur à porter. On a besoin de le partager avec quelqu'un, c'est plus fort que soi. Un jour, on finit par parler, puis on regrette, mais il est trop tard et il faut payer.
Qumran, Eliette Abécassis, éd. Ramsay, 1996 (ISBN 2-253-14363-4), p. 133 -
Eliette Abécassis
Ô Dieu, du droit de mon agonie qui est proche je Te dis qu’elle n’est pas drôle. Ta plaisanterie de nous donner cet effrayant et bel amour de la vie pour nous allonger ensuite, les uns après les autres, les uns auprès des autres, et faire de nous des immobiles que de futures immobiles enfouissent sous terre comme de puantes saletés, des balayures trop répugnantes à regarder, de cireuses immondices, nous qui fûmes des bébés ravis en nos fossettes. Pourquoi toute cette terre sur ma mère, ce petit espace de la caisse autour d’elle qui aimait tant respirer l’air de la mer ?.
Le Livre de ma mère d'Albert Cohen -
Albert Cohen
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