Citation voici
Sélection de 124 citations sur le sujet voici
- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe voici issus de livres, discours ou entretiens.Page 1 sur un total de 7 pages.
Citations voici
Dans les ravins du sommeil Le silence dresse ses enfants Voici le bruit fatal qui crève les tympans La poussiéreuse mort des couleurs L'idiotie.
L'amour la poesie, 1929
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Paul Éluard
Travailleurs en lutte, si vous souhaitez passer un réveillon de rêve, voici le menu proposé par l'Hôtel Martinez (Philippe) : Entrées : Les zakouskis sociaux Les trois huîtres Black bloc de foie gras Plats (de résistance) : Steak à point (de retraite) Poulet aux marrons Raie au beurre noir Desserts : Paris-Brest (prévoir un retard de 4 heures) Mille feuilles de maladie Mangue à gagner Vins : Banderol Piquette de grève Café Privilège.
Nouvelles Pensées -
Marc Escayrol
Mais je suis tout de même passé en me pressant comme un citron - et me voici.
Bilbo le hobbit
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J. R. R. Tolkien
Me voici devant la tombe de mon père. J'ai perdu le secret du jeu. J'ai perdu l'enfance. Tous les jours sont des adieux.
Chaque jour est un adieu
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Alain Rémond
Nous avons tous un secret enfermé dans le tréfonds de notre âme. Voici le mien.
Marina
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Carlos Ruiz Zafón
Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
Le petit prince, édition oscar gm, sergio pg, 1943
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Antoine de Saint-Exupéry
Permettez, ô sirène, Voici que votre haleine Embaume la verveine C'est l'printemps qui s'amène ! - Ce système, en effet, ramène le printemps, Avec son impudent cortège d'excitants.
Les complaintes
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Jules Laforgue
Pour renaître et connaître en Esprit, j'ai laissé la tendresse du Père me parler différentiale dans le Sang ressuscitant et ressuscité du Fils. Et voici que dans le Nom Trinitaire la symphonie que j'engrave se donne en demeure à l'Éclair Eucharistique.
Le chant du veilleur - poeme symphonique
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Maxence Caron
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines, Voici s’enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange. L’azur et l’onde communient. Je sors. Si un rayon me blesse Je succomberai sur la mousse. Qu’on patiente et qu’on s’ennuie C’est trop simple. Fi de mes peines. je veux que l’été dramatique Me lie à son char de fortunes Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m’illusionne ; C’est rire aux parents, qu’au soleil, Mais moi je ne veux rire à rien ; Et libre soit cette infortune.
Bannières de mai -
Arthur Rimbaud
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l’ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
Printemps -
Victor Hugo
Bien tard, je t'ai aimée, ô beauté si ancienne et si nouvelle, bien tard je t'ai aimée ! Et voici que tu étais au-dedans, et moi au-dehors, et c'est lá que je te cherchais, et sur la grâce de ces choses que tu as faites, pauvre disgracié, je me ruais ! Tu étais avec moi et je n'étais pas avec toi.
Confessions -
Augustin d'Hippone
Abordant désormais un âge de ma vie plus calme, je demande à mon ennemi au carquois de signer la paix. Il refuse, redoublant d'agressivité et - chose étonnante - voici qu'en tout lieu et à toute heure, je le vois devant moi, cet impitoyable ennemi ailé et, je ne le nierai pas, je tremble qu'il ne rouvre mon ancienne blessure d'une nouvelle flèche, tant il a d'éléments en sa faveur.
Petrarque. sejour a vaucluse, colette lazam (traduction et notes), édition petite bibliotheque payot. rivages poche, 2009, p. 52
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Pétrarque
Mais voici l'heure de nous en aller, moi pour mourir, vous pour vivre. Qui de nous a le meilleur partage, nul ne le sait, excepté le dieu.
Apologie de socrate - criton - phédon, platon (trad. Émile chambry), éd. garnier-flammarion, 1965, p. 55
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Platon
Je n’ai jamais mis l’épigraphe que je voulais à cette série de notes. La voici, telle que tirée du Robinson Crusoé, traduction de l’abbé Desfontaines : « Un jour, comme j’allais à mon canot, je découvris très distinctement sur le sable les marques d’un pied nu d’homme. Je n’eus jamais une plus grande frayeur… » Il faudrait citer presque entières deux ou trois pages. C’est bien l’impression que l’on éprouve à deviner autour de soi le mouvement invisible des hommes. Dès qu’on a vu des pas sur le sable, il faut rentrer chez soi et s’y enfermer.
Gourmont - Des Pas sur le sable -
Gourmont
- Nous avons de la visite, dit-elle, amusée. Papa, je te présente Oscar Drai, voleur de montres amateur. Oscar, voici mon père, Germàn.
Marina
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Carlos Ruiz Zafón
T'abordes une jolie, raconte pas ta vie, négocie, c'est ce dont il s'agit dès que la queue s'agite, assis, j'ai cogité comme l'eau se paye, voici l'écrasante vérité pour tes orteils. On ne prouve rien à ceux qui disent que l'amour est mort, aimer d'accord, mais l'arrangement d'abord.
L'amour est mort, mets..., oxmo puccino, oxmo puccino, album cactus de siberie (2004 chez delabel time bomb recordings). - l'amour est mort mets...
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Oxmo Puccino
Tu ne connaissais que mon masque voici mon visage !
Bug-jagal le dernier jour d'un condamné claude gueux
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Victor Hugo
Voici le bonheur, voici ce que tu as cherché pendant toute ta jeunesse, voici la jeune fille qui était à la fin de tous tes rêves !
Le grand meaulnes
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Alain-Fournier
— Isidora ! voulez-vous fuir avec moi ? Voici le moment. Tous les bras sont paralysés tous les esprits sont glacés ! Isdidora, levez-vous et fuyons ! Voici l'heure de votre sûreté !
Melmoth l'homme errant, 1820
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Charles Robert Maturin
Ad usum populi : Voici quelle doit être la nouvelle formule d’enseignement. Le dauphin aujourd’hui, c’est le peuple. Il est souverain, mais il est enfant. On lui doit l’éducation. On la lui doit gratuite. On la lui doit obligatoire. On la lui doit primaire, secondaire, supérieure, à tous les degrés, depuis l’école de village jusqu’au collège de France, depuis l’Abécédaire jusqu’à l’Institut. Au moral comme au physique, le premier des droits de l’homme, c’est le droit à la lumière.
Proses philosophiques de Victor Hugo -
Victor Hugo
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