Citations sur vos.

Citation vos

Sélection de 579 citations sur le sujet vos

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Les 579 plus belles citations sur vos

Et vous, ombres rêvées, et pourtant ressenties, Venez coller vos lèvres brûlantes aux miennes, Boire à mon sang le sang, et le souffle à ma bouche ! Montez.

Je me suis toujours imaginé tous ceux que je rencontrais dans ma vie ou qui ont vécu près de moi. Pour un professionnel de l'imagination, c'est plus facile et cela évite de vous fatiguer. Vous ne perdez plus votre temps à essayer de connaître vos proches, à vous pencher sur eux, à leur prêter vraiment attention. Vous les inventez. Après, lorsque vous avez une surprise, vous leur en voulez terriblement, ils vont ont déçu. En somme, ils n'étaient pas dignes de votre talent.

Je n'ai rien fait d'aujourd'hui. -Quoi ? N'avez vous pas vécu ? C'est non seulement la fondamentale, mais la plus illustre de vos occupations. .. .

C'est toujours triste de regarder d'un oeil nouveau des choses sur lesquelles vous avez vous-même épuisé vos propres capacités de jugement.

Songez dès à présent à la vieillesse qui viendra trop tôt, et vous ne perdrez pas un instant. Tandis que vous le pouvez, et que vous en êtes encore à vos années printanières, donnez-vous du bon temps ; comme l'eau s'écoulent les années.

Dés l'instant qu'ils sortent de votre ventre, vos enfants s'éloignent de vous, d'abord, en rampant, puis en marchant, ensuite en courant.

Je veux des vendeurs qui soient derrière chaque cliente, agrippés à elle comme une tique. Il ne faut pas avoir peur de les accoster, de leur parler et de créer un lien. La cliente doit se sentir dans vos mains comme la plus importante de toutes. Vous êtes leur miroir et c’est au travers de vos yeux qu’elles se regardent.

C'est l'amour et la beauté qui font les poètes ; et puisque vous aimez tant les poètes, votre amour et vos beautés en feront un de moi.

Toutes vos craintes sont des craintes de mortels, mais tous vos désirs sont des désirs d’immortels.

À l'adolescence, on rêve du jour où l'on quittera ses parents, un autre jour ce sont vos parents qui vous quittent. Alors, on ne rêve plus qu'à pouvoir redevenir, ne serait-ce qu'un instant, l'enfant qui vivait sous leur toit, les prendre dans vos bras, leur dire sans pudeur qu'on les aime, se serrer contre eux pour qu'ils vous rassurent encore une fois.

Vous vivez comme si vous alliez toujours vivre, jamais votre vulnérabilité ne vous effleure l’esprit, vous ne remarquez pas tout le temps qui est déjà écoulé ; vous le perdez comme si vous pouviez en disposer à volonté alors que ce jour même dont vous faites cadeau à une personne ou à une activité, est peut-être votre dernier jour à vivre. Toutes vos craintes sont des craintes de mortels, mais tous vos désirs sont des désirs d’immortels.

Aimez donc la raison ; que toujours vos écrits - Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.

Si vous désirez savoir qui sont vos amis, faites vous condamner à une peine de prison.

Ah ! si tu savais comme c'est vite envolé, tout cela ! A vingt ans, on dirait que le monde est à vos pieds. À trente ans, on est bien content de ramasser un varlet !J’en ai vu, j’en ai vu beaucoup… On ne vit pas dans les rêves.

Enez toujours vos réunions commerciales dans des pièces trop petites pour le nombre de participants, même s'il faut pour cela, les tenir dans les WC. Les salles bourrées créent une atmosphère de succès, comme dans les théatres et les restaurants, alors qu'une pièce à moitié vide inspire l'échec.

Dans vos yeux - J'ai lu l'aveu de votre âme - En caractères de flamme - Et je m'en suis allé joyeux - Bornant alors mon espace - Au coin d'horizon qui passe - Dans vos yeux.

Une description ne doit jamais paraître imaginée. Voilà le grand principe. Mettez-y votre cœur, vos élans, vos réflexions morales, vos aspirations imaginatives.

Quelles sont vos préférences ? Avez-vous des aptitudes pour le roman, pour le dialogue, pour la poésie, pour la description ? Rien n'est plus difficile que de se connaître littérairement.

La première condition préparatoire pour écrire, c'est de se connaître et pour cela, de s'examiner, de s'étudier, de savoir, comme le dit Horace, de quel fardeau vous pouvez charger vos épaules.

Le piano est un compagnon, un complice, toujours prêt à faire écho à vos sentiments, à votre humeur. Un ami peut vous contredire, vous mentir, vous trahir ; le piano jamais ne ment, ne contredit ni ne trahit le pianiste. C’est un confident, toujours prêt à l’écoute. Il ne répète ce qu’on lui confie que si le compositeur le lui impose.

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