Citation vous


Sélection de 4596 citations sur le sujet vous

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Je trouve en somme qu’il n’y a que deux sortes de femmes, les naturelles, et les fardées. Les femmes naturelles sont très utiles ; si vous voulez acquérir une réputation de respectabilité, vous n’avez guère qu’à les conduire souper. Les autres femmes sont tout à fait agréables. Elles commettent une faute, toutefois. Elles se fardent pour essayer de se rajeunir.
Le Portrait de Dorian Gray de Oscar Wilde - Oscar Wilde




Avouez seulement les bras qu'on vous veut tendre ; Quand on peut prévenir, c'est faiblesse d'attendre.
Cosroës de Jean de Rotrou, né Jean Rotrou, - Jean de Rotrou




Les sept jours frappent à la porte. Chacun d’eux vous dit : lève-toi ! Soufflant le chaud, soufflant le froid, Soufflant des temps de toutes sortes, Quatre saisons et leur escorte Se partagent les douze mois. Au bout de l’an, le vieux portier Ouvre toute grande la porte Et d’une voix beaucoup plus forte Crie à tous vents : Premier Janvier !.
Le premier jour de l’an - Pierre Menanteau




L'amour n'est ni grand ni petit ; il est seulement l'amour. On ne peut pas mesurer un sentiment comme on mesure une route. Si vous le faites, vous commencez à comparer avec ce qu'on vous a raconté, ou avec ce que vous espérez trouver. De cette manière, vous entendrez toujours une histoire, au lieu de parcourir votre propre chemin.
Amour de Paulo Coelho - Paulo Coelho




Pour terminer, si certaines de mes anti-citations vous en rappellent d'autres, ne vous formalisez pas de ces emprunts ou de ces plagiats qui, je le jure, sont Involontaires : dans ce genre littéraire, nous nous copions les uns les autres, souvent sans le faire exprès. C'est ainsi que la célèbre formule de Nietzsche : Ce qui ne me tue me rend plus fort paraphrase une maxime de l'Antiquité, attribuée souvent à Alexandre le Grand. Comme feu le roi de Macédoine, je fais déjà don de mes pensées à la science, à la littérature et à mes chers confrères.
Dictionnaire d'anti-citations, pour vivre très con et très heureux. - Franz-Olivier Giesbert




Je vous le dis : il faut porter encore en soi un chaos, pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante.
Frédéric Nietzsche. Ainsi parlait Zarathoustra - Nietzsche




Ne vous découragez pas ; c'est souvent la dernière clef du trousseau qui ouvre la porte.
Le manuscrit retrouvé de Paulo Coelho - Paulo Coelho




N’oubliez pas une chose, c’est que la grande inspiratrice, c’est la mort. Si vous ne mettez pas votre peau sur la table, vous n’avez rien. Il faut payer ! Ce qui est fait gratuit est raté et même plus que raté. Alors, vous avez des écrivains gratuits. A l’heure actuelle, vous n’avez que des écrivains gratuits. Et ce qui est gratuit, pue le gratuit.
Louis-Ferdinand Céline Interview avec Louis Pauwels et André Brissaud (Radio-Télévision française) Printemps 1959 - Céline




Voyager c'est découvrir que tout le monde a tort. Les philosophies, les civilisations qui, de loin, vous semblent bien supérieures à la vôtre, vues de près sont toutes, à leur façon, aussi désespérément imparfaites. Apprendre cela -et cela ne s'apprend qu'en voyageant- mérite, il me semble, toute la peine, toute l'absence de bien-être, et tous les frais d'un tour du monde.
Tour du monde d'un sceptique de Aldous Huxley - Aldous Huxley




En voyage vous perdez vos convictions aussi facilement que vos lunettes, mais il est plus difficile de les remplacer.
Tour du monde d'un sceptique de Aldous Huxley - Aldous Huxley




Aimez l'amour qui parle avec la lenteur basse Des Ave Maria chuchotés sous l'arceau ; C'est lui que vous priez quand votre tête est lasse, Lui dont la voix vous rend le rythme du berceau.
l'amour de l'amour - Germain Nouveau




Aimez bien vos amours ; aimez l'amour qui rêve Une rose à la lèvre et des fleurs dans les yeux ; C'est lui que vous cherchez quand votre avril se lève, Lui dont reste un parfum quand vos ans se font vieux.
l'amour de l'amour - Germain Nouveau




Dans vos fêtes d'hiver, riches, heureux du monde, Quand le bal tournoyant de ses feux vous inonde, Quand partout à l'entour de vos pas vous voyez Briller et rayonner cristaux, miroirs, balustres, Candélabres ardents, cercle étoilé des lustres, Et la danse, et la joie au front des conviés ; Tandis qu'un timbre d'or sonnant dans vos demeures Vous change en joyeux chant la voix grave des heures, Oh ! songez-vous parfois que, de faim dévoré Peut-être un indigent dans les carrefours sombres S'arrête, et voit danser vos lumineuses ombres Aux vitres du salon doré ?.
Pour les pauvres. - Victor Hugo




Donnez ! pour être aimés du Dieu qui se fit homme, Pour que le méchant même en s'inclinant vous nomme, Pour que votre foyer soit calme et fraternel ; Donnez ! afin qu'un jour, à votre heure dernière, Contre tous vos péchés vous ayez la prière D'un mendiant puissant au ciel.
Pour les pauvres. - Victor Hugo




Donnez, il vient un jour où la terre nous laisse. Vos aumônes là-haut vous font une richesse, Donnez, afin qu'on dise : Il a pitié de nous ! Afin que l'indigent que glacent les tempêtes, Que le pauvre qui souffre à côté de vos fêtes, Au seuil de vos palais fixe un oeil moins jaloux.
Pour les pauvres. - Victor Hugo




Donnez, riches ! L'aumône est soeur de la prière, Hélas ! quand un vieillard, sur votre seuil de pierre, Tout roidi par l'hiver, en vain tombe à genoux ; Quand les petits enfants, les mains de froid rougies, Ramassent sous vos pieds les miettes des orgies, La face du Seigneur se détourne de vous.
Pour les pauvres. - Victor Hugo




Je veux vous dire tout de suite quelle sorte de grandeur nous met en marche. Mais c'est vous dire quel est le courage que nous applaudissons et qui n'est pas le votre. Car c'est peu de chose que de savoir courir au feu quand on s'y prépare depuis toujours et quand la course vous est plus naturelle que la pensée. C'est beaucoup au contraire que d'avancer vers la torture et vers la mort quand on sait de science certaine que la haine et la violence sont choses vaines par elles-mêmes. C'est beaucoup que de se battre en méprisant la guerre, d'accepter de tout perdre en gardant le goût du bonheur, de courir à la destruction avec l'idée d'une civilisation supérieure.
Lettre d'Albert Camus à un ami allemand - Albert Camus




Je veux vous dire tout de suite quelle sorte de grandeur nous met en marche. Mais c'est vous dire quel est le courage que nous applaudissons et qui n'est pas le votre. Car c'est peu de chose que de savoir courir au feu quand on s'y prépare depuis toujours et quand la course vous est plus naturelle que la pensée.
Lettre d'Albert Camus à un ami allemand - Camus




Enfin, je m'abandonne tout à vous ; usez de moi aussi librement que le chat fait de la souris ; rognez, tranchez, taillez, faites-en comme des choux de votre jardin.
Le Pédant Joué de Cyrano de Bergerac - Bergerac




Pour moi, garder le silence était une façon de me protéger. Les mots peuvent vous trahir si vous avez le malheur de ne pas choisir les bons, ou ne plus rien exprimer si vous en utilisez trop.
Coeurs brisés, têtes coupées de Robyn Schneider - Robyn Schneider



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