Citations sur lutr. iii

S'il fallait, sans amis, briguant une audience, D'un magistrat glacé soutenir la présence....

C'est là que du lutrin gît la machine énorme

En achevant ces mots, la déesse guerrière.... Rend aux trois champions leur intrépidité

Vous verrez tous les jours le chanoine insolent Au seul mot de hibou vous sourire en parlant ; Votre âme, à ce penser, de colère murmure ; Allez donc de ce pas en prévenir l'injure

Et, dans la sacristie entrant, non sans terreur, En percent jusqu'au fond la ténébreuse horreur

D'une subite horreur leurs cheveux se hérissent

Marchez, courez, volez où l'honneur vous appelle

Là, depuis trente hivers un hibou retiré

S'il fallait, sans amis, briguant une audience, D'un magistrat glacé soutenir la présence

C'est là que du lutrin gît la machine énorme

Et l'orgue même en pousse un long gémissement

Boirude ....Les arrête, et, tirant un fusil de sa poche, Des veines d'un caillou qu'il frappe au même instant, Il fait jaillir un feu qui pétille en sortant

Mille oiseaux effrayants, mille corbeaux funèbres, De ces murs désertés habitent les ténèbres

Aux cris d'un vil oiseau vous cédez sans combat

Des veines d'un caillou qu'il frappe au même instant, Il fait jaillir un feu qui petille en sortant

D'écoliers.... une troupe.... Va tenir quelquefois un brelan défendu

Ils rallument le feu de leur bougie éteinte

Si quelque exploit nouveau Chaque jour, comme moi, vous traînait au barreau