Citations sur corbeaux

Les corbeaux recommencerent à crier arriere de plus belle

Si s'en allerent ces corbeaux poser sur l'un et l'autre bout des verges dela voile

Ce sont chucas et corbeaux qui croassent En vain contre eux....

J'entrai jusques au second étage, où je trouvai deux corps nus, étendus sur la table de la chambre ; alors je me retirai bien étonné, et en sortant je rencontrai des corbeaux qui me demandèrent ce que je cherchais

Mille oiseaux effrayants, mille corbeaux funèbres, De ces murs désertés habitent les ténèbres

Mille oiseaux effrayants, mille corbeaux funèbres De ces murs désertés habitent les ténèbres

Où il trouva corbeaux très ords et laidz Qui de son sang ont fait maints ruisseletz

La censure tourmente les pigeons, laissant aller les corbeaux libres

Fourrage de corbeaux [un pendard]

Il [Charles IX après la Saint-Barthélemy] tremble, il fait trembler par dix ou douze nuits Le coeur des assistants, quels qu'ils fussent, et puis Le jour effraye l'oeil, quand l'insensé decouvre Les corbeaux noircissant les pavillons du Louvre

Huict jours après le massacre, il vint une grande multitude de corbeaux s'appuier sur le pavillon du Louvre

Mourut aussi de la maladie.... Rosée, procureur en la cour, et fallut pour l'enterrer envoyer querir des corbeaux à Paris

Je ne doute point que le public ne soit étourdi et fatigué d'entendre, depuis quelques années, de vieux corbeaux croasser autour de ceux qui, d'un vol libre et d'une plume légère, se sont élevés à quelque gloire par leurs écrits

Comme ils [les Flamands] allaient combattre les Français, les plus sages firent un jugement omineux de ce prodige [apparition de corbeaux sur l'armée]

Lui dont la main invisible prépare la nourriture aux petits corbeaux mêmes qui l'invoquent dans leur délaissement

Il est seulement accompagné des corneilles chantant quaqua, et des corbeaux avec leur crocro, et aussy des choucas

Les linottes, cochevis, pies, corneilles, chucas, corbeaux parlent et chantent

Un orme fut, dont la cyme estoit pleine De mainte branche, où les corbeaux au soir Prenoient leur perche et se souloient assoir

En mangeant ils craquoient et du bec et des ailes, Comme font ces corbeaux qui succent les cervelles Des animaux pourris

Et m'ouvrez un passage à l'empire des morts, Dérobant aux corbeaux le butin de mon corps

Et ton coeur sacrilége aux corbeaux exposé

Un nombre de corbeaux aussi funeste qu'elles A quelque temps après redoublé mon effroi

Voyant de temps en temps cette écume et cette eau bleue dont j'entendais le mugissement à travers les cris des corbeaux et des oiseaux de proie

[Dans un vieux bois qu'on coupait] toutes ces dryades affligées que je vis hier ; tous ces vieux sylvains qui ne savent plus où se retirer ; tous ces anciens corbeaux établis depuis deux cents ans dans l'horreur de ces bois...

Je vois paraître au bout de ma ruelle Non un pigeon, non une colombelle, Mais vingt corbeaux de rapine affamés