Citations sur cid ii 2

La valeur n'attend pas le nombre des années

À moi, comte, deux mots

À vaincre sans péril on triomphe sans gloire

Ce grand coeur qui paraît au discours que tu tiens

Et que voulant pour gendre un cavalier parfait....

Ce grand coeur qui paraît aux discours que tu tiens

Trop peu d'honneur pour moi suivrait cette victoire [sur Rodrigue]

Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années

Te mesurer à moi, qui t'a rendu si vain, Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main ?

Trop peu d'honneur pour moi suivrait cette victoire

À vaincre sans péril on triomphe sans gloire

Et le fils dégénère, Qui survit un moment à l'honneur de son père

Ôte-moi d'un doute

Aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années

Mes pareils à deux fois ne se font pas connaître, Et pour leurs coups d'essai veulent des coups de maître

Est-ce qu'il peut y avoir du doute à cela ? ....Ote-moi d'un doute ; Connais-tu bien don Diègue ?

.... Marchons sans discourir

Te mesurer à moi ! qui t'a rendu si vain ? Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main

Ton bras est invaincu, mais non pas invincible

Ton bras est invaincu, mais non pas invincible

Mais je sens que pour toi ma pitié s'intéresse

Trop peu d'honneur pour moi suivrait cette victoire

Mes pareils à deux fois ne se font pas connaître

On te croirait toujours abattu sans effort

À moi, comte, deux mots