Citations sur i 4

L'art de la guerre A moins d'enseignements que tu n'as de vertus

Plusieurs coups et entre les autres ung en la gorge dont l'enseigne lui est demeurée toute sa vie

Noyer en la mer

Si de mes jours l'importune durée Ne m'eût en vieillissant la cervelle empirée

La nuit de sa vue Ne l'empêche pas tant que la nuit de son coeur

À l'ombre des lauriers qui t'embrassent la tête

Pense qu'il est si grand, qu'il n'aurait point d'offrande, S'il n'en recevait point que d'égales à lui

C'est alors que ses cris en tonnerres s'éclatent

Toi, des maux qu'ils me font, prends ton ébattement

Et directement contre mes premiers exemples

Nul ne desiroit plus de combattre

Ô désirable fin de leurs peines passées

Où la troupe maudite Son seigneur attaché par outrage dépite

Seul, ses armes despecées

Quand déjà demi-clos [englouti] sous la vague profonde

Mais qu'eussent-ils gagné par un siècle d'années, Ou que leur avint-il en ce vite départ, Que laisser promptement une basse demeure Qui n'a rien que du mal, pour avoir de bonne heure Aux plaisirs éternels une éternelle part ?

Si quelqu'un, d'aventure, en délices abonde

Ce furent de beaux lis qui.... Devant que d'un hiver la tempête et l'orage à leur teint délicat pussent faire dommage, S'en allèrent fleurir au printemps éternel

Et que de demourer là sans vivres entre Paris et le roy n'estoit possible

Il ne peut davantage Que soupirer tout bas

Je demeure en danger que l'âme, qui est née Pour ne mourir jamais, meure éternellement

Le coup encore frais de ma chute passée Me doit avoir appris à me tenir debout

Ce fut grant chose à mon advis de rallyer sur le champ....

Des deux parties il mourut deux mille hommes du moins, et fut la chose bien combattue

C'est chose à mon esprit impossible à comprendre