Citations sur ib. i 4

Ce rire déchirant qui suppose ou l'ignorance de tous les maux de la vie, ou tant de douleur au fond de l'âme, qu'aucune forme de la mort ne peut plus épouvanter !

Il [Dieu] commande au soleil d'animer la nature, Et la lumière est un don de ses mains ; Mais sa loi sainte, sa loi pure Est le plus riche don qu'il ait fait aux humains

Donc je ne suis pas un être nécessaire, je ne suis pas aussi éternel ni infini ; mais je vois bien qu'il y a dans la nature un être nécessaire, éternel, infini

À ses desseins secrets voulut m'associer

Dois-je sur sa foi La prendre pour arbitre entre son fils et moi ?

Allons songer à l'exécution de notre entreprise amoureuse

Mais quoi ! déjà midi ! je plains fort la personne Exacte au rendez-vous qu'au théâtre on lui donne

Les flammes se répétaient au loin dans la mer

Venait-il [Dieu] renverser l'ordre des éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre ?

Et confonds tous ces dieux qui ne furent jamais

Ô divine, ô charmante loi ! ô justice ! ô bonté suprême ! Que de raisons, quelle douceur extrême D'engager à ce Dieu son amour et sa foi !

Me faudra-t-il combattre encor vos cruautés ?

D'un ennemi respecter la misère, Sauver des malheureux.... Seigneur, voilà des soins dignes du fils d'Achille

Celluy, disoit-il [Grandgousier, à propos de Gargamelle qui mangeait des tripes], a grande envie de mascher merde, qui d'icelle le sac mange

Mon bonheur est détruit, l'ivresse est dissipée

Le comte : Fi donc ! tu as l'ivresse du peuple. Figaro : C'est la bonne ; c'est celle du plaisir

Il [Moïse] meurt et laisse aux Israélites toute leur histoire qu'il avait soigneusement digérée dès l'origine du monde jusqu'au temps de sa mort

Tout à coup, détaché des cieux, Un rayon de l'astre nocturne, Glissant sur mon front taciturne

Mettez pour un moment votre gentilhommerie à côté

Qu'est-ce qu'un gentilhomme ? un pilier d'antichambre

Mais toujours quelque espoir flattait mes déplaisirs

Venait-il renverser l'ordre des éléments ?

L'histoire qu'il avait digérée dès l'origine du monde

.... C'est un exil que mes pleurs vous demandent