Citations sur c. delav.

L'effroi dans tous les coeurs a glacé la vertu

L'hymen dont la solennité Unit la tribu sainte à la tribu guerrière

Les clameurs des soldats par la crainte étouffées Sont un faible rempart au chef audacieux, Qui brave le courroux d'un ministre des cieux

Mes yeux s'ouvrent enfin, la raison m'est rendue Pour mesurer l'abîme où je suis descendue

Par ces chemins de fleurs.... Qu'il est doux d'égarer ses désirs et ses pas !

Les ministres sacrés Du temple en un moment descendent les degrés

Édouard : Et vous voulez, monsieur, remplacer un tel homme ! - Godwin : Lui succéder ; hors vous, qui peut le remplacer ?

J'avilirais le sceptre à venger mon injure

Il défend son ami, l'embrasse, oppose en vain Au coup qui cherche Alvar sa poitrine et sa main

Et tout ce peuple ingrat pour qui je périrai, Viendra, la joie au front, sourire à mes tortures

Aux tableaux fabuleux qu'il traçait des cités

Le commerce inactif expire de langueur

Ô ciel ! par quel ravage Les ans sur son front pâle ont marqué leur passage !

On est jusqu'à vingt ans petit pour sa nourrice

Vous savez quel empire il a pris sur mon âme

Mes yeux sont fatigués : lisez-moi ce rapport

Obscur ou fastueux, qu'importe notre asile ? Ah ! le premier des biens est un amour tranquille

Les auditeurs assis et l'orateur debout

[Il] Pousse la loyauté jusques à l'imprudence

Tu fus moins scrupuleux dans plus d'une entreprise

La terre sur son sein les porte avec colère [les parias]

Par ces chemins de fleurs dont j'ai fui les appas, Qu'il est doux d'égarer ses désirs et ses pas !

....Soulèverez-vous l'océan plébéien ?

Au pied de l'échafaud, sans changer de visage, Elle s'avançait à pas lents ; Tranquille elle y monta

Toi, prépare, Laurent, les vers et la couronne Que le public charmé doit jeter de ta main à l'acteur de Paris qui paraîtra demain