Citations sur tel. i

On ne vient point impunément dans mon empire

On apercevait de loin des collines et des montagnes dont la figure bizarre formait un horizon à souhait

Paroles qui se glisseront comme un serpent sous les fleurs

Le naufrage et la mort sont moins funestes que les plaisirs qui attaquent la vertu

Sa patrie semble fuir devant lui

Tout à coup elle aperçut les débris d'un navire qui venait de faire naufrage.... un mât, des cordages flottant sur la côte

Les nymphes avaient eu soin d'allumer un grand feu de bois de cèdre

Le pampre vert qui pendait en festons

Elle feignit d'entrer dans sa douleur

Les dangers qu'il avait courus entre Scylla et Charybde

Son vaisseau fut enseveli dans les ondes

La mollesse et la volupté s'emparent de mon coeur

Mille fleurs émaillaient les tapis verts....

Dont la blancheur effaçait celle de la neige

Je n'écoutai que ma passion

Dans le moment où le ciel commençait à s'éclaircir

Un lion que la cruelle faim dévore

Nous demeurâmes un peu derrière

Une noire tempête déroba le ciel à nos yeux

Elle ne pouvait démêler ses pensées confuses

Il est temps de vous délasser de tous vos travaux

Tout à coup elle aperçut les débris d'un navire qui venait de faire naufrage, des bancs de rameurs mis en pièces, des rames écartées çà et là sur le sable

Un ruisseau qui tombait à gros bouillons

Nous fûmes étonnés de la sagesse qui parlait par sa bouche

Les gazons dont un printemps éternel bordait son île