Citations sur nymphes

Et les nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent hélas ! autour de son cercueil

Et nymphes et sylvains sortaient pour l'admirer [Homère], Et l'écoutaient en foule, et n'osaient respirer

Mais souvent dans le style [l'églogue] un rimeur aux abois Jette là, de dépit, la flûte et le haubois.... De peur de l'écouter Pan fuit dans les roseaux, Et les nymphes d'effroi se cachent dans les eaux

Invoquons la faveur de ces puissants génies à qui des bois sacrés les nymphes sont unies

Il trouva qu'en exposant le grain dans des étuves à une chaleur assez forte pour faire périr les oeufs ou les nymphes des insectes, en le privant par cette même opération de son humidité, on le garantissait à la fois des deux fléaux les plus destructeurs, la fermentation et les insectes

Les nymphes descendirent pour danser un ballet

Près d'elle [Téthys], en ce moment, les nymphes de sa cour Filaient d'un doigt léger des laines verdoyantes

Que de plaisir de voir sous la nuit brune, Quand le soleil a fait place à la lune, Au fond des bois les nymphes s'assembler, Monstrer au vent leur gorge descouverte, Danser, sauter, se donner cotte verte, Et sous leur pas tout l'herbage trembler

Venus, qui trompoit tout ainsi, S'en mocque, et ses nymphes aussi En ont les graces plus riantes

Les nymphes faisaient une espèce de demi-cercle pour écouter

Les nymphes jalouses sont prêtes à s'entre-déchirer

Les nymphes avaient eu soin d'allumer un grand feu de bois de cèdre

Autour d'un vieux tronc noueux et d'une grosseur prodigieuse, les nymphes vinrent raconter leur douleur

On dit que les nymphes le nourrissaient [Épiménide], et qu'il gardait dans l'ongle d'un boeuf la manne qu'elles lui apportaient

Les nymphes y avaient préparé deux lits d'une molle verdure, sur lesquels elles avaient étendu deux grandes peaux, l'une de lion pour Télémaque, et l'autre d'ours pour Mentor

Les nymphes se mirent à cueillir des fleurs

Mes nymphes se sont révoltées contre moi

Une corneille, dit Hésiode, vit neuf fois autant qu'un homme ; un cerf, quatre fois autant qu'une corneille ; un corbeau, trois fois autant qu'un cerf ; le phénix, neuf fois autant qu'un corbeau ; et les nymphes enfin, dix fois autant que le phénix

Malheureux qui se voue aux nymphes du Permesse, S'il ne possède pour richesse Qu'un grand coeur et son Apollon !

Bientôt parurent nos nymphes en mascarades

Et les nymphes des forêts D'un jus pétillant et frais Arrosent le vieux Silène

Les nymphes n'étaient pas inutiles : elles préparaient les autres plaisirs, chacune selon son office

Remplissez l'air de cris en vos grottes profondes, Pleurez, nymphes de Vaux, faites croître vos ondes

Une troupe de nymphes la vint recevoir jusque par delà le perron ; et après une inclination très profonde, la plus apparente lui fit une espèce de compliment

J'aime à voir Colin d'Harleville, De Regnard émule charmant, Attraper dans son vers facile, L'esprit, la grâce et l'enjouement ; Mais chez les nymphes d'Aonie, Colin d'Harleville au hasard, Voulant attraper le génie, Me semble un peu colin-Maillard