Citations sur ii 1

Soit par reson d'eritage, soit de muebles, soit de querele qui touce à la persone

Offot, lequel eut terriblement beau nez à boire on baril

La terreur de son nom rendra nos villes fortes

Cartilage est une partie similaire de notre corps, après l'os la plus terrestre, froide, seiche....

Les veilles cesseront aux sommets de nos tours ; Le fer mieux employé cultivera la terre

.... que les modestes et temporiseurs, se fiants en leurs services, le perdoient [l'avancement] tout comptant

Les cartillages du tarse des cils

Il estoit jà sur le tard

Et le peuple, qui tremble aux frayeurs de la guerre, Si ce n'est pour danser, n'aura plus de tambours

Comme on presenta à Neron à signer, suivant le style, la sentence ....

Toute sorte de biens comblera nos familles

Tant pour ses raisons et pour la sollicitation que faisoient ceulx de Bouvynes

Comme on luy presenta à signer la sentence

Tant le coeur luy serroit de condamner un homme à mort

Chi commence li capitres des semonces [ajournements]

L'an precedent de la destruction dudit Dynant qui fut la saison que le conte de Charolois estoit venu de devant Paris....

Le cartilage ne se peut rengendrer, estant desperdu

Et rendra les desseins qu'ils feront pour lui nuire, Aussitôt confondus comme délibérés

En ce fâcheux état ce qui nous réconforte, C'est que la bonne cause est toujours la plus forte

On connoist tousjours de quelle nation est un homme, ou par le langage, ou par sa façon de vivre ordinaire, ou par l'habillement, ou bien par quelque trait naturel de son ramage [race], qui lui eschappe quand il s'oublie, pour quelque depaysé qu'il soit

Certes quiconque a vu pleuvoir dessus nos têtes Les funestes éclats des plus grandes tempêtes.... En ce miracle seul il peut assez connaître....

Avoit mis en deliberation s'il feroit mourir ses hostages, ou qu'il en feroit

De sa seule et privée authorité, il [le duc de Sommerset] s'estoit qualifié protecteur d'Angleterre

Cependant, son Dauphin.... De faits si renommés ourdira son histoire Que ceux qui dedans l'ombre éternellement noire Ignorent le soleil, ne l'ignoreront pas

Et le peuple, qui tremble aux frayeurs de la guerre, Si ce n'est pour danser n'orra plus de tambours