Citations sur iphig. iv 6

On ne m'abuse point par des promesses vaines

Pour qui.... Vais-je y chercher [à Troie] la mort tant prédite à leur fils ?

J'entrevois vos mépris, et juge à vos discours Combien j'achèterais vos superbes secours

Est-ce ainsi qu'au parjure on ajoute l'outrage ?

Je veux moins de valeur et plus d'obéissance

Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi

Seul, d'un honteux affront votre frère blessé A-t-il droit de venger son amour offensé ?

De la Grèce déjà vous vous rendez l'arbitre : Ses rois, à vous ouïr, m'ont paré d'un vain titre

Accusez et Calchas et le camp tout entier, Ulysse, Ménélas, et vous tout le premier

Ses rois [de la Grèce], à vous ouïr, m'ont paré d'un vain titre

Ma fille ignore encor mes ordres souverains

Oubliez-vous qui j'aime et qui vous outragez ?

Vous qui, vous offensant de mes justes terreurs, Avez dans tout le camp répandu vos fureurs

Et je romps tous les noeuds qui m'attachent à vous

Je ne connais Priam, Hélène ni Pâris : Je voulais votre fille, et ne pars qu'à ce prix

Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi

Je défendrai mes droits fondés sur vos serments

Ne pourrai-je sans vous disposer de ma fille ?

Mais vous, qui me parlez d'une voix menaçante, Oubliez-vous ici qui vous interrogez ?

Assez d'autres viendront, à mes ordres soumis, Se couvrir des lauriers qui vous furent promis

Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi

Je défendrai mes droits fondés sur vos serments

Et par d'heureux exploits forçant la destinée, Trouveront d'Ilion la fatale journée

Vous que mon bras vengeait dans Lesbos enflammée

Elle est de mes serments seule dépositaire