Citations sur med. ii 2

[Elle] lui gagnerait le coeur d'un prince libéral, Et de tous ses trésors l'abandon général

Jamais étoile, lune, aurore, ni soleil, Ne virent abaisser sa paupière [du dragon] au sommeil

Le soleil va porter le jour à d'autres mondes ; à l'horizon désert Phébé monte sans bruit

[La lune].... en pénétrant les ténèbres profondes

Des tourbillons de feu s'élançaient de leurs yeux

Zéthès, et Calaïs, et Pollux, et Castor, Et le charmant Orphée, et le sage Nestor, Tous vos héros enfin tiennent de moi la vie

Les échos assoupis ne livrent au zéphire Que des soupirs mourants, de silences coupés

Ma main, saignante encor du meurtre de Pélie

Prépare ton départ, et pense à ta retraite ; Pour en délibérer et choisir le quartier, De grâce ma bonté te donne un jour entier

La douteuse lueur [de la lune], dans l'ombre répandue

Les échos assoupis ne livrent au zéphyre Que des soupirs mourants, de silence coupés

Médée est un miroir de vertu signalée

Je ne me repens point d'avoir par mon adresse Sauvé le sang des dieux et la fleur de la Grèce

Il fallait labourer les tristes champs de Mars, Et des dents d'un serpent ensemencer la terre

.... à peine au loin la voile.... Blanchit en ramenant le paisible pêcheur